Généalogie de la famille DUCOS - PONTET

Pour commencer...

Généralités sur la généalogie

 

La numérotation Sosa-Stradonitz

Ce système sert à numéroter ses ancêtres, pour les identifier et leur attribuer une place unique. Inventée par l'Allemand Michel Eyzinger en 1590, cette numérotation est ensuite reprise par Jérôme de Sosa en 1676, puis par Kerule von Stradonitz au XIXème siècle.

La numérotation Sosa-Stradonitz, adoptée dans ces pages, est la plus pratique et la plus utilisée pour l'établissement d'une généalogie ascendante :

 

Principe de la numérotation Sosa

 

Grâce à cette numérotation, chaque ancêtre a un numéro unique, et sa place est réservée même si on ne le connaît pas encore. Il existe pourtant deux inconvénients à cette méthode :

 

La recherche des ancêtres

On se prend vite au jeu de rechercher ses ancêtres et de découvrir qui ils étaient et comment ils vivaient. Tout commence par quelques souvenirs des grand'parents et des parents. La première étape est de noter toutes les histoires de la famille, les noms, les dates et les lieux, bref toutes les données telles qu'elles se trouvent, même imparfaites et lacunaires, dans la mémoire de nos aînés.

De ce premier recueil, on détermine facilement les parents, les grand'parents et les arrière-grand'parents. On peut donc les positionner sur un arbre généalogique, et les numéroter à la sauce Sosa. L'utilisation d'une base de données (ou de fiches cartonnées pour ceux qui sont réfractaires à l'informatique) se révèle indispensable pour noter tout ce qui se rapporte à l'individu : ses nom, prénoms, date et lieu de naissance, date et lieu de mariage, date et lieu de décès, noms de ses parents, noms de ses frères et soeurs, noms de ses enfants, métier exercé, ... Les livrets de famille, qui dorment dans les tiroirs, viennent compléter les informations manquantes, et les vieilles photos permettent de mettre un visage sur un nom.

RegistresCe premier arbre réalisé, il faut pouvoir remonter plus loin dans le temps. Pour cela, on se tourne vers les archives communales conservées dans les mairies (actes de plus de 75 ans), ou bien les archives départementales. Pour connaître par exemple les parents d'un individu, on cherche son acte de naissance ou de mariage : le nom de ses parents y est noté. Pour peu que sur cet acte figure aussi leurs dates et lieux de naissance respectifs, on peut chercher leur acte de naissance dans la mairie concernée, et trouver le nom de leurs parents, etc... On peut ainsi facilement remonter jusqu'à la Révolution Française.

Une autre piste à ne pas négliger est la piste communautaire. Cette passion se démocratise de plus en plus, et de nombreux clubs de généalogie voient le jour un peu partout. Les sites internet se développent aussi, et amène des "cousins" à plus ou moins haut degré à se connaître, et partager leurs connaissances sur les branches communes. D'autres sources, comme les archives notariales, ou les inventaires après décès, permettent de connaître un peu mieux la vie quotidienne et de soulever un pan de leur histoire.

Ce jeu est sans fin, mais le fait de rechercher n'est-il pas aussi important que le fait de trouver ? Peut-être vous aussi, à la lecture de ces lignes, auriez-vous envie de vous lancer à la recherche de vos ancêtres...

 

La rédaction de l'histoire de la famille

Ce n'est pas la partie la plus facile ! Comment présenter cette liste de noms, de date et de lieux, sur des gens qu'on n'a jamais vus, tout en étant à la fois clair, complet, précis, et en rendant le récit ludique ? Question ardue... Ce site est une tentative de réponse, et j'espère qu'il atteindra son but. Je m'attache surtout à essayer de raconter la vie de mes ancêtres, plus qu'à faire une simple liste.

N'hésitez pas à laisser un message sur le Livre d'Or pour me faire part de vos remarques, critiques, suggestions, ou félicitations. Si la recherche est infinie, la rédaction peut elle aussi toujours être améliorée.