Généalogie de la famille DUCOS - PONTET

Les archives des actualités 2025

Les anciennes... nouveautés de l'année 2025 !

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Voici les billets "Actualités" qui sont parus pendant l'année 2025. Ils sont classés dans l'ordre chronologique inverse, du plus récent au plus ancien ; une façon là aussi de remonter le temps ! Bonne lecture.

 

Date de l'actu : 31/10/2025

Premier billet d'actualité de cette nouvelle ère de parution mensuelle (voir billet précédent). Dans les pages narratives racontant les origines de chaque branche, et justement nommées "Les origines des ...", vous savez que 3 pavés servant à vous repérer sont à votre disposition en haut de page. Vous avez dans l'ordre d'apparition à l'image le pavé bleu "Se repérer dans l'espace", le pavé vert "Se repérer dans le temps", et enfin le pavé rouge "Se repérer dans les branches". Ce dernier pavé donne la liste des branches principales qui se rapportent à la famille dont je conte les origines.

Mais dans les pages narratives de chaque individu, si les pavés bleus et verts ont toujours une fonction légitime, le pavé rouge ne sert à rien puisque la seule branche qui se rapporte à lui est son conjoint (époux ou épouse) qui a lui-même une page attitrée. Ce pavé rouge inutile est donc tout simplement inexistant dans ces pages individuelles. Enfin, jusqu'à aujourd'hui !

Désormais, le pavé rouge fait son apparition également dans les pages narratives individuelles, mais avec une autre fonction. Nommé "Pour se repérer dans les périodes de sa vie", il liste ici les grandes étapes de l'existence de l'ancêtre, qui sont l'objet d'un paragraphe avec un titre. Vous avez principalement les paragraphes "Enfance", "Service militaire" pour les hommes, "Famille", et bien d'autres qui s'ajustent à la vie de la personne dont l'histoire est relatée. Vous pouvez donc cliquer sur une étape particulière de sa vie, pour arriver directement sur le paragraphe désiré. Le dernier lien de la liste est toujours la ligne de vie, véritable résumé de son existence qui ponctue chaque page de chaque ancêtre. A tester sans modération !

Date de l'actu : 17/10/2025

La généalogie, une passion chronophage ? Oui, je l'ai expliqué dans le billet de la dernière quinzaine, elle l'est assurément ! Les recherches, les enquêtes, la fouille minutieuse des registres, le classement des données, le recoupement des informations... Tout cela, vous connaissez sans doute tous par coeur ! Mais ici, il y a encore une étape supplémentaire : la mise à jour et l'entretien de ce site ! Car outre la gestion des données purement généalogiques, il faut ensuite faire une synthèse des informations relevées, recouper avec les éléments existants, contextualiser les événements, rédiger l'histoire de ces ancêtres qui nous ont tant fait chercher, trouver des illustrations des lieux où ils ont vécu, expliquer certains points précis qui aident à comprendre ce qu'ils ont vécu... Ce n'est pas le travail le plus facile, loin de là, ni le plus rapide à faire. Mais c'est de loin le plus passionnant. Cependant, une autre chose est à ajouter, dans le cas de ce site, comme si tout ça ne suffisait pas !

Ce billet d'actualités, que vous êtes en train de lire, et qui est vite lu vous en conviendrez ! Eh bien, il faut aussi le rédiger, et avant cela trouver le sujet, le penser dans sa forme et dans son fond, taper le texte et le publier. Je le renouvelle tous les quinze jours, et si ce rythme était parfait sur les 4 premières années de son existence, aujourd'hui j'avoue peiner un peu pour trouver des sujets. Je ne mets pas de nouveautés sur le site toutes les semaines, pas forcément de données nouvelles non plus, ni d'innovations technologiques... Aussi vais-je modifier la fréquence de renouvellement des billets d'actualités. Il ne sera plus toutes les quinzaines, mais tous les mois à compter du mois prochain, novembre 2025. Bien sûr, si une nouveauté ponctuelle survenait, un nouveau billet s'imposerait, sans forcément attendre le mois suivant. Mais ce nouveau rythme sera plus en adéquation avec les mises à jour de ce site qui, je l'espère, seront encore nombreuses et passionnantes !

Date de l'actu : 03/10/2025

Si vous êtes en train de réaliser votre généalogie, vous vous êtes sans doute rendus compte de l'une des caractéristiques de cette passion. Elle est très chronophage ! En effet, retrouver le registre qui contient l'information et l'acte qu'on recherche, et le fouiller minutieusement, parfois page après page, en tournant inlassablement les feuilles (réelles ou virtuelles) pour finir enfin par le trouver... dans le meilleur des cas ! Car des fois on ne trouve rien, et il faut alors regarder dans les registres des paroisses aux alentours, et recommencer l'opération. Une fois, deux fois, dix fois, cent fois ! Bien sûr, je parle essentiellement pour les registres paroissiaux, l'état civil établi par Napoléon offrant des "conforts" plus rapides et plus appréciables avec les tables décennales, des dates de naissance à la place des âges des intéressés, etc.

Oui, mais c'est une passion quand même, et donc on "supporte", parfois on recherche par plaisir, ce temps passé sur les registres pour parfois rentrer bredouille. Je suis de ceux qui le supportent bien, et parfois je prends même le temps de m'intéresser également aux actes qui ne me concernent pas. Et pourtant... Je me dis que je serais peut-être mieux à faire autre chose, a réparer ce volet qui ferme mal, à me promener au grand air, à discuter un peu plus avec mes amis, mes voisins, ou des passants dans la rue. Comment peut-on délibérément s'enfermer à trifouiller de vieux papiers poussiéreux, alors que la vraie vie est là, au dehors ? Le fait de s'intéresser aux vies passées doit-il nous empêcher de profiter pleinement de la nôtre ?

La réponse est non, sans aucun doute, mais comme toutes les passions, il est difficile d'en mesurer et d'en fixer les limites qu'elles doivent prendre dans nos vies. Comme les addictions, elles supportent mal le contrôle qu'il faut garder sur elles. J'avoue avoir eu du mal par le passé à me maintenir à l'intérieur de ces limites, et la passion a volontiers bousculé un peu le reste de mon cadre de vie. Oui, mais je me suis soigné docteur ! Aujourd'hui je sors plus, je vois plus de monde, je discute plus, je prends plus le temps, et... je continue à faire de la généalogie ! Tout est question de dosage. Et vous, où en êtes-vous de la régulation de votre passion ?

Date de l'actu : 19/09/2025

Suite logique de la quinzaine précédente. Souvenez-vous, je vous avais raconté la visite que j'ai faite cet été sur les terres où ont vécu certains de mes ancêtres. Pour rappel, il s'agissait de l'Aveyron, anciennement la province du Rouergue, dans un périmètre situé entre Rodez, Bozouls, Espalion, Saint-Félix-de-Lunel... J'y suis allé cet été pour y passer des vacances, et j'ai ramené entre autres un certain nombre de photos de ces lieux dont j'ai pour la plupart découvert l'existence dans les registres paroissiaux. Mais les paysages étant d'une beauté exceptionnelle et les habitants d'une rare gentillesse, j'en ai ramené également de merveilleux souvenirs.

Cette quinzaine, je suis passé à l'étape suivante. Il s'agissait de trier les photos réalisées sur place, les classer par lieux, et sélectionner les plus représentatives. Je ne dis pas les plus artistiques, car certaines sont plus recherchées en matière d'esthétique, de composition et de lumière ; mais celles-ci ne répondent pas à un besoin de témoignage, d'illustration "utile" pour ce site. Car vous l'avez deviné, le but était de me servir de ces photos pour illustrer les pages narratives des ancêtres originaires de cette belle région.

Après un travail minutieux, je vous présente donc ces pages actualisées. Il s'agit des 5 pages Les origines des PONS, Les origines des CAREL, Pierre PONS, Jeanne Dorothée CAREL, et Joséphine PONS. Ces photos, evidemment en couleurs, apportent une touche rafraîchissante (du moins je trouve) à la lecture de ces pages, dans lesquelles beaucoup d'illustrations sont des cartes postales anciennes en noir et blanc. Si ces photos sont, par nécessité, la représentation actuelle des lieux de vie de nos ancêtres, et non pas leur cadre de vie tel qu'il était à l'époque, les couleurs des arbres, des briques de grès rouge ou du calcaire des constructions, et même la couleur du ciel, donnent une idée très précise de leur environnement immédiat. Cela ajoute, il me semble, un peu plus d'humanité dans la vie de ces personnages. Je vous laisse le soin de me dire ce que vous en pensez sur le Livre d'Or !

Date de l'actu : 05/09/2025

Je ne vais pas vous bassiner à vous raconter mes vacances, mais cette année j'ai réalisé un voyage que je voulais faire depuis longtemps. Je suis parti en Aveyron, un peu au nord de Rodez, à la recherche des lieux de vie de mes ancêtres ! En remontant les générations, j'avais découvert qu'une de mes arrière-grands-mères paternelles était née à Rodelle, commune de l'Aveyron. Ses ancêtres à elle sont natifs de différentes villes ou villages aux alentours, entre autres Bozouls, Muret-le-Château, St-Geniez-d'Olt, etc. J'ai donc pris ma carte, la liste de ces communes, et je suis parti sur leurs traces !

Deux choses sont ici à remarquer. D'abord, la beauté des paysages. Dans un relief très vallonné, où rares sont les routes tracées à la stricte horizontale, on se trouve baigné dans une amosphère particulière qui inspire deux sentiments très différents. Quand on est au fond d'une vallée, près de la rivière qui en creusa le sillon, on est subjugué par les versants des deux collines qui nous entourent et nous enveloppent de leurs bras. Par contre, quand on est situé au sommet de l'une d'elles, la vue panoramique qui s'offre à nous est à couper le souffle, s'étalant sur 360 degrés, et où l'on pourrait rester des heures. Vraiment, un département à découvrir !

Le second point est d'ordre plus généalogique. Je me suis retrouvé devant la maison où est née mon ancêtre, et beaucoup de ceux qui l'ont précédée. A ce moment-là, l'émotion fut très intense. L'avoir découverte dans les registres, l'avoir cherchée, puis l'avoir trouvée et la contempler en face de soi est quelque chose d'inexplicable. Malgré les traces de civilisation récente qui "polluent" un peu le bâtiment (parabole, voiture, fils électriques...), j'étais au XIXème siècle avec ces ancêtres pour lesquels je pouvais enfin visualiser un environnement, un paysage, un cadre de vie. Je pouvais voir les hommes sortir de la maison pour aller travailler, les femmes s'occuper du linge et les enfants jouer devant le seuil. Une plongée totale, immersive et intemporelle dans leur univers ! Une expérience que je vous souhaite à tous, généalogistes amateurs et passionnés, de vivre aussi intensément que moi.

Date de l'actu : 22/08/2025

Il y a maintenant plusieurs années que vous voyez apparaître, en haut à droite de chaque page narrative, un petit arbre généalogique simplifié. Celui-ci vous indique où se situe l'ancêtre dont il est question dans la page, par rapport à ma génération. Le nom de l'ancêtre est alors mis en rouge, en gras et surligné en jaune. A moins d'avoir un dizième à chaque œil, vous ne pouvez pas le manquer !

Toujours dans le but de rendre plus lisibles et plus évidents les liens familiaux qui souvent présentent des aspects assez compliqués, je me suis demandé s'il ne serait pas judicieux de faire ressortir le "chemin" générationnel qui me lie à cet ancêtre. En d'autres termes, j'ai voulu rendre visibles les ancêtres par lesquels je suis relié à l'ancêtre dont la vie est racontée. Plutôt que de préciser : il est du côté de mon père, ou bien c'est mon arrière-grand-mère du côté de ma mère mais en passant par son père, descriptions qui sont autant alambiquées qu'incompréhensibles, j'ai voulu privilégier une explication graphique.

Dorénavant, l'ancêtre-sujet de la page aura toujours la même apparence (rouge gras surligné), mais le nom de son fils ou de sa fille sera aussi mis en gras, par contre toujours écrit en noir et non surligné. De même, le nom de son petit-fils ou de sa petite-fille, aussi en gras. Et ainsi de suite jusqu'à arriver à moi. Le trajet à travers les générations est donc mis clairement en évidence, et permet de reconnaître d'un seul coup d'œil la position de l'ancêtre dans l'éventail généalogique. Cela se limite évidemment aux 4 générations au-dessus de la mienne. Je vous laisse tester ce "nouvel" arbre, et j'aimerais avoir des retours sur cette innovation, est-elle suffisante ou manque-t-elle encore de clarté ? N'hésitez surtout pas à vous exprimer sur le Livre d'Or ! Je répondrai à chaque remarque.

Date de l'actu : 08/08/2025

Si vous êtes attentifs à la lecture des pages de ce site, vous remarquerez que toutes les branches dont il est question ici se rejoignent au final en un seul lieu. Une commune est prépondérante dans l'histoire de notre famille, elle est le centre où tout converge et aboutit. Pourtant, notre histoire est répartie sur beaucoup de communes (ou paroisses) différentes, mais situées majoritairement dans le Haut-Médoc. Nous avons des ancêtres à Sainte-Hélène, Castelnau, Avensan, Moulis... Mais le berceau de notre famille se trouve à Listrac-Médoc !

Listrac est le point de convergence où toutes les branches font leurs jonctions ; c'est pourquoi mes 4 grands-parents y ont vécu, un couple à Libardac, l'autre à Codres. De ce fait, mon enfance est habitée par ces personnages et d'autres que j'ai connus, avec leurs caractères, forts ou effacés, avec le souvenir de leurs émotions, la joie pendant les fêtes de famille ou la tristesse lors des enterrements, avec les parfums, les odeurs et les couleurs qu'il pouvait y avoir chez eux, avec leurs voix, leurs sourires et leurs regards.

Les lieux sont aussi des univers à part entière. A Libardac, cette forêt de pins et de chênes offre une ombre bienfaitrice contre les chaleurs estivales. La chêvre de ma grand-mère, les poules et les lapins complètent le décor, et la cheminée trône en bonne place pour réchauffer les corps en hiver. C'est là que j'ai appris à faire du vélo (à Libardac, pas dans la cheminée). A Codres, ce sont des vignes à perte de vue qui se donnent au regard, laissant apercevoir Peyrelebade au loin, avec la silhouette d'Odilon Redon là-bas, tout au fond... Regardez bien ! Le cerisier devant la maison, et le jardin potager derrière, diffusent des goûts et des senteurs que je peux percevoir encore aujourd'hui. Nous avons tous des souvenirs d'enfance de nos grands-parents ; les miens sont plutôt joyeux et restent à jamais dans un coin de ma mémoire. Bien que n'y étant pas né et n'y ayant jamais habité, je me sens profondément Listracais !

Date de l'actu : 25/07/2025

L'ordre dans lequel on mène ses recherches généalogiques dans l'Etat civil est très important : on part de ce qu'on connaît pour aller vers ce qu'on ne connaît pas. Concrètement, cela revient à partir d'une personne connue, pour laquelle on a un acte mentionnant des informations, pour découvrir les noms de ses parents, et rechercher ces derniers dans les registres pour en faire des personnes connues. On remonte ainsi de génération en génération. C'est le principe de base que tout le monde connaît. Ce site présente l'histoire de toutes les branches de ma famille, et bien sûr les recherches ont été réalisées selon ce principe, en partant des personnes connues, les plus récentes, et en remontant vers les personnes les plus anciennes. Mais cette histoire est rédigée sous forme d'un récit, qui au contraire démarre par les périodes et les ancêtres les plus anciens, pour peu à peu, génération après génération, descendre jusqu'à chacun de mes grands-parents. En clair, la rédaction se fait dans l'ordre inverse, l'exact opposé, des recherches qui ont permis son établissement.

Une des conséquences de ce récit à "rebrousse-poil" est une apparente incohérence que je vais tenter d'expliquer. La présentation des origines d'une branche donnée fixe un cadre précis et assez détaillé pour le lecteur : une paroisse, une ville, un littoral, une montagne... Pour l'exemple, appelons cette paroisse d'origine Vieuxville. Puis, un peu plus loin dans le récit, on apprend que la famille a déménagé pour aller vivre dans une autre paroisse, qu'on va appeler Neuveville. Un pavé jaune "Pour remonter plus loin..." pose la question : comment ai-je trouvé que la famille vient de Vieuxville ? Je donne l'explication après avoir posé la question, mais ce n'est pas là mon sujet. Le point que je veux soulever ici est que je donne une information comme vraie dès le départ (la famille est originaire de Vieuxville), et en cours de route je dois l'expliquer comme si elle était remise en question (d'où vient la famille si ce n'est pas de Neuveville ?). En fait, l'information n'est pas remise en cause, mais au cours de mes recherches sur Neuveville, en remontant le temps il est arrivé un moment où je ne trouvais plus trace de la famille au-delà d'une certaine date. Donc la question s'est posée : d'où viennent-ils s'ils ne sont pas de Neuveville ? Après des recherches, j'ai trouvé la réponse, et j'ai continué mes recherches sur Vieuxville.

Ces pavés jaunes ne sont à lire que de manière facultative dans le récit, on peut les sauter sans rien perdre de l'histoire. Par contre, leur lecture vous dévoilera les "coulisses" des recherches, des questions que je me suis posées à ce point-là du récit, les pistes de réflexions et les documents sources qui ont étayé mes choix. En lisant l'histoire dans l'ordre chronologique, la lecture d'un pavé jaune peut parfois poser une contradiction avec le récit "officiel", mais il ne fait que relater une des nombreuses circonvolutions généalogiques qui sont apparues lors des recherches menées... dans le sens inverse !

Date de l'actu : 11/07/2025

Si vous recherchez dans ce site un nom en particulier, vous pouvez facilement le trouver dans la page des recherches par patronyme. Cette page est accessible directement par le menu de gauche, ligne "Par patronyme". Vous y retrouverez tous les noms qui font l'objet d'un paragraphe dans ces pages, classés par ordre alphabétique. Une fois le nom trouvé dans la liste, il suffit de cliquer dessus pour aller vers le paragraphe qui le concerne.

Ceci n'est pas nouveau, mais j'ai ajouté dernièrement une petite nouveauté. Un alphabet se trouve en tête de la page pour vous permettre de cliquer sur l'initiale du nom recherché, afin d'arriver sur la liste des patronymes qui commencent par cette initiale. Cet alphabet existait déjà lui aussi, mais il était dans la même grosseur de police que le texte environnant, et donc pas forcément bien mis en avant. Les caractères sont aujourd'hui plus gros, de couleur bleue, et permettent de mieux viser l'initiale désirée. Si la lettre est en grisé, cela signifie qu'il n'existe dans notre généalogie aucun nom commençant par cette lettre, qui donc ne comporte aucun lien. Mais ce n'est pas tout.

En passant la souris sur chacune des lettres de l'alphabet, une info-bulle donne désormais une indication intéressante : elle affiche le nombre d'occurrences disponibles pour chaque initiale. En clair, en passant la souris par-dessus votre initiale, vous savez tout de suite combien de noms sont listés sous cette initiale, avant même de cliquer dessus. Cela donne en quelque sorte un indice de "popularité" de l'initiale, et peut vous informer sur les chances que vous avez de trouver le nom qui vous intéresse ! N'hésitez pas à vous rendre sur cette page pour la tester.

Date de l'actu : 27/06/2025

Le billet que voici ne va intéresser que les passionnés de généalogie qui ont des ancêtres dans le département de la Gironde. En effet, le site des Archives Départementales de ce département vient de faire récemment une mise à jour d'importance. Des registres de naissances, mariages et décès ont été numérisés et ajoutés sur une période allant jusqu'à la première moitié du XXème siècle. Bien sûr, on n'a pas uniformément toutes les années pour les 3 types de registres sur toutes les communes girondines. Mais par exemple, sur celle de Listrac-Médoc, on a les naissances jusqu'en 1924, les mariages jusqu'en 1940 et les décès jusqu'en 1950. Ces nouvelles mises en ligne me permettent de retoucher les pages de Louise ROSSIGNOL (concernant sa fille, Madeleine-Marie), Pierre Henri GOFFRE (pour sa fille cachée), Pétronille JUSTE (pour 2 de ses enfants) et Joséphine PONS (pour sa fille aînée).

Sur ces périodes récentes, on peut trouver des choses ne concernant qu'un petit nombre d'ancêtres. Cela se limite à nos parents, grands-parents ou arrière-grands-parents. Souvent même, le fait de trouver les actes de décès de ces personnes n'apporte rien de plus que ce que l'on savait déjà ! Mais outre le fait de compléter sa collection d'actes, il y a quand même un petit parfum en plus que pour les autres. Ces actes concernent des personnes que l'on a connues, pendant notre enfance ou notre adolescence, et pour ma part je découvre ces documents avec un peu de nostalgie. Je repousse même les limites en cherchant des actes concernant des grands-oncles et grands-tantes, individus issus de branches colatérales récentes et qui ont marqué mon enfance. Des souvenirs se ravivent alors dans ma mémoire, avec les couleurs de leurs vêtements et les odeurs de leurs cuisines ou de leurs jardins. Du plaisir pur de la généalogie situé bien au-delà des listes insipides de noms, de dates et de lieux ! Pas de données, mais une fragrance... Du plaisir pur, vous dis-je !

Date de l'actu : 13/06/2025

Il y avait quelques temps que je n'avais pas fait de mises à jour sur ce site concernant des données généalogiques. Alors pour compenser, j'en fais 3 d'un coup ! La première concerne la branche GOUDAL, que vous retrouverez sur la page Les origines des PONS. Les GOUDAL sont les seigneurs d'une localité dans l'actuelle Aveyron, située entre Rodelle et Muret-le-Château. En relisant ce paragraphe, je me suis rendu compte que le récit rendu n'était pas forcément très clair, en particulier sur un point : ils sont seigneurs depuis le XIVème siècle, mais la branche aînée n'est anoblie qu'à la toute fin du XVIème ! Comment cela se fait-il ? Réponse dans la page concernée.

Le deuxième est au sujet de la branche LAMORERE, dont le principal représentant, Pierre de LAMORERE est un bourgeois de Bordeaux et procureur de profession. Il va se marier avec une jeune femme de Moulis, en pleine campagne médocaine, et y demeurer. Pour quelle raison ce changement radical de vie, alors que tout semblait lui sourire à Bordeaux ? Vous découvrirez dans quelle institution il a travaillé, qui il y a rencontré et la cause de ce mariage qu'il n'a pas choisi, dans la page Les Origines des BERNADA !

Enfin, le troisième point concerne les FOURTHON de Moulis, et notamment un certain Michel FOURTHON qui me donne bien du souci. Un cas pratique de recherche généalogique : j'ai plusieurs sources qui me donnent des infos que je ne peux pas vérifier, car les éléments livrés par les actes sont différents, voire contradictoires. C'est sans conteste la mise à jour la plus floue des trois, à tel point qu'il faut la prendre au conditionnel. Mais elle ne manque pas d'intérêt elle non plus ! Bonne lecture à vous tous.

Date de l'actu : 30/05/2025

"Coucou, c'est nous les cookies !" "Votre vie privée est très importante pour nous." "Acceptez et continuez". Nous avons tous vu ce genre de messages sur des sites au hasard de nos visites. Une information nous semble intéressante sur un site, on clique, la page commence à s'afficher, et pile à l'endroit où figure l'information recherchée, une vilaine boîte de dialogue s'affiche et vous dit que pour accéder au contenu du site, il faut s'identifier, s'abonner, se connecter, entrer des données personnelles, etc.

Pour rappel, les cookies sont des petits fichiers qui se stockent dans votre ordinateur, et qui contiennent des informations concernant vos préférences sur chaque site visité. Grace à ces fichiers, vos identifiants de connexion s'inscrivent automatiquement quand vous arrivez sur le site, mais ils peuvent aussi contenir des informations plus personnelles, comme vos produits les plus achetés sur un site, vos préférences de consommation, etc. Une manière d'espionner votre navigation et de définir le profil du consommateur que vous êtes.

En marge de ces méchants espions, une bonne nouvelle : ici, sur ce site, rien de tout cela ! La navigation est ici totalement libre, gratuite, sans inscription, sans donner d'informations personnelles, sans abonnement, sans surveillance. La seule information que je prends en compte est le comptage du nombre de visiteurs : vous vous connectez, le compteur affiche le nombre total + 1. Rien d'autre ! Vous êtes libres de consulter toutes les pages de ce site sans rien donner en échange... si ce n'est un petit mot sur le Livre d'or ! C'est une autre liberté que je vous laisse : ne vous privez pas !

Date de l'actu : 16/05/2025

Tout le monde sait ce qu'est un arbre généalogique : c'est une représentation graphique des ascendants d'une personne. On met son nom en bas, la ligne au-dessus on met ses parents, puis les grands-parents au-dessus d'eux, et ainsi de suite en remontant. On dit d'ailleurs bien : remonter dans le temps ! Aussi, plus on monte et plus les ancêtres se multiplient et se divisent comme les branches d'un arbre. Sauf que...

Quand on parle de ses ancêtres, on parle surtout de ses racines. Certains sont de notre région, d'autres viennent de l'autre bout de la France, quand ils ne traversent pas des frontières ! C'est ce qu'ils ont été qui font, pour une part, ce que nous sommes. Nous venons de telle région, telle localité, telle ville, ce sont là nos racines. Alors, pourquoi mettre nos racines... dans les branches ?! Les arbres généalogiques sont-ils tous inversés, ou est-ce nous qui marchons sur la tête ?

En réalité, le concept fonctionne très bien quand on parle de généalogie descendante, c'est-à-dire celle qui décrit les enfants, petits-enfants, etc d'un individu (ou d'un couple) donné. Ce dernier est en bas, comme racine de l'arbre, celui qui fait souche si j'ose dire ! Au-dessus se trouvent ses enfants, encore au-dessus d'eux les petits-enfants et ainsi de suite : au fur et à mesure qu'on monte, les familles se séparent ainsi... Comme les branches d'un arbre ! Dans ce cas-là, tout marche parfaitement.

Alors, pour les généalogies ascendantes, chef, qu'est-ce-qu'on fait ? Libre à chacun de répondre à cette question ; vous pouvez très bien choisir de représenter vos ancêtres en tant que racines, et vous positionner en tant que de cujus sur le tronc. Dans les arbres de ce site, j'ai opté pour la solution inverse, c'est-à-dire la représentation traditionnelle. En effet, malgré l'apparent paradoxe que je viens de soulever, je préfère conserver le graphisme habituel car c'est bien de nos ancêtres que nous descendons. Si les racines d'un arbre sont primordiales pour sa survie, ses branches, ses feuilles et ses fleurs fournissent la preuve éclatante que l'arbre est en vie. Je ne suis pas de bois : y positionner mes ancêtres et les élever dans les branches jusqu'à la canopée comme s'ils étaient toujours vivants, me semble une bien belle façon de leur rendre hommage.

Date de l'actu : 02/05/2025

Il y a longtemps que je voulais faire un point sur la fréquentation de ce site. Avec les différentes mises à jour consécutives aux multiples recherches que je continue de faire, j'ai toujours eu des informations diverses à communiquer, et ce sujet-là passait systématiquement au second plan ! Cette fois-ci, je m'y colle !

Petit récapitulatif : ce site a été commencé en 2009, mais hébergé sur un autre serveur que celui sur lequel il se trouve actuellement. J'avais bien sûr des visiteurs à l'époque, dont beaucoup m'avaient laissé des messages sympathiques et des remarques judicieuses sur le Livre d'Or. Puis en 2020, patatras ! Le serveur a fermé sans ménagement, mon Livre d'Or a été perdu, et le décompte des visiteurs avec ! Depuis, je suis sur Hebfree et très content de l'être, et j'ai remis le compteur à zéro en décembre 2020. Il a fallu quelques années pour que les habitués retrouvent la nouvelle adresse du site, ce qui fait que je tournais à seulement quelques dizaines de milliers de visiteurs jusqu'au début 2024. Ensuite, le Big Bang ! Vous étiez 100 000 visiteurs en février 2024, et le double en août de la même année !

Avant cette période, la fréquentation du site était de 100 à 200 visiteurs par jour. Aujourd'hui, vous êtes entre 2 000 et 3 000 personnes quotidiennes ! Le compteur affiche, au moment où j'écris ces lignes, un total de 347 600 visites en moins de 5 ans d'existence sur ce serveur ! Je tiens donc à vous adresser à tous et toutes un grand merci pour l'intérêt que vous manifestez au quotidien à ce travail colossal que j'ai entrepris depuis une vingtaine d'années. Vous pouvez me donner vos impressions sur le Livre d'Or accessible ci-dessous ou par le menu. Sachez que désormais, je fais des sauvegardes du Livre d'Or, pour ne plus perdre vos messages en cas de fermeture sauvage des serveurs ! Encore une fois, un immense merci, et très bonne visite !

Date de l'actu : 18/04/2025

Après avoir fait des relevés systématiques des listes de recensement dans toutes les communes où j'ai des ancêtres, j'ai pu récolter des informations qui n'ont pas forcément grand intérêt prises une à une isolément, mais qui une fois recoupées et comparées, donnent un aperçu sur l'évolution des familles dans le temps. C'est ainsi que j'ai pu modifier l'histoire de Joséphine PONS et de ses sœurs qui ont quitté leur Aveyron natal pour aller travailler en tant que servantes dans des familles de la région bordelaise. Jusque là, je pensais que les 3 sœurs étaient parties ensemble : un aussi long voyage (370 km) pour un changement de vie aussi radical devait supposer qu'elles soient réunies pour affronter cette épreuve. Mais les listes de recensement ont vertement remisé mes certitudes dans la corbeille. Joséphine, Virginie et Germaine sont présentes toutes trois à Rodelle en Aveyron en 1896. On retrouve Germaine et Joséphine dans les listes aveyronnaises en 1901, mais plus Virginie. Après cette date, plus de trace d'aucune sœur. Par contre, en Gironde, on trouve Virginie mariée en 1904 et vivant avec son époux en 1906. Cette même année, Germaine est également présente en tant que domestique dans le Médoc. Elle ne s'y mariera qu'en 1908. Pour Joséphine, on ne la trouve qu'en 1911 dans les listes girondines, après son mariage qui a lieu un an plus tôt.

Toutes ces constatations dessinent bien l'histoire de ces 3 sœurs telle qu'elle a dû se produire. Virginie a été placée la première, et est partie seule vers la Gironde entre 1896 et 1901. Puis, les choses se passant bien, on a placé Germaine, pourtant l'aînée, dans un second temps entre 1901 et 1906. Là encore, suite au succès de cette opération, c'est Joséphine qui est enfin partie entre 1906 et 1910, année de son mariage. Les résultats de ces dernières recherches sont intégrés dans la page de Jeanne Dorothée CAREL (la maman des 3 filles) et dans celle de Joséphine PONS, accessibles depuis le menu par le côté Marcelle GUIBERT. Quel plus beau trésor que le fait de faire parler des listes monotones et interminables pour en voir ressurgir, dépoussiérée du passé, une vérité historique !

Date de l'actu : 04/04/2025

En ce moment je fouille les recensements de la population des communes dans lesquelles mes ancêtres ont vécu, sur le site des Archives Départementales de la Gironde. J'y ai déjà eu recours au long de mes recherches pour identifier les lieux de vie de ces ancêtres, c'est-à-dire avoir plus précisément le nom du village ou du lieu-dit où ils habitèrent, ou bien le nom de leurs rues pour les citadins. Mais je ne les avais consultés que ponctuellement, pour une année donnée en une commune donnée, à mesure de mes besoins. Aujourd'hui, je fais un relevé systématique de toutes les communes concernées, de toutes les années de recensement mises à disposition aux AD33, à la recherche de tous les ancêtres qui peuvent être concernés. Je fais même certaines communes avoisinantes quand il me manque une année dans le parcours de vie d'une famille. Si je ne trouve pas mon ancêtre là où il devrait résider, c'est qu'il vit ailleurs !

L'avantage de procéder ainsi est de connaître la composition de la famille et son évolution dans le temps. On se rend parfois compte que nos ancêtres ont des domestiques à leur service, ou bien qu'ils sont eux-mêmes serviteurs chez une famille aisée. Par contre, il y a une constante sur le site de la Gironde : quelle que soit la commune, on a le recensement de l'année 1820, puis plus rien jusqu'en 1891 ! On a ensuite les années 1896, 1901, 1906, 1911, puis après la guerre 1921 et 1926. Pendant le 1er conflit mondial, je comprends qu'il n'y ait pas eu de recensements réalisés, mais pourquoi ce trou énorme dans le XIXème siècle alors que depuis 1836, le Ministère de l'Intérieur a imposé la mise en place d'un recensement tous les 5 ans ? Où sont ces registres qui n'ont pas été numérisés ? Je l'ignore, mais il est dommage de ne pas pouvoir suivre la trace de nos ancêtres de 1836 à 1886. Nous passons certainement à côté de belles surprises...

Date de l'actu : 21/03/2025

Question philosophique : la vérité se trouve-t-elle dans l'impartialité ? Vous avez 4 heures... En d'autres termes, faut-il être totalement dégagé de toute implication par rapport au sujet qu'on étudie, sans aucune influence d'aucune sorte, pour être parfaitement juste dans le compte rendu qu'on en fait ? Un policier ne peut pas enquêter sur un crime dont est victime (ou assassin) un membre de sa famille : il doit raisonner sans aucun affect envers les protagonistes du meurtre, avoir la tête claire et la seule motivation de bien faire son travail. Un historien doit étudier une époque qu'il n'a pas connue, partir vierge de tout préjugé ou souvenir personnel et l'étudier à travers les sources, documents ou témoignages extérieurs qu'il peut recueillir. Un journaliste impliqué dans une affaire ne peut pas rédiger lui-même un article sur le sujet en toute impartialité.

Mais quand on parle de ses ancêtres, comment être impartial ? Pourtant, je cherche la vérité, mais comment être dégagé de mon sujet alors qu'il s'agit de ma famille ? En réalité, dans les pages narratives de ce site, je fais souvent le contraire ! Je m'implique souvent dans le récit en ignorant parfaitement la première règle du journaliste qui est de ne pas prendre parti. Au mépris de cette élémentaire déontologie, j'indique les éléments dont je ne suis pas sûr, des jugements que je porte sur certains personnages, des sentiments que j'ai éprouvés à l'égard de certains ancêtres que j'ai connus, je me permets même parfois un peu d'humour... Je revendique cette totale volonté de partialité dans une optique d'humanisation de la généalogie, parce que celui qui fait sa généalogie est aussi impliqué dedans que ceux qui en sont le sujet. Je refuse la froideur et neutralité historique qui ne reflètent pas l'esprit humain de ceux qui ont vécu cette histoire. Si les faits sont rigoureux et vérifiables, les interprétations, elles, sont basées sur le ressenti de celui qui recoupe les informations et en fait la synthèse. C'est ce qui fait que, même si nous partageons certains ancêtres, "ma" vérité sur eux ne sera peut-être pas "votre" vérité ! Je crois que je n'aurai jamais ma carte de journaliste...

Date de l'actu : 07/03/2025

Quand vous lisez un roman, vous pouvez remarquer que la rédaction est presque toujours faite à l'imparfait. Parfois le passé simple, mais souvent c'est l'imparfait qui domine. Et c'est bien naturel, un roman raconte une histoire située dans le passé, qu'elle soit vraie ou née de l'imagination de son auteur. Si vous avez remarqué cet état de fait, vous avez aussi dû remarquer que dans les pages narratives de ce site, j'emploie systématiquement... le présent !

L'imparfait, nous a-t-on appris à l'école, est employé pour relater le déroulement d'une action du passé, qui a duré dans le temps ou qui était habituelle, mais qui est terminée. On a bien l'intention, en employant ce temps, de vouloir dire : "c'était comme ça, mais maintenant c'est fini". Cela pourrait donc parfaitement correspondre avec le fait de raconter l'histoire de ses ancêtres, du Moyen-Age jusqu'au XXème siècle, époques aujourd'hui totalement révolues. Alors, pourquoi tête de mule t'obstines-tu à écrire au présent ?

Ce n'est pas par esprit de contradiction, ni parce que je n'écris pas un roman, ni parce que j'ai perdu mon Bescherelle, mais c'est bel et bien un choix délibéré. Je considère que pour mieux raconter la vie de nos ancêtres, l'idéal est de la vivre avec eux, de nous plonger dans leur époque, d'habiter dans leur maison, de manger à leur table, d'être à leurs côtés. Le temps présent donne une autre couleur à la relation que l'on peut avoir avec eux : on vit en même temps qu'eux les événements qu'ils traversent, on souffre avec eux quand ils perdent un être cher, on est joyeux avec eux à leur mariage ou pour la naissance d'un enfant. L'emploi du présent les fait revivre à nouveau, avec nous : on n'est alors plus dans la leçon d'histoire, on est dans le témoignage. Voilà le but que je poursuis dans ce site ! D'après vous, ai-je atteint mon objectif ? J'attends vos retours sur le Livre d'or.

Date de l'actu : 21/02/2025

Quand je rédige les pages narratives sur la vie de mes ancêtres, je ne le fais pas en une seule fois. J'ai commencé la rédaction au début de mes recherches il y a 18 ans, sur un logiciel de traitement de texte. Depuis, au fur et à mesure de mes découvertes, des nouveaux éléments trouvés, des nouvelles informations, je modifie, j'ajoute, je change des phrases entières ou des paragraphes, j'adapte et j'enrichis le texte. J'ajoute également des images d'illustrations ou des cartes géographiques. Et bien sûr je relis ce que j'ai nouvellement écrit pour bien l'insérer dans le texte existant, éviter les fautes d'orthographe, les répétitions, etc...

Mais je me suis rendu compte qu'en relisant la page entière, du début à la fin, comme vous le faites chers visiteurs de ce site, certaines tournures de phrases peuvent sembler maladroites, certaines données se trouvent 2 fois en 2 endroits différents et rédigées différemment, des ordres chronologiques ne sont pas forcément bien respectés, la concordance des temps n'est pas toujours correcte, bref on n'a pas l'impression d'être en présence d'un document rédigé d'un seul tenant. Et pour cause, il ne l'est pas !

Pour remédier à cela, je reprends, en ce moment même, les 91 pages, une à une, et je les relis de haut en bas. Je modifie une nouvelle fois la rédaction de certains paragraphes et remanie le récit pour qu'il "coule de source". Le but est de faire en sorte que la narration se déroule logiquement comme dans un roman, qu'elle soit bien structurée et plus seulement un agglomérat de séquences isolées les unes des autres. Les pages générales, hors récit, ont aussi été relues et améliorées. Cela prendra un peu de temps pour reprendre la totalité du site, mais j'espère que cette nouvelle révision rendra une narration plus naturelle et apportera aux lecteurs une touche plus "littéraire" (dans la mesure de mes modestes moyens) et plus agréable !

Date de l'actu : 07/02/2025

Vous avez sans doute déjà parcouru la page "Les origines des LAROCHE". Cette page décrit l'histoire de la branche LAROCHE (on s'en serait douté) qui fait partie du quartier B, celui de ma grand-mère paternelle. Je ne l'avais pas mise à jour depuis plusieurs années, car elle était complète à l'époque de mes recherches par rapport aux registres en ligne sur le site des Archives Départementales de la Gironde. Mais cette page a aussi pour source le site des A.D. de Charente-Maritime, puisque beaucoup des ancêtres de cette branche proviennent de ce département. Quand cette page a été créée, je suis allé au bout des registres existants en ligne, et une fois arrivé au bout, je suis passé à la branche suivante.

Or récemment, en voulant vérifier une donnée sur la famille MOTARD, je me suis rendu compte que je n'avais pas vu certaines pages du registre. A tel point qu'en cherchant un peu, j'ai trouvé d'autres ancêtres plus éloignés dans le temps que ceux que j'avais déjà ! J'ai donc repris cette page en totalité, pour vérifier si je pouvais trouver de nouvelles données. Je me suis livré à ce travail ingrat, qui consiste à passer beaucoup de temps à chercher, pour finalement trouver peu ! Mais ce que j'ai trouvé a été intégré dans la page, agrémentée de cartes géographiques et illustrée de cartes postales anciennes. Le voyage dans cette Charente dite "inférieure" vous donnera j'espère l'envie de respirer le bon air iodé de la côte Atlantique !

Date de l'actu : 24/01/2025

Je viens de terminer la lecture d'un roman qui se passe dans un endroit que je connais bien. Le livre s'appelle "Meurtres à Lacanau", écrit par un auteur qui connaît bien la localité comme son nom l'indique : Bernard Duporge. L'histoire bien ficelée a pour cadre divers lieux de Lacanau, comme l'étang de Cousseau, le Moutchic, Talaris, la plage du Lion, etc. Le fait de connaître ces endroits, pour y aller régulièrement ou bien parce que des ancêtres y ont vécu, donne une image bien précise du décor, qui n'est donc plus imaginé, encore moins sublimé, mais presque familier.

Outre le récit, que je ne vais pas dévoiler ici, ce livre est aussi une étude des moeurs ancrées dans le Médoc jusque dans le siècle précédent, ainsi qu'une galerie de portraits bien brossés, de l'homme rugueux à la forte personnalité et à la grande gueule, à celui malingre qui veut être fort mais qui n'en a pas la capacité. Autant de caractères que l'on pourrait reconnaître dans certains de nos ancêtres ! Et surtout une mise en évidence du courage des femmes, dont le rôle programmé par la société se limite à servir son mari et à enfanter, face à la lâcheté des hommes. Malgré les trop nombreuses fautes d'orthographe (l'honnêteté m'oblige à le préciser), c'est une véritable immersion dans la société paysanne du XXème siècle, avec ses travers et ses mesquineries, que nous dépeignent des personnages imparfaits mais attachants, bref totalement humains. Je recommande chaudement ! Aux éditions Le Geste noir.

Date de l'actu : 10/01/2025

A vous tous, je souhaite une excellente année 2025, beaucoup de bonheur et de nombreuses trouvailles généalogiques ! Pour revenir au sujet de l'année dernière, c'est-à-dire d'il y a 15 jours, je vous parlais d'une représentation graphique de la vie de chaque ancêtre, une sorte de "ligne de vie" (ou LDV) qui ferait apparaître les points importants de son existence. En travaillant sur ce projet, je me suis rendu compte que la vie d'un homme est intimement liée à celle de son épouse (bien évidemment, me direz-vous !), et ce constat m'a conduit à modifier la forme que j'envisageais au départ. J'ai donc créé une représentation de LDV par couple. La ligne du mari est à gauche, en bleu, avec ses dates et événements marquants de sa naissance à son décès. La ligne de la femme est à droite, en magenta, sur le même principe. Les dates et événements qu'ils ont en commun (leur mariage et leurs enfants) sont en orange et situés au milieu, entre les deux lignes de vie.

L'avantage principal d'avoir une représentation par couple est de pouvoir comparer les écarts d'âge, de durée de vie, et de s'imiscer dans la vie de ce couple. Le but est de réaliser les joies et les peines qu'ils ont ressenties, sachant que ce qui touche l'un touche obligatoirement l'autre, même indirectement. De se rendre compte qu'il ne s'agit pas seulement d'une succession de faits et de dates, mais d'événements familiaux qui sont systématiquement accompagnés d'émotions de toutes sortes, de la naissance d'une sœur à la perte d'un enfant. De rendre nos chers ancêtres plus vivants encore !

Vous trouverez ces LDV au bas de chacune des 28 pages narratives concernant des ancêtres nommés (et non dans les pages "Les origines de..."). Comme il y en a une par couple, cela en fait 14 différentes, la même LDV se retrouvant sur la page d'un homme et sur la page de son épouse. Au final, ces LDV sont moins graphiques que je ne l'imaginais, mais c'est une proposition de représentation ; je me réserve le droit d'en modifier l'aspect ultérieurement si la muse du graphisme vient me visiter ! J'attends vos remarques sur le Livre d'Or.