Généalogie de la famille DUCOS - PONTET

La famille du côté de Marcelle GUIBERT

Les origines des LAROCHE

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Dans le temps :

Dans les branches :

Branche LAROCHE

Charente-MaritimeLa famille LAROCHE vit en Saintonge, c'est-à-dire près de Saintes dans le département de la Charente maritime, dite à l’époque « Charente inférieure ».

 

 

François LAROCHE  336 est né vers 1714. A 28 ans, il épouse Louise MOTARD  337 , dans l'église du petit village de Messac, à 17 kilomètres au sud-est de Jonzac et à 11 kilomètres au nord-est de Montendre. Le mariage a lieu le 30 janvier 1742 ; ils s'installent d'abord au lieu dit "Chez Baronnet", où l'aîné de leurs 5 enfants voit le jour, puis à "La Beude", où naîssent les quatre autres :

 

Messac
Messac (Charente-Maritime)

 

François LAROCHE  336 exerce la profession de marchand coquetier (on disait à l'époque "cocquastier") : il récolte les produits frais dans les fermes des alentours, tels que les oeufs et le lait, mais aussi les volailles, et va les vendre dans les marchés. Cette profession lui impose le fait de savoir lire, écrire et compter. Ce sera également le cas de son deuxième fils et de son petit-fils, nos ancêtres LAROCHE sur 3 générations, qui plus tard prendront la succession.

Malheureusement pour lui et pour sa famille, François LAROCHE  336 disparaît en plein hiver le 30 décembre 1754, à l'âge d'environ 40 ans. Il laisse sa veuve élever seule les enfants qui ont entre 10 ans et 11 mois !

( suite )

Pour remonter plus loin...

A Messac, trouver la naissance de François LAROCHE vers 1714 (pas à Caux ni à Léoville), et celle de Louise MOTARD avant 1724. Ces dates tombent dans le "trou" qu'il y a dans le registre de Messac, où manque la période allant de 1703 à 1733.

Les archives notariales de Me CHENU (Jonzac, Ozillac, Meux, Saint-Ciers-Champagne, Tugéras, Léoville, Mortiers, Champagnac et Plassac) ne livrent pas non plus de contrat de mariage au nom de François LAROCHE et Louise MOTARD pour janvier 1742. S'il y avait un notaire à Messac, il n'est pas encore en ligne.

Messac
Messac, Vibrac - Carte de Cassini

 

Branche PELLETTE

Non loin de là, à 2,5 kilomètres au nord-ouest de Messac, dans un petit village voisin du nom de Vibrac, vivent Pierre PELLETTE  676 et son épouse Marie BOUYER  677 . Pierre est laboureur à bras ; il est né aux alentours de 1698, sans doute à Vibrac. Quant à Marie, elle doit être née vers 1700, à Chantillac en Charente (comme il précisé sur l'acte de décès de son fils Pierre). Il est probable qu'ils se seraient mariés dans la commune de Mérignac-Le-Pin, également située en Charente maritime, en 1726 ; mais je n'ai rien trouvé dans les registres en ligne concernant ce mariage. Ils ont aussi passé un contrat de mariage le 7 avril 1726 à Montendre, chez Maître DURAND, mais là encore, rien dans les registres de Montendre.

Pour remonter plus loin...

Chercher l'acte de mariage de Pierre PELLETTE et de Marie BOUYER, entre 1715 et 1742, mais où ? Pas à Messac, ni à Vibrac, ni à St-Germain-de-Vibrac, ni à Mérignac (mais les registres sont lacunaires pour cette année-là), ni à Moulons (les registres en ligne de Pommiers n'existent qu'à partir de 1739), ni à Leoville, ni à Susmoulins, ni à Coux, ni à Montendre.

Trouver la naissance de Pierre PELLETTE vers 1698 à Vibrac (trou entre 1696 et 1739). J'en ai trouvé un né le 16 juin 1691, fils de Nicolas PELLETTE et de Marie GAIGNEROT, mais aucune certitude que ce soit bien le bon.

Trouver aussi la naissance de Marie BOUYER vers 1700 à Chantillac. Bien sûr, il n'y a pas de registre entre 1676 et 1736...

 

Pierre PELLETTE  676 et Marie BOUYER  677 ont au moins 4 enfants :

 

 

 

 

La signature de Pierre PELETTE fils (338) : Signature Pierre Pelette

 

Branche GLEMET

La branche GLEMET vient se greffer ici. Nous avons d'abord François GLEMET  678 , né vers 1710 à Chepniers, et qui est laboureur à boeufs sur ses propres terres, c'est-à-dire qu'il est propriétaire. Sa femme Anne GOURDET  679 est venue au monde aux environs de 1714 dans le village de Pommiers (aujourd'hui appelé Pommiers-Moulons).

Leur mariage a lieu à Expiremont, le 1er février 1732, mais très vite ils reviennent s'installer sur leurs terres, au village La Mercerie à Chepniers, pour y vivre. François GLEMET  678 et Anne GOURDET  679 ont au moins une fille, qu'ils prénomment Jeanne GLEMET  339 . Elle naît vers 1736, certainement à Chepniers (mais son acte reste à trouver).

 

Chepniers
Chepniers - L'église Saint-Etienne

Il ne reste plus à Pierre PELLETTE  338 et à Jeanne GLEMET  339 qu'à se marier le 5 février 1759, dans l'église du village d'où est originaire la jeune fille, à Chepniers. Si la jeune promise a 23 ans, le futur marié n'en a que 16 ! Il est à ce jour le marié le plus jeune de cette généalogie ! Auparavant, ils passent un contrat de mariage devant le notaire PELLUCHON, le 24 janvier 1759. Puis ce couple de marchands s'installe à Vibrac, et a 9 enfants, tous nés à 2 ans d'intervalle avec une régularité métronomique :

Outre la perte de 5 de ces enfants en bas âge, la famille assiste également aux décès de Pierre PELLETTE  676 le 26 décembre 1770 et de Marie BOUYER  677 le 16 juillet 1774, tous deux à Vibrac, ainsi qu'à la disparition de François GLEMET  678 le 13 août 1779 et à celle d' Anne GOURDET  679 à 50 ans le 23 mai 1764, tous deux en leur domicile de La Mercerie à Chepniers.

Pour remonter plus loin...

Trouver la naissance de Jeanne GLEMET vers 1736 à Chepniers (rien en ligne entre 1691 et 1737) (pas trouvée à Expiremont), puis les naissance de François GLEMET vers 1710 à Chepniers, et de Anne GOURDET vers 1714 à Pommiers (rien en ligne avant 1739).

Vibrac
Vibrac - Minoterie de la Prée

 

François LAROCHE  168 a grandi, et devient comme son papa trop tôt disparu coquetier marchand de volailles. C'est sans doute lors d'un marché à Vibrac qu'il rencontre une jeune fille du nom de Marie PELLETTE  169 . Il s'agit de notre ancêtre issue de la première branche PELLETTE.

 

La signature de François LAROCHE (168) : Signature François Laroche

 

 

Le 10 juin 1782, alors qu'il a 35 ans, François LAROCHE  168 épouse Marie PELLETTE  169 à Vibrac, puis vont s'installer à Messac, dans ce fameux lieu de "La Beude". C'est là que leurs 3 fils voient le jour :

 

Pierre LAROCHE  84 exerce la profession qu'exerçaient aussi son père et son grand'père, celle de marchand coquetier. Les affaires doivent bien marcher pour lui puisqu'il est également propriétaire et cultivateur au village de la Guillonnire, ou Guillonnerie, à Messac, où sa famille est déjà bien implantée.

 

( 1 suite )

 

 

Branche MESSAC

Voilà une bien belle curiosité : dans ce joli village de Messac, nous avons une autre branche qui se nomme... MESSAC ! Le fait que les membres de cette dynastie portent le même nom que la commune où ils vivent, prouve bien que c'est une famille très ancienne dans la localité, sans doute même depuis ses origines.

Les plus anciens ancêtres (pour l'instant) sont Jean MESSAC  340 et Marie CHAIGNAU  341 , qui sont donc établis à Messac.

 

Ce couple a 4 enfants nés à Messac, au lieu dit La Guillonnerie :

 

Pour remonter plus loin...

Je ne peux pas remonter plus avant car leur mariage date d'avant 1733 (année de naissance de leur 1er enfant), et les registres de la commune manquent entre 1703 et 1733.

A noter qu'un Jean MESSAC est né à Léoville le 2 décembre 1711, fils de Jean MESSAC et Françoise DURAND (registre non côté 1693-1738, p 115). Est-ce lui ? Sans son acte de mariage où se trouve éventuellement sa filiation, ou sa paroisse de naissance, impossible à dire.

Mais voici qu'une seconde branche PELLETTE fait ici son apparition ! Celle-ci est installée depuis longtemps à Messac. Ces deux branches ont sans doute une origine commune, mais qui n'est pas encore déterminée à l'heure actuelle.

Le plus ancien couple de cette deuxième branche est formé par le laboureur Jean PELLETTE  342 et ... une certaine Marie LAROCHE 343 (née vers 1727). Effectivement, les PELLETTE et les LAROCHE sont intimement liés, car ce couple fut marié le 21 février 1748, le même jour que furent mariés Jean LAROCHE (le frère de Marie) et Marie PELLETTE (la soeur de Jean). On peut noter le degré d'instruction des jeunes gens qui savent signer leur acte de mariage commun. Les deux couples s'installent ensuite au même lieu dit "Chez Doutau" à Messac.

 

Jean PELLETTE  342 et Marie LAROCHE 343 ont eux aussi 4 enfants :

 

La signature de Jean PELETTE (342) : Signature Pierre Pelette
Pour remonter plus loin...

A Messac, il faudrait trouver les naissances de Jean PELLETTE avant 1728, et de Marie LAROCHE avant 1730.

Pour cette dernière, essayer d'établir le lien qu'elle peut avoir avec notre branche LAROCHE principale. Mais les registres de Messac sont lacunaires entre 1703 et 1733...

Jean MESSAC (son nom est parfois orthographié "MESSAT")  170 grandit, et devient laboureur propriétaire à la Guillonnerie, à Messac.

Il rencontre et s'éprend d'une demoiselle appelée Catherine PELLETTE  171 . Elle est la descendante de la seconde branche PELLETTE que nous avons vu plus haut. Le mariage a lieu le 23 avril 1787, dans l'église de Messac.

 

Jean MESSAC 170 et Catherine PELLETTE  171 ont au moins 2 filles, mais ont peut-être d'autres enfants nés après la seconde :

C'est un mois après la naissance de Marie MESSAC 85 que disparaît sa grand'mère Marie LAROCHE 343 (issue de la seconde branche PELLETTE), par une froide nuit du 27 décembre 1791.

Pour remonter plus loin...

Il faut trouver l'acte de naissance de Marie MESSAC, le 30 novembre 1791 à Messac, et voir s'il y a eu des enfants nés après 1791. Mais il y a tellement de lacunes dans ces registres que je ne le trouve nulle part...

Quand les registres de Messac seront disponibles (entre 1703 et 1733), trouver le mariage de Jean MESSAC et Marie CHAIGNAU, avant 1733.


L'Eglise St-Félix de Messac (Photo : Eric Coll)

Le 25 juillet 1809, Pierre LAROCHE  84 épouse Marie MESSAC  85 à Messac. Ils ont au moins 2 fils, nés dans leur propriété de la Guillonnerie :

 

La signature de Pierre LAROCHE (84) : Signature Pierre Laroche

 

Gironde 

Mais Pierre 84 décède prématurément dans sa propriété le 21 octobre 1843 à 53 ans. Maintenant veuve, Marie ne veut plus rester seule à Messac : elle décide de rejoindre son fils aîné Jean à Ste-Colombe, emmenant avec elle le petit dernier, Jacques. Elle y exerce alors le métier de cultivatrice.

C'est à près de 67 ans que Marie MESSAC  85 décède, le 14 novembre 1858 à Ste-Colombe.

 

Mais une fois devenu jeune homme, ce second fils, Jacques LAROCHE 42 , veut changer de département, certainement pour trouver du travail. Il s’installe à 40 kilomètres de là, dans le petit village de Bayon en Gironde. Il devient alors vigneron à Samonac chez Martin, son propriétaire et ancien marin.

 

 

( suite )

 

Nord-Gironde
Bayon, Samonac, Saint-Trojan, Comps, Gauriac... (Gironde)

 

 

Branche BROQUAIRE

De leur côté, la branche BROQUAIRE se situe du côté de Blaye dans le nord du département de la Gironde.

En effet, Jean BROQUAIRE  1376  et Marie ROBIN  1377 vivent à Cartelègue, près de Blaye. Nous sommes alors à la fin du XVIIème siècle. Jean et Marie ont un fils qui voit le jour le 5 mai 1682, et qu'ils décident de prénommer Arnault BROQUAIRE  688 .

Je ne sais pas encore si Arnault avait des frères et des soeurs.

 

Autour de Blaye
Blaye, Cartelègue, St-Martin-Lacaussade... (Gironde)

 

Blaye
St-Trojean, près de Blaye - Carte de Cassini

 

A 40 ans, Arnault BROQUAIRE  688 vient trouver femme à Saint-Martin-Lacaussade, tout près de Blaye, en la personne de Jeanne BERGERON  689 (née vers 1686). Le mariage a lieu dans l'église de ce village, le 3 février 1722. Un certain Jean BROQUAIRE est cité dans cet acte ; est-il un frère ou un cousin d' Arnault ? Pour l'instant je l'ignore. Ce que je sais, c'est que le couple de jeunes mariés va mettre au monde 7 enfants, tous nés au domicile familial de Saint-Martin-Lacaussade :

Les actes de cette paroisse, à cette époque, sont très laconiques et ne permettent pas d'en savoir plus sur le lieu exact du domicile dans le village, ni même sur la profession du père. On sait juste que les enfants savent signer leurs actes d'état civil, et qu' Arnault BROQUAIRE  688 décède le 18 février 1759, âgé de 77 ans, "d'une mort prompte" nous précise son acte de décès. On ne sais pas de quoi il est mort, mais cela s'est fait très rapidement. Il est inhumé dans le cimetière de la chapelle de Frédignac, à Saint-Martin-Lacaussade. Son épouse Jeanne BERGERON  689 meurt, elle, 25 ans après lui, le 28 août 1784, à l'âge exceptionnel de 98 ans ! Elle le rejoindra à Frédignac.

 

St-Martin-La caussade
Saint-Martin-La-Caussade, près de Blaye

 

 

Entretemps, l'aîné de la fratrie, Pierre BROQUAIRE  344 , devient cultivateur journalier. Il rencontre une jeune demoiselle native de la paroisse de Bonnetan (née vers 1724), à l'est de Bordeaux, mais qui est venue s'installer à Blaye en 1747, à la paroisse St-Romain. C'est cette jeune fille, Françoise BERNARD  345 , que Pierre épouse à Saint-Martin-Lacaussade le 24 novembre 1749. Ensemble, ils s'installent au bourg de Frédignac, et vont aussi avoir 7 enfants :

Françoise BERNARD  345 décède le 10 septembre 1789 à Frédignac, à l'âge de 65 ans. Son veuf Pierre BROQUAIRE  344 en aura 82 quand il mourra le 1er jour complémentaire de l'An XII, c'est-à-dire le 18 septembre 1804, au lieu du Sablon dans le village de Cars, qui se trouve également proche de Blaye. Il y est venu vivre après la mort de sa femme, et avec son fils Jacques BROQUAIRE 172 qui y est cultivateur.

 

Cars
Cars - Vue générale prise du Château Pardailhan

 

 

Le jeune Jacques BROQUAIRE  172  devient également vigneron. En 1793, alors qu'à 24 ans il est témoin au mariage de sa soeur Elisabeth, on apprend qu'il demeure "chez le citoyen Reynier, près le bourg de Fredignac". Jacques devait travailler dans les vignes de ce monsieur REYNIER, qui le logeait en contrepartie.

Je ne sais pas quand Jacques BROQUAIRE  172 épouse Marie CHAPION  173 , mais c'est avant 1792. Comme ses ancêtres, il a également 7 enfants :

On constate que Jacques sait aisément signer son nom (il le fera sur les actes de ses enfants), et qu'il a beaucoup changé de domicile, bien que tous ces villages se situent sur une surface de quelques kilomètres carrés.

 

La signature de Jacques BROQUAIRE (172) : Signature Jacques Broquaire

 

Mais finalement, la famille déménage de 14 kilomètres vers le sud-est et se fixe à Mombrier, près de Bourg. Le fils Jacques BROQUAIRE  86  devient lui aussi cultivateur dans cette commune de Mombrier.

 

Mombrier
Mombrier - Vue générale

 

 

 

Branche BAILLOU

Non loin de là, le vigneron Pierre BAILLOU  174 (né vers 1770) et Jeanne BAUDOUIN  175 vivent à Saint-Trojan, village situé tout près de Samonac. Ils y ont 5 enfants, dont le patronyme peut aussi s'écrire BALLIOU :

 

C'est ainsi que Jacques BROQUAIRE  86 et Marie BAILLOUX  87 se rencontrent et se marient le 12 mai 1829 à Saint-Trojan. Il a alors 33 ans, et elle en a 23. Puis le jeune couple s'installe dans le village voisin de Comps, où naît leur fille aînée Jeanne BROQUAIRE  43  le 9 février 1830. Enfin la famille s’installe à Samonac, au lieu-dit de Peyrefaure.

Pour remonter plus loin...

Je ne trouve pas le mariage de Pierre BAILLOU et Jeanne BAUDOUIN, à St-Trojan, avant 1802. Sont-ils mariés ailleurs ?

A St-Martin-Lacaussade, trouver le mariage de Jacques BROQUAIRE et Marie CHAPION, avant 1797 - Rien dans le registre en ligne couvrant la période an V-1806 (E DEPOT 3532;E6), ni dans celui 1793-an IV (E DEPOT 3529;E3). Sont-ils vraiment marié là ? On ne sait rien de l'origine de la Marie CHAPON, son lieu de naissance est certainement son lieu de mariage.

Comps
Comps, Gauriac, Villeneuve, St-Ciers, Samonac, Mombrier, près de Bourg - Carte de Cassini

 

Ce sera le lieu de la rencontre entre Jacques LAROCHE  42  et Jeanne BROQUAIRE  43  , qui se concrétisera par un mariage le 23 novembre 1850, à Samonac.

 

Jacques et Jeanne s’installent au village de la Carre, commune de Gauriac, près de Comps, où ils sont cultivateurs. Ils y ont pour fille Marie dite Suzanne LAROCHE  21  qui naîtra le 27 juin 1862.

 

Ils ont aussi un fils, Pierre LAROCHE, né vers 1753, qui devient maçon ; c'est lui qui ira déclarer le décès de ses grands'parents Marie BAILLOUX  87 et Jacques BROQUAIRE  86 à la mairie de Comps.

 

 

Gauriac
Gauriac - L'église

 

Puis ils s'installent dans le village de Berthou, dans la commune de Comps. C'est là, dans ce dernier domicile, que Jacques LAROCHE  42 décède le 17 avril 1876. Il n'avait alors que 48 ans, ce qui laisse supposer qu'il est mort des suites d'une maladie. Sur son acte de décès, un des témoins s'appelle Jean GUIBERT, et il est voisin de la famille. Mais il a 26 ans en 1876, ce qui fait qu'il ne peut pas être notre ancêtre Jean "Jules" GUIBERT  20 , qui lui, aurait juste eu 16 ans ; cela pourrait par contre être un de ses frères aînés, ou bien un cousin.

Son épouse Jeanne BROQUAIRE  43 et sa fille Suzanne LAROCHE  21 restent vivre dans cette maison jusqu'au mariage de cette dernière. Une fois Suzanne partie fonder un foyer avec son mari, je suppose que Jeanne BROQUAIRE  43 est y restée seule jusqu'à son propre décès, à une date que je ne connais pas encore.

Pour remonter plus loin...

A Comps, trouver le décès de Jeanne BROQUAIRE, après 1902 (elle n'est pas dans les tables décennales en ligne jusqu'à cette date). A moins qu'elle soit décédée ailleurs... Pas trouvé sur Généanet.

Les grands'parents de Suzanne, Jacques BROQUAIRE  86 et Marie BAILLOUX  87 , ont aussi fait le déplacement pour venir vivre à Berthou, proche de leur famille. Marie BAILLOUX  87 quitte ce monde le 21 août 1877, âgée de 71 ans, dans son domicile et entourée des siens. Son époux Jacques BROQUAIRE  86 lui survivra 2 ans, et partira lui aussi en été le 14 août 1879, à 82 ans.

 

 

Suite de l'histoire : vers        Marie "Suzanne" LAROCHE