La numérotation Sosa, la recherche des ancêtres,... Quelques bases pour bien comprendre comment cela fonctionne.
Une présentation de la terre de nos origines, et les grandes ligne de l'histoire de notre famille au fil du temps...
Explications sur les différents calendriers utilisés dans l'Histoire.
Convertir une date du calendrier républicain vers le calendrier grégorien
Pour situer une date dans l'Histoire.
Quelques mots sur l'origine des noms de famille.
Qu'est-ce que c'est ?
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Dans le temps :
Le patronyme GOFFRE a pour origine le nom GOFFROY, qui est une variante de GEOFFROY. On le trouve dans plusieurs régions de France, et surtout en Champagne.
Notre branche GOFFRE est originaire d’Avensan, commune proche de Moulis et Castelnau, dans le Médoc. Le nom d’Avensan viendrait de "Aventia", une divinité celtique. Cette commune voit naître, vers 1370, un petit berger qui allait devenir archevêque de Bordeaux, de 1430 à sa mort en 1458 : Pey (Pierre en occitant) BERLAND.
Celui-ci fit construire la tour-clocher qui porte son nom, isolée de la cathédrale Pey-Berland à Bordeaux, de 1440 à 1500. Un escalier de 232 marches permet d'accèder à son sommet, qui culmine à 60 m du sol. Une statue dorée de la Vierge à l'enfant est placée sur la pointe en 1863, regardant vers la région d'origine de l'illustre homme : Le Médoc.
Mais c'est d'abord dans la commune d'Arsac, à environ 8 kilomètres au sud-est d'Avensan, que vit un couple de laboureurs, les plus anciens connus de cette branche, Mathieu GOLFE 1792 et son épouse Jeanne PERROT 1793 . Oui, le paronyme originel semble être GOLFE et non GOFFRE, car il est écrit ainsi sur plusieurs actes du registre paroissial.
En cette fin du XVIIème siècle, ils ont au moins 3 enfants :
A Arsac, chercher la naissance d'André GOFFRE, vers 1693 ou avant, et le mariage de ses parents Mathieu GOFFRE et Jeanne PERSON. Les archives sont en ligne de 1692 à 1699 et de 1737 à 1755.
J'ai bien trouvé les naissances de sa soeur Marie et de son frère Bertrand, mais je n'ai pas trouvé celle d'André GOFFRE ou GOLFE entre 1692 et 1698 à Arsac, ni même le mariage des parents... Notre André est-il né avant, ou bien ailleurs ?
UNE PISTE : A Cantenac !
En allant à Avensan, André fait la connaissance d'un autre couple de laboureurs natifs du lieu, Pierre BOUSCARRUT 1794 (né vers 1662) et Jeanne MOREAU 1795 (ils s'y sont mariés le 29 janvier 1690), et surtout de leur fille, Jeanne BOUSCARRUT 897 . Il n'en fallait pas plus pour que André GOFFRE 896 épouse Jeanne BOUSCARRUT 897 le 27 novembre 1713 dans la commune d'origine de la jeune mariée. C'est d'ailleurs là, au lieu-dit de Léojean dans la commune d'Avensan, que les GOFFRE vont désormais vivre pour très longtemps...
Les jeunes mariés ont 3 enfants, dont on ne connaît pas bien l'ordre de naissance :
Pierre BOUSCARRUT 1794 décède chez lui à Léojean, le 1er février 1737, à l'âge de 75 ans.
A Avensan, chercher la naissance de Jeanne BOUSCARRUT entre 1690 et 1698, et la naissance de Mathieu GOFFRE entre 1714 et 1721. Pas en ligne avant 1737.
Mathieu GOFFRE 448 devient lui aussi laboureur à Léojean. Il rencontre une jeune demoiselle, Françoise LAGUNE 449 , fille de Gilbert LAGUNE 898 et de Françoise BRAQUESSAC 899 .
Mathieu et Françoise se marient dans l'église d'Avensan, le 6 novembre 1741. Ils ont 4 enfants, tous nés dans leur domicile de Léojean :
A Avensan, chercher la naissance de Françoise LAGUNES vers 1731 ou avant, et le mariage de ses parents Gilbert LAGUNE et Françoise BRAQUESSAC. Voir aussi s'il n'y a pas la naissance de Marie LAGUNES épouse Jean DUCAUTS entre 1707 et 1711.
Pierre GOFFRE 224 perpétue la tradition familiale en devenant laboureur à Léojean. Il a pour voisins plus ou moins proches une famille ROBIN ou ROUBIN. Le père de famille est le laboureur Pierre ROBIN 450 , son épouse est Anne RAMBAUT 451 (fille du pasteur Arnaud RAMBAUT 902 et Marie FOURTHON 903 ). Mais il rencontre surtout leur fille, Jeanne ROBIN 225 , qui est née à Léojean le 4 avril 1762.
A Avensan, chercher la naissance de Pierre ROBIN vers 1733 ou avant.
Je ne trouve pas la naissance de Pierre GOFFRE vers 1794 à Avensan, ni aucun enfant entre 1792 et 1797 (ni après) alors que les registres sont bien présents. Où ont-il pu naître alors ? Pas trouvé à Moulis, ni à Castelnau. Voir Arsac : ce registre page 1 en avançant.
C'est à 34 ans que Pierre GOFFRE 224 épouse Jeanne ROUBIN 225 , qui elle en a 30, le 27 octobre 1792 à Avensan. A ce mariage, les quatre parents des mariés sont déjà décédés. Ils ont 2 fils :
Jean GOFFRE 112 sera bien évidemment laboureur à Léojean, mais il sera également le premier de la dynastie GOFFRE à savoir lire et écrire, ce qui est exceptionnel pour une famille d'agriculteurs au début du XVIIIème siècle. Il acquiert ce savoir vers l'âge de 35 ans, entre 1830 (il ne sait pas signer l'acte de décès de son père) et 1833 (il signe l'acte de naissance de son fils).
Jeanne ROUBIN décède à 66 ans le 27 février 1828, et son mari Pierre GOFFRE disparaît 2 ans plus tard, le 21 janvier 1830, année où l'hiver fut exceptionnellement rude.
Nous sommes toujours à Avensan, mais dans un autre village appelé Les Macabins. Ce lieu est aujourd'hui appelé Macavin, et il a la particularité de se situer plus près de Castelnau que d'Avensan. Si à l'époque, Les Macabins faisaient partie du secteur paroissial d'Avensan, aujourd'hui Macavin est plus logiquement rattaché à la commune de Castelnau.
C'est en tout cas dans ce lieu particulier que vit une autre famille de laboureurs avensannais, Raymond PAGAN 904 et Jeanne BOS 905 . Ces paysans ont pour fils Jean PAGAN 452 , qui voit le jour le 29 septembre 1738 à Macavin. Bien entendu, Jean deviendra lui aussi laboureur.
Penchons-nous un instant sur Sainte-Hélène : Guillaume MEYRE 906 (né vers 1705 et décédé le 5 octobre 1758) et sa femme Jeanne BERNADA 907 (née en 1718) ont, quant à eux, une fille née le 10 avril 1746, Marguerite MEYRE 453 . La famille vit alors au lieu de Devès, situé un peu au nord du bourg du village.
Jean PAGAN 452 et Marguerite MEYRE 453 se rencontrent, se plaisent, et se marient dans la paroisse natale de la jeune fille, à Sainte-Hélène, le 7 novembre 1758. Ce mariage devait revêtir une émotion très particulière, puisqu'il eut lieu un mois seulement après le décès du père de la mariée.
Le jeune couple vient s'installer à Macavin, où Jean laboure les terres que travaillait son père avant lui. Marguerite lui donne 5 enfants :
A Avensan, chercher le mariage de Raymond PAGAN et de Jeanne BOS avant 1738. Mais rien entre 1737 (début de la mise en ligne) et 1738...
Où ai-je trouvé cette date pour la naissance de Marguerite MEYRE le 10 avril 1746 ? Je n'ai pas cet acte, et son mariage ayant lieu en 1758, elle n'aurait eu que 12 ans ! Si cet acte existe et donne les bons parents (qui sont cités dans l'acte de mariage), il doit s'agir d'une de ses soeurs qui porte le même prénom mais plus jeune. A creuser.
Chercher aussi le mariage de Guillaume MEYRE et de Jeanne BERNADA ses parents, un peu avant, ainsi que le décès de Guillaume le 5 octobre 1758. Registres à partir de 1692 mais pas en ligne.
A Castelnau, chercher le décès de Jean PAGAN entre 1772 et 1838 selon ce généanaute. Registres à partir de 1737, mais pas en ligne avant l'an XII. J'ai trouvé le décès d'un Jean PAGAN le 6 novembre 1791 à Listrac ; mais le nom de son épouse n'est pas marqué et il aurait eu 73 ans à son décès (sur son acte) alors qu'en 1791 il devrait en avoir 53. Je pense que ce n'est pas lui.
Pendant ce temps, à Avensan, un laboureur du nom de Joseph GOURRION 908 et son épouse Catherine MICHEAU ou MICHEL 909 fondent leur famille qui compte 3 enfants :
Dans le village voisin de Saint-Aubin-de-Médoc, le curé de la paroisse doit célébrer un double mariage. En effet, ce 20 janvier 1761, Joseph GOURRION 908 marie simultanément et respectivement son fils Seurin GOURRION 454 et sa fille Marie, à Françoise COIFFARD 455 et à son frère Jean. Le papa de l'autre partie, Bertrand COIFFARD 910 , est originaire de Saint-Aubin-de-Médoc, mais les GOURRION sont, eux, de la paroisse d'Avensan.
Chercher à St-Aubin-de-Médoc la naissance de Seurin GOURRION vers 1741 ou avant, et de Françoise COIFFARD vers 1745 ou avant. Rien en ligne avant l'an XII.
C'est pourquoi Seurin GOURRION 454 et Françoise COIFFARD 455 viennent s'installer à Avensan, au village de Pimbalin, où Seurin est laboureur. Le couple a 2 filles qui viennent au monde en leur domicile :
C'est cette dernière que notre Guilhomme PAGAN 226 rencontre en pleine Révolution française, et qu'il épouse à Avensan le 14 février 1792. Ils passent un contrat de mariage chez Maître BONNET, le notaire de Castelnau, quelques jours avant.
Puis le couple s'installe près des parents de la jeune mariée, à Pimbalin. De cette union naîtra Jeanne PAGAN 113 (née le 10 Messidor de l’An IX, 29 juin 1801, et décédée le 4 novembre 1867).
Le 27 février 1821, le fils Jean GOFFRE 112 épouse Jeanne PAGAN 113 . Ils choisissent de s’installer au village de Leujean (prononcer "Léoujan", futur Léojean), au lieu des Crébats (crébats signifiant « crevés, morts » en occitan) sur la commune d’Avensan, où Jean cultive la vigne et laboure la terre. Avec je ne sais quel argent, il parvient à acheter la propriété dont il s'occupe, comme du reste leurs voisins immédiats, Pierre SEGUIN et François VIALARD, qui deviennent eux aussi propriétaires.
Jean et Jeanne ont 8 enfants nés aux Crébats :
Jean GOFFRE 112 décède chez lui aux Crébats à 68 ans le 20 novembre 1865 ; Jeanne PAGAN 113 ne lui survivra que 2 ans en disparaissant le 4 novembre 1867, à l'âge de 66 ans.
Fidèle au village Crébats-Leujean qui vît naître son père et son grand'père, Arnaud GOFFRE 56 y devient cultivateur, puis propriétaire à la mort de Jean, son papa. Et comme son papa, il apprendra également la lecture et l'écriture.
Je n'ai pas retrouvé l'acte de propriété. Peut-être y a-t-il une trace de la vente dans les archives notariales aux AD33 ?
Dans les actes de naissance de ses enfants, Jean GOFFRE est dit laboureur (jusqu'en 1830), puis cultivateur après cette date. Mais sur l'acte de naissance de ses jumeaux Raimond et Marie, en 1838, il est dit propriétaire cultivateur. A-t-il hérité d'une propriété familiale à la mort de son père Pierre GOFFRE en 1830 ? A la naissance d'Arnaud en 1833, il est simplement dit cultivateur, sans mention de "propriétaire"... Mais cela peut aussi être une omission du maire, car à la naissance du petit dernier, Jean, né en 1841, il est aussi dit simplement cultivateur.
Autre détail curieux : sur les différents actes retrouvés, il est dit que Jean GOFFRE ne sait pas signer. Sauf sur les actes de naissance d'Arnaud en 1833 et de Marie en 1838 ! La signature est hésitante et maladroite, il était peut-être plus simple pour lui de dire qu'il ne savait pas écrire !
C'est ici que la famille ROUX va croiser la dynastie GOFFRE. Nous sommes à 15 kilomètres au nord d' Avensan, dans la commune de Benon réunie à St-Laurent.
C'est là que Pierre ROUX 228 , cultivateur né vers 1775, vit avec son épouse Jeanne MOURRAUT 229 , née vers 1779. Ils ont ensemble un fils nommé Arnaud ROUX 114 , né le 26 juillet 1806.
Arnaud devient cultivateur brassier ; il vient vivre et travailler la vigne à Avensan, au village de Leujean.
A St-Laurent-Médoc, trouver le mariage de Pierre ROUX et Jeanne MOURRAUT avant 1806 (an XIV).
Sur l'acte de naissance d'Arnaud ROUX, je lis que ses parents vivent à "Pedaux", village ou hameau de la commune de Benon. Or je ne connais pas ce lieu, et je ne trouve nulle part sur les cartes où il peut bien se trouver...
Cette branche est originaire de Listrac, et plus exactement du village de Barbat. C'est là que vit, en ce milieu du XVIIIème siècle, une famille de laboureurs : Raymond BERGERON 1840 , son épouse Jeanne MARTIN 1841 , et leurs 4 fils :
Antoine BERGERON 920 épouse Françoise DEJEAN 921 , une fille originaire de Saint-Laurent. Les parents de la jeune fille sont Jean DEJEAN 1842 et Anne DAUTRUCH 1843 .
Antoine BERGERON 920 et Françoise DEJEAN 921 forment une famille composée d'au moins 2 enfants :
Pierre BERGERON 460 rencontrera une fille de Moulis, qui vit au village de Bouqueyran. Effectivement, c'est dans ce village que vit Pierre MEYRE 1844 , sa femme Marie VIDEAU 1845 , et leur fils aussi prénommé Pierre MEYRE 922 .
Une autre famille voisine est celle que forment Arnaud HUGON 1846 , son épouse Marie SAINTOUT 1847 et leurs 2 enfants Guillaume et Marie HUGON 923 . Arnaud est né vers 1677 au village de Barreau, dans la paroisse de Moulis. Marie SAINTOUT , elle, est née vers 1681 et a grandi à Listrac, dans le petit village de Touleron.
C'est dans l'église de Listrac qu'ils se sont mariés le 9 février 1706, le même jour que la soeur de Marie, qui s'appelle aussi Marie SAINTOUT 1969 , avec Pierre LOUBANEY 1968 , et dont vous pouvez suivre les aventures en cliquant ici dans Les origines des Justes.
Il n'en fallait pas plus pour que le 26 novembre 1740, l'ensemble du hameau assiste aux épousailles du vigneron Pierre MEYRE 922 et de Marie HUGON 923 dans l'église de Moulis.
Le jeune couple donne naissance à une petite fille, Pétronille MEYRE 461 , le 24 septembre 1749. Elle a aussi un frère, qui s'appelle également Pierre MEYRE, et qui sera lui aussi témoin au mariage.
A Listrac, chercher la naissance de Pierre BERGERON vers 1745, le mariage de ses parents Antoine BERGERON et Françoise DEJEAN, et la naissance de Antoine BERGERON le 1er mars 1783. Rien en ligne.
A Moulis, chercher la naissance de Pétronille MEYRE vers 1747. Rien en ligne.
Pierre BERGERON 460 et Pétronille MEYRE 461 se marient le 17 février 1781 dans l'église de Listrac. Ils donnent à leur fils le prénom de son grand'père, Antoine BERGERON 230 , lorsqu'il naît le 1er mars 1783.
Mais l'enfant profitera peu de ses parents ; il n'aura que 9 ans à leurs décès, emportés tous les deux par une maladie mortelle à 3 mois d'intervalle. Sa mère disparaît à 45 ans le 16 octobre 1792, et son père le 26 janvier 1793 à 48 ans seulement...
Suite au décès de ses parents, le petit Antoine est certainement placé chez un parent à Castelnau, et commence à travailler : il devient meunier.
Castelnau est justement le lieu de vie de Pierre BAUDOUX 926 et de sa femme Marie MANEY 927 . Ils ont une fille, Marie BAUDOUX 463 , dont je n'ai pas la date de naissance.
Cette Marie BAUDOUX épouse Jean DUBOS ou DUBOSQ 462 le 25 février 1786 à Castelnau. Le jeune marié est un laboureur qui vivait à Avensan avec ses parents Arnaud DUBOS 924 et Pétronille PIC 925 .
Jean DUBOS 462 et Marie BAUDOUX 463 s'installent alors à Avensan, où Jean devient meunier. Ils ont une petite fille du nom de Pétronille DUBOSQ 231 , qui voit le jour le 22 août 1787.
A Avensan, chercher la naissance de Jean DUBOSQ vers 1766 ou avant, et le mariage de ses parents Arnaud DUBOS et Pétronille PIC.
A Castelnau, chercher la naissance de Marie BAUDOUX vers 1770 ou avant, le mariage de ses parents Pierre BAUDOUX et Marie MANEY, et la naissance de Pétronille DUBOSQ le 22 août 1787. Pas en ligne.
Antoine BERGERON 230 , le meunier de Castelnau, rencontre la fille du meunier d'Avensan, Pétronille DUBOSQ 231 , et l'épouse le 23 février 1808. Le jeune couple s'installe dans le fameux village de Leujean, au moulin qu'Antoine fait tourner de main de maître.
C'est donc au moulin de Leujean qu' Arnaud ROUX 114 fait la connaissance du meunier Antoine BERGERON 230 , de sa femme Pétronille DUBOSQ 231 , de son fils aussi prénommé Antoine qui prendra sa succession, et surtout... de sa fille Marie Jeanne BERGERON 115 , née le 10 mars 1809.
Un fort vent d'amour fait tourner les ailes du moulin, qui poussent Arnaud ROUX 114 à épouser Jeanne BERGERON 115 à Avensan le 26 mai 1831. Malheureusement, la mère de l'épouse était décédée avant le mariage.
Les jeunes mariés s'installent alors à Listrac, au village de Bernones. C'est là que naît leur fille Jeanne ROUX 57 le 21 novembre 1836.
Mais Marie Jeanne BERGERON 115 décède alors que sa fille est encore jeune. Arnaud ROUX 114 emmène alors la petite Jeanne vivre au lieu de Pudeaux, dans la commune de Benon où il est né.
Mais c'est à Avensan, le 7 février 1856, que Arnaud GOFFRE 56 épouse Jeanne ROUX 57 . Ils s'installent dans cette commune au village de Crébats-Leojean (dit parfois simplement Les Crébats), et ont 5 enfants dont deux meurent en bas âge :
Ils habitent dans la maison dont on a retrouvé des photos (prises dans les années 1930) dans des papiers de famille, ci-dessous, la maison de Leojean.
Arnaud GOFFRE décède à 67 ans le 22 février 1901, et Jeanne ROUX à 68 ans le 24 mai 1905, tous les deux bien sûr à Leojean.
A Avensan, les recensements sont disponibles pour l'année 1820, puis les années 1891, 1896, 1901, 1906, 1911, 1921 et 1926.
Il n'y a pas d'autres enfants de Jean GOFFRE et Marie MONNEREAU à Ste-Hélène, Moulis ni Avensan. Chercher des f&s de Jean GOFFRE 112 après 1792 à Avensan. Ce registre page 1 en avançant.
Suite de l'histoire : vers Jean "Jeantil" GOFFRE
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