La numérotation Sosa, la recherche des ancêtres,... Quelques bases pour bien comprendre comment cela fonctionne.
Une présentation de la terre de nos origines, et les grandes ligne de l'histoire de notre famille au fil du temps...
Explications sur les différents calendriers utilisés dans l'Histoire.
Convertir une date du calendrier républicain vers le calendrier grégorien
Pour situer une date dans l'Histoire.
Quelques mots sur l'origine des noms de famille.
Qu'est-ce que c'est ?
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Voici les billets "Actualités" qui sont parus pendant l'année 2024. Ils sont classés dans l'ordre chronologique inverse, du plus récent au plus ancien ; une façon là aussi de remonter le temps ! Bonne lecture.
Après tant de recherches, de patience et d'événements de vie qui m'ont un peu éloigné de la généalogie, je finalise une grande étape ! La page Les origines des Abribat est maintenant bouclée. "Complétée" serait un terme plus exact puisque la page existait déjà d'après mes premières recherches faites il y a une quinzaine d'années. Comme les précédentes, cette page est donc mise à jour avec les dernières données puisées dans les registres que j'ai repoussés dans leurs derniers retranchements ! Je dis ça car j'ai passé beaucoup de temps à chercher des actes qui parfois n'existaient pas dans les registres où ils étaient censés se trouver. Fidèle à mon habitude, j'ai donc cherché aussi dans les registres des paroisses voisines pour les trouver, tantôt avec succès, tantôt faisant chou blanc. C'est le quotidien du généalogiste !
Mais le résultat est là, la page est aujourd'hui terminée. Ou plutôt LES pages ! En fait, la quantité d'informations et la multiplication des régions d'origine de nos ancêtres pour cette branche m'ont conduit à diviser la page en... 4 ! Désormais, vous trouverez une page "Les origines des Abribat" qui retrace l'histoire de cette branche venue de l'Ariège, une page "Les origines des Chardon" qui relate la saga de cette branche issue de l'Eure-et-Loir, une page "Les origines des de Mande de Marcon" qui viennent de Gironde mais qui sont un peu particuliers, et une page "Les origines des Burot" pour cette branche qui nous arrive de Loire-Atlantique. Ce découpage répond à un besoin de clarté concernant les différentes origines de ces branches qui se relieront toutes aux Abribat. Je vous laisse les découvrir ! Vous pouvez me laisser vos impressions ou questions sur le Livre d'or, elles recevront toutes une réponse. Bonne visite !
Envoyez-vous encore des cartes postales ? A l'heure d'Internet, de la mobilité connectée et des réseaux de cas sociaux, il n'y a plus vraiment d'intérêt à expédier par un moyen aussi préhistorique que la Poste une photo cartonnée où la personne qui l'envoie n'est même pas dessus... C'est sans doute l'avis de beaucoup de monde aujourd'hui. Correspondance d'un autre temps ? Peut-être, et pourtant...
La carte postale a été inventée par les Autrichiens avant la Guerre de 1870. Dessinées à la main, les premières cartes illustrées étaient envoyées aux soldats allemands par leurs camarades. Un libraire du nom de Schwartz, Allemand lui aussi, reprit ce principe en envoyant les premières cartes imprimées. En France, la carte postale est utilisée à partir de 1873, représentant d'abord des monuments en dessins ; puis dès 1891, elle comporte une reproduction de cliché photographique. Son âge d'or se situe ainsi dans la première partie du XXème siècle.
Pourquoi je vous raconte tout ça ? Eh bien les cartes postales sont un formidable instantané du passé ; une ville, une localité, un monument, une fête traditionnelle ou un marché retrouve sous nos yeux sa splendeur d'antan. Les anciennes cartes, émises jusque dans les années 1940, nous restituent la vie et l'environnement de nos ancêtres, qui bien souvent ont peu changé depuis le XVIIIème siècle. Retrouver la carte postale illustrant un lieu où nos aïeux ont vécu nous rapproche un peu plus de leur quotidien, et plante un décor concret derrière leurs existances. J'utilise beaucoup les cartes postales anciennes dans ces pages pour rappeler que le nom d'une paroisse ou d'une commune n'est rien, ou si peu de choses, sans la représentation en image du véritable cadre de vie. Une autre façon de se rapprocher d'eux, et peut-être aussi, sans le côté fastidieux d'une soirée-diapos, d'admirer les photos qu'ils auraient pu prendre !
Les recherches que je mène en ce moment prennent un sérieux coup de frein ! Ce n'est pas que je bute sur une difficulté particulière, un problème insoluble ou une question qui reste en suspens. Non, c'est plus complexe que cela, il s'agit d'une combinaison de plusieurs facteurs très différents. Le premier, c'est la mort de mon père. Bien sûr, l'envie de faire de la généalogie n'était plus là dans les premières semaines, parce que le deuil, les souvenirs, les endroits familiers, prennent une autre dimension, teintée de tristesse et de mélancolie. Une des conséquences est que nous nous retrouvons plus souvent, nous les enfants, pour aider notre mère à avancer et avancer nous-mêmes. Les priorités changent, et la recherche des ancêtres n'en fait pas partie.
Une autre cause est la branche sur laquelle je travaille en ce moment. Je n'ai mis qu'une page pour raconter l'ensemble de cette branche, car à l'origine, cela suffisait. Mais plus je fouille les registres, plus ils m'emmènent dans d'autres régions de France que la Gironde, et plus je remonte loin ! C'est plutôt une bonne nouvelle, bien sûr, mais la résultante est que cette page, Les origines des Abribat, pour ne pas la nommer, n'est pas prête d'être mise en ligne ! D'autant plus que vu la longueur que cette page atteint, il me faut la couper en 2 ou 3. Elle nous amène à la fois en Ariège, dans le Maine-et-Loire, la Loire-Atlantique et l'Eure-et-Loir ! De beaux voyages certes, mais qui demanderont du travail supplémentaire pour tout mettre en forme... C'est pourquoi je prends un peu plus de temps que prévu pour finaliser cette page qui va faire des petits. Patience !
Suite et fin de la mise en ligne de la page des archives des billets Actualités. Celle-ci est déjà pleinement opérationnelle, avec la liste des sujets traités et les liens individuels qui mènent à chaque billet. Mais j'ai remarqué qu'à l'usage, il manquait une fonctionnalité. Pour faire simple, il y avait le trajet aller mais pas le voyage retour ! Une fois le billet lu, il fallait remonter en haut de page, regarder le menu à gauche et cliquer sur le lien des Archives des billets d'Actualiés. Un peu lourd si on veut en lire plusieurs d'affilée !
Pour une fluidité totale entre la liste des billets et les billets eux-mêmes, j'ai ajouté une petite flèche rouge en haut à droite de chaque billet. Cette flèche est orientée vers la gauche, vers l'arrière, vers le retour. Un simple clic dessus, quel que soit le billet lu, et vous revoilà sur la page générale des archives, en haut de la liste. Vous pouvez alors choisir un nouveau billet, et faire un circuit simple de va-et-vient entre la liste générale et chaque billet.
J'espère que cette flèche de retour facilitera vos lectures. A votre tour, vous pourrez me faire un "retour" sur le Livre d'Or pour me dire ce que vous en pensez, ou bien si vous souhaitez que d'autres fonctionnalités soient mises en place. J'attends vos remarques !
Le système de billets d'actualité fonctionne depuis juillet 2021, et c'est toujours avec un égal bonheur que je l'écris toutes les 2 semaines pour vous faire part des nouveautés de ce site. Je vous y décris les ajouts ou les modifications que j'y apporte, parfois je vous entretiens d'un historien qui a fait des recherches sur un sujet dont je parle dans ces pages, et régulièrement j'y livre des sentiments personnels, des points de vue que je défends sur certains domaines de la généalogie.
Les anciens billets sont "versés" aux archives, non pas aux Archives Départementales, mais dans des pages de ce site où ils sont classés par année. Jusqu'ici, vous deviez choisir une année précise, et la parcourir pour voir les billets parus dans l'ordre chronologique. Pas forcément pratique si on souhaite retrouver un billet qui parlait d'un sujet bien précis qu'on aimerait retrouver ! Alors j'ai créé une page dédiée à tous les billets : la Page "Archives des billets d'Actualité". Elle regroupe tous les billets parus, classés par catégories : les mises à jour, les sources ou méthodes généalogiques, les auteurs ou historiens, et les billets d'humeur. Dans chaque catégorie sont listés les titres des billets, sur lesquels vous pouvez cliquer pour y accéder directement.
Cette page conserve aussi le classement par année, où vous pouvez toujours sélectionner une année entre 2021 et aujourd'hui, et voir tous les billets parus cette année-là du plus récent au plus ancien. Je place le lien vers cette page juste en-dessous, ainsi que dans le menu de gauche. Bonne lecture !
Cette semaine, j'ai perdu mon père. Il avait certes 90 ans, mais rien ne laissait prévoir ce drame : il gardait toujours une santé de fer et toute sa tête. C'est sans doute le même sentiment à chaque fois pour tout le monde, mais il me semble avoir perdu une partie de moi. Mon père avait toutes les qualités du monde : généreux sans être naïf, attentionné sans être étouffant, tourné vers les autres sans oublier les siens, cultivé sans être pédant, et toujours prêt à rire avec son humour incroyable. Sans doute reconnaissez-vous le vôtre dans cette énumération...
Il s'intéressait beaucoup à l'histoire, et à mes découvertes généalogiques. Cela me faisait peine de ne pas avoir toujours tous les tenants et aboutissants des histoires que je découvrais, pour lui livrer un récit complet clé en main. On le sait, la généalogie est un puzzle dont il manque toujours des pièces, et je regrettais souvent de ne pas pouvoir lui fournir les genèses ou les épilogues. Mais parfois, avec son bon sens, il me trouvait des pistes possibles qui se sont révélées bonnes ! Mais outre cet état de fait, il était un père formidable et disponible, un mari aimant et protecteur, un ami de confiance et un excellent compagnon de table !
Pierre Ducos, dit Pierrot, est décédé ce dimanche 1er septembre 2024, peu avant midi. Par cette disparition, quelque chose en moi restera éternellement brisé. Une blessure qui ne guérira jamais. Une mémoire endolorie par de merveilleux souvenirs qui font désormais partie de l'Histoire. Un coeur qui ne battra plus qu'à moitié. Adieu papa. Merci pour tout.
Depuis 5 ans, ce site est hébergé par Hebfree.org, un site d'hébergement gratuit de sites Web. C'est sur les serveurs de ce site que sont stockés les pages, les textes et les photos de ce site de généalogie. Hebfree permet aussi la gestion de bases de données, qui personnellement me sert pour la gestion des ancêtres (quand vous recherchez un ancêtre, le site va chercher dans la table pour le trouver), et dans la gestion des messages du Livre d'Or. La philosophie du créateur, Xavier, m'a plu tout de suite. Ayant lui-même cherché, en vain, une solution d'hébergement de site performante et gratuite, il s'est lancé pour créer le sien. Avec persévérence et talent, il a réussi à mettre en place un hébergement de qualité, et ce sur ses propres fonds et les dons des utilisateurs. Depuis que je suis chez lui, je n'ai eu aucun problème, une navigation fluide, pas d'emcombrements dûs à la sur-sollicitation des serveurs, bref que du positif !
Je viens malheureusement d'apprendre le décès de Xavier. Je ne le connais pas personnellement, mais je ressens néanmoins une certaine tristesse. Je ne pense pas que sa famille lise un jour ces lignes, mais je tiens quand même à les assurer ici de mon soutien dans leur malheur. Je ne sais pas non plus ce qu'il adviendra de Hebfree. Pourra-t-il continuer à héberger les sites, ou bien faudra-t-il essayer de trouver une solution alternative ? En ces temps de doute, je maintiens quand même l'activité de ce site comme je l'ai toujours fait, en espérant qu' Hebfree soit repris par un "disciple" de son fondateur, et que l'esprit de Xavier perdure dans son oeuvre.
La plupart de nos ancêtres à tous étaient cultivateurs, laboureurs, et pour nous plus spécifiquement en Gironde, viticulteurs. J'emploie volontiers le mot de "paysans", car il ne revêt pour moi aucune notion péjorative. Le paysan est celui qui fait vivre le pays : non seulement il entretient les champs, les vignes, les bois, les vergers, il élève des vaches, des moutons, des chêvres, mais en plus il nourrit ses contemporains. Les paysans sont donc les maillons essentiels de la société, y compris dans la société d'aujourd'hui.
Habitués très jeunes au travail agricole, ils n'avaient pas pour beaucoup accès à l'apprentissage de la lecture et de l'écriture. Aussi suis-je toujours ému de trouver au bas d'un acte la signature d'un ancêtre. Découvrir le nom écrit de la main même de l'intéressé est quelque chose d'incroyable. On remarque si le trait de plume est assuré ou tremblant, ce qui détermine son degré de maîtrise de la graphie. La forme des lettres, les éventuelles ratures, l'orthographe même que l'individu se donne, qui peut différer de celle fixée par le prêtre, tout ceci nous donne une vision, certes toute petite, mais une vision quand même de l'âme de la personne. Elle cesse d'être un prénom et un patronyme accompagnés de quelques dates, pour devenir un être humain avec ses assurances et ses doutes, ses qualités et ses défauts. C'est une personne, un caractère qui laisse une trace indélébile dans l'histoire, fut-elle avec un petit "h". La généalogie change alors de dimension et prend tout son sens.
C'est pourquoi j'ai placé la signature des ancêtres qui ont déclaré "sçavoir escrire" dans les pages narratives, près des paragraphes relatant leur histoire. C'est pour moi la meilleure manière de m'effacer pour leur laisser un peu la parole. Ils ne sont pas très bavards, aussi tiens-je absolument à leur donner cette liberté. En cela, je persiste et... signe !
J'aimerais vous parler de deux choses cette semaine. La première est au sujet de l'arbre des origines. J'en avais déjà parlé dans un précédent billet, lorsque je l'ai mis en place : il s'agit d'un arbre qui montre les départements d'origine de nos ancêtres (les départements étant plus parlants pour nous que les anciennes provinces françaises), avec les proportions d'ancêtres en pourcentage venant de chaque département. J'avais tout bien fait comme il faut, sauf que pour le département de la Gironde, j'avais le même pourcentage pour les ancêtres venant du Médoc que pour ceux venant du Sud-Gironde ou de l'Entre-deux-Mers ! Forcément, puisque je découpais les pourcentages par département... Je trouvais quand même dommage de ne pas faire le distingo entre ces différentes parties de la Gironde, vue l'énorme majorité d'ancêtres provenant de ce département (76%). J'ai donc modifié mon mode de calcul pour avoir plus précisément le pourcentage des ancêtres provenant de ces différentes localités girondines, comme je l'ai fait pour les autres départements. Résultats dans la page "Les cartes géographiques" !
La seconde chose est sur la fréquentation du site. Je ne l'ai pas analysé tout de suite, mais il y a eu un grand "boum" de visites ces derniers mois. Le 22 février, on dépassait juste les 100 000 visiteurs ; on en est aujourd'hui à plus de 198 000 ! Presque 100 000 visiteurs en 5 mois, c'est un record absolu de fréquentation ! Je voulais donc vous remercier pour vos visites fréquentes, et vous invite à laisser un petit mot sur le Livre d'or pour exprimer vos opinions sur ce site, ou sur la généalogie de manière plus générale. Encore merci !
Dernièrement j'ai rencontré un personnage assez mystérieux. Je ne sais pas grand'chose de lui, je sais principalement qu'il vient des Pays-Bas, qu'il nomme Provinces-Unies, et qu'il est issu d'une famille plutôt riche d'Amsterdam. Je sais aussi que c'est un excellent dessinateur, et qu'il a réalisé près de 140 oeuvres qui m'intéressent au plus haut point.
Je peux vous dévoiler son nom sans qu'il m'en veuille, je pense, de le rendre public : il s'appelle Herman van der Hem. Si je prends cette liberté, c'est parce qu'il est né en 1619, et qu'il décéda à 30 ans seulement, en 1649. J'ai fait la connaissance de ce Hollandais dans un livre de Emmanuelle Demont, qui a réalisé sur lui un mémoire dans le cadre de son D.E.A. d'Histoire, et de Marc Favreau, maître de conférences à l'Université Montaigne de Bordeaux. Selon ces auteurs, peu de documents ont été trouvés sur cet artiste, comme cela nous arrive souvent en généalogie ! Herman (oui, je l'appelle par son prénom) est arrivé à Bordeaux vers 1638, date de son premier dessin, et jusqu'à son décès, il parcourut la région, de Bordeaux à Libourne, de Blaye à Cadillac, en prenant des croquis depuis la Garonne, la Dordogne ou la Gironde.
Les planches qu'il laisse offrent donc des vues de Bordeaux et de quelques autres villes girondines telles qu'elles étaient au XVIIème siècle, soit 2 siècles avant ce cher Léo Drouyn. Comme ce Palais Gallien qui, loin d'être engoncé et étouffé à l'intérieur des rues de Bordeaux, dévoile sa majesté dans un paysage totalement ouvert, ces "portraits de villes" nous donnent à voir les monuments et les paysages à travers le filtre de l'Histoire. A les consulter, je deviens un contemporain d'Herman, et avec autant de tendresse que de reconnaissance, je le regarde, je lui pose la main sur l'épaule et lui dis : Dankjewel !
J'ai eu une idée il y a peu, alors je l'ai notée, histoire de ne pas attendre 50 ans avant la prochaine ! J'ai souhaité faire une page sur les départements d'origine de nos ancêtres, avec en tête de gondole un arbre qui reprendrait, non pas les ancêtres comme un arbre traditionnel, mais les départements où ils ont vécu. Ceci allait donner une idée précise des grands voyages qu'ont entrepris ceux qui nous ont précédés, sachant qu'avant le XIXème siècle, changer de province était toute une aventure qui engageait la vie de plusieurs membres d'une même famille.
Je partais donc sur l'idée d'une page entière dédiée à ces voyages. Mais en plus de ce fameux arbre spécial, je me suis rendu compte qu'il fallait raconter l'histoire de ces provinces (les départements n'existent que depuis la Révolution française) pour contextualiser l'ensemble de ces déplacements. Or il se trouve que tout ceci est déjà fait dans la page "Les cartes géographiques" ! Tous les départements qui nous concernent y sont listés, avec pour chacun un bref historique régional, et les patronymes des ancêtres qui en sont originaires.
Aussi, pour ne pas faire de doublons, j'ai placé ledit arbre des origines en haut de ladite page des "Cartes géographiques". Il fait à cette place une sorte de synthèse rapide de tous les départements d'origine de nos ancêtres, chacun étant développé plus en profondeur dans la suite de la page. Je compte sur vous pour me dire ce que vous pensez de l'idée via le Livre d'or. N'ayez pas peur de faire des critiques et de les argumenter, je les lirai toutes avec le plus grand intérêt ! Merci d'avance.
Décidément, je vous parle beaucoup de mes lectures en ce moment. Après "L'histoire de Bordeaux" de Camille Jullian, la dernière quinzaine, je suis tombé sur "Réussir sa généalogie" de Jean-Louis Beaucarnot. Beaucoup d'entre vous sans doute connaissent de réputation l'auteur, qu'on appelle parfois le "Pape de la généalogie", tant ses ouvrages sur le sujet font aujourd'hui référence. Et je dois admettre que je n'avais jamais lu aucun de ses livres !
C'est désormais chose faite avec cet ouvrage. Trés bien réalisé, absolument complet sur tous les aspects du domaine, il explique clairement tous les points cruciaux à connaître dans des pavés de couleurs. L'édition que j'ai date de 2006, aussi certaines données ne sont-elles plus à jour : on y voit des adresses internet qui n'existent plus, et même des codes de Minitel ! Je pense que d'autres éditions plus récentes ont vu le jour depuis. Ce livre est destiné principalement à ceux qui veulent se lancer dans la généalogie, et ils ne trouveront pas de meilleur point d'entrée. Outre la liste exhaustive des ressources disponibles pour les recherches, je dois reconnaître que je n'y ai pas appris grand'chose ; mais certainement ne suis-je pas du tout le coeur de cible !
La vraie surprise pour moi a été la page sur "Généalogie et médecine" : Beaucarnot y parle de la transmission de maladies selon les lois de l'hérédité. La théorie exposée est qu'un couple d'ancêtres ayant une maladie peut la transmettre à ses descendants. Le daltonisme, l'hémophilie, le diabète sont effectivement des pathologies hérétitaires. Les descendants deviennent donc une population à risque, susceptible de développer la maladie. L'intérêt de connaître ces données généalogiques est de pouvoir identifier les effets fondateurs (quel ancêtre a "muté" pour développer la maladie, et quand) et de reconstituer leur descendance, de manière à pouvoir les alerter et les traiter préventivement contre l'apparition de cette maladie chez eux. Je trouve cette possibilité absolument formidable, alliant notre passion et la santé de nos contemporains. La généalogie ne pouvait sans doute pas faire un mariage plus heureux !
J'ai l'impression d'aller à l'école sans avoir fait mes devoirs... Oui, j'ai mis en pause les recherches généalogiques depuis 2 semaines, car je suis tombé sur le livre de Camille Jullian, "Histoire de Bordeaux". L'auteur, marseillais d'origine et demi-frère du président de la République Gaston Doumergue, est un historien reconnu et élu professeur au Collège de France en 1905. Spécialisé dans l'histoire de la Gaule, il a auparavant été affecté à Bordeaux, et s'est pris de passion pour cette ville et son histoire.
Le livre original est sorti en 1895 ; celui que j'ai entre les mains est une réédition, mais il est écrit avec simplicité, et avec un goût de la synthèse particulèrement soigné. Le style est très agréable, et se laisse lire comme un roman. Mais surtout, une chose que j'apprécie beaucoup : il y a beaucoup d'honnêteté dans ce livre. Quand l'historien évoque un point particulier sur lequel il n'a retrouvé aucun document, aucune trace ni aucun témoignage, il le dit clairement, sans essayer de faire croire à une fausse érudition sur des données qui n'existent pas. Mieux, pour chaque zone d'ombre, il propose une hypothèse tout-à-fait plausible et logique, mais en précisant bien qu'il s'agit d'une hypothèse.
Cette sincérité dans le discours me plaît autant que les informations qu'il contient. C'est d'ailleurs ce que je fais moi-même, à mon niveau, dans ce site : quand j'émets une hypothèse, quand je suppose une "vérité" probable parce que je n'ai pas de preuve, par manque de document, je précise bien qu'il s'agit d'une hypothèse et qu'elle est encore à vérifier, s'il est possible de le faire. Car s'il ne faut pas les prendre pour argent comptant, ces hypothèses sont indispensables pour faire avancer la connaissance. Soit on peut les vérifier et prouver qu'elles sont bonnes, soit on trouve un document qui va à leur encontre et on peut les invalider parce qu'elles sont fausses, soit on ne peut rien prouver et c'est une piste possible pour des recherches futures. C'est plus qu'une leçon d'Histoire que vous nous donnez, Monsieur Jullian, c'est une leçon de vie !
Et une célébrité de plus ! Non, je n'ai pas fait un selfy avec Paul Mac Cartney ou Mbappé. Mais en parcourant les registres de Digny, dans le département de l' Eure-et-Loir où nous avons des ancêtres, je me suis aperçu que la famille DESCHAMPS qui vivait dans cette paroisse aux XVII-XVIIIème siècles, sont aussi les arrière-arrière-...-arrière-grands-parents d'un personnage important. Son nom ne vous dira probablement rien, mais il a fait quelque chose qui est resté longtemps après lui...
Vous cherchez ? Je donne des indices : il est sculpteur et grave des médailles. Pas facile, hein ? Cela pourrait être une question pour les Grosses Têtes. Je suis en train de décrire une partie de son ascendance, du moins celle qu'il a en commun avec moi, dans la page Les origines des ABRIBAT qui est actuellement en chantier. Aussi, ne vous y précipitez pas : la page qui est encore en ligne est l'ancienne version, et ne comporte pas les derniers éléments. Il faudra un peu de patience !
Mais pour les plus pressés d'entre vous, je mets à jour la page de Nos cousins célèbres en y ajoutant ce mystérieux personnage. Allez, je vous donne la réponse : il s'agit d'Oscar ROTY ! Vous pouvez dès à présent aller voir sa fiche sur cette page des célébrités avec lesquels nous cousinons, et qui les porte au nombre de 8.
Il y a longtemps que je n'avais pas retouché la page d'accueil, celle sur laquelle vous vous trouvez actuellement. A part, bien sûr, pour les billets d'actualité ! Et pourtant, la page d'accueil est la vitrine de ce site, celle qui doit vous donner envie, ou non, de le visiter plus en profondeur. S'il y en a une que je dois rendre la plus attrayante possible, c'est bien celle-ci !
Or, en la parcourant comme un visiteur lambda, je me rends compte que la présentation du site est un peu... fouillie ! Beaucoup de petits paragraphes, qui décrivent bien certes la charte graphique du site, mais dans laquelle on se perd un peu. Dans un souci constant d'y voir plus clair, je viens de transformer les paragraphes descripteurs en points d'une liste, au nombre de 10. Chaque point contient en titre l'objet qu'il traite écrit en gras. Si l'on veut y revenir, on peut ainsi retrouver le point qui nous intéresse plus rapidement. Les éléments de couleurs dans les pages de ce site ("Dans l'espace", "Dans le temps", Dans les branches") se retrouvent dans ces mêmes couleurs sur cette page, pour une meilleure identification.
Enfin, j'ai changé la présentation du compteur de visites en bas de page. Jusque là sans délimitation précise, arrivant un peu comme un cheveu dans le potage, il est maintenant clairement identifié sur fond bleu clair. Les deux précisions qui l'accompagnent sont aussi listées clairement en deux points, juste en-dessous du chiffre du compteur.
J'espère vivement que vous apprécierez ces mises à jour toutes fraîches. Vous remarquerez que seule la seconde partie de la page a subi des modifications. Je pense en apporter prochainement dans la première partie, l'introduction. Mais pour cela, il faut réfléchir encore un peu ! Eh oui, chez moi, ça prend du temps !
Dans les pages narratives qui racontent l'histoire de nos ancêtres, vous savez maintenant que le nombre qui suit le nom de l'individu, en bleu, est son numéro Sosa par rapport à ma modeste personne. En cliquant sur ce numéro, vous pouvez afficher son arbre généalogique personnel, remontant sur 3 générations au-dessus de lui, et descendant sur la génération juste en dessous, celle de son enfant. Cette page donne un bel aperçu de son environnement familial.
Or, je me suis rendu compte que pour certains individus, cette page ne me retournait pas l'arbre attendu mais un plantage fort désagréable sur fond vert. Sur certains, mais pas sur tous. Donc j'ai cherché le point commun qu'il pouvait y avoir entre les individus pour lesquels la génération de l'arbre ne fonctionnait pas. Ce n'était pas le sexe, homme ou femme, ce n'était pas une date inconnue chez l'intéressé, ce n'était pas à partir d'un numéro Sosa,... J'ai cherché, j'ai cherché... Mais quand même, à partir d'un Sosa assez élevé, au-delà de 500 environ, le plantage revenait plus souvent, mais sans être systématique.
Bien sûr, plus le Sosa est élevé, plus on remonte loin dans le temps, et moins on a d'ancêtres au-dessus de cet ancêtre. Alors je me suis penché sur le codage concernant la recherche des grands-parents. Afin d'afficher l'arbre, j'interroge la base de données pour identifier l'individu, ses parents, ses GP et ses AGP. S'ils existent, je les affiche, sinon ça reste blanc. Mais pour les GP et AGP, je me suis rendu compte de mon erreur : je demandais d'afficher en bloc tous les GP du moment qu'il y en avait un existant, même s'il en manquait au moins un autre. Résultat : la machine voulait rechercher les informations sur une personne qui n'existait pas, elle ne trouvait pas (et pour cause), et plantait. J'ai donc remédié à cela en n'affichant les informations que si la personne existe, en vérifiant par personne, et depuis tout marche pour tous les ancêtres ! Je vous invite maintenant à essayer.
Est-ce que ça vous arrive, exceptionnellement, d'avoir un petit coup de blues ? Je parle généalogiquement, bien sûr ! De se dire à un moment donné de ses recherches, bof, à quoi bon continuer ? Est-ce que je ne gaspille pas mon temps, ne vaudrait-il pas mieux l'utiliser à autre chose ? Et puis, à quoi ça sert au fond, une collection de données qui n'intéresse personne !
J'avoue que ça m'est arrivé il n'y a pas longtemps. Ce n'était pas la première fois, même si c'est assez rare. Un manque d'intérêt soudain, des recherches en cours mais plus trop l'envie de les faire. Comme un coureur de marathon qui s'arrête au trentième kilomètre et qui se demande s'il ne devrait pas changer de discipline. Franchir la ligne d'arrivée n'est qu'un pas de plus, l'essentiel réside dans tous les efforts faits avant cette étape finale. Pourtant, la course en elle-même ne captive pas le grand public, celui-ci ne retient que le nom du vainqueur, et encore ! Alors aujourd'hui, quelle reconnaissance le généalogiste peut-il espérer ? La grande partie de ses travaux n'intéresse que lui et sa famille, et bien souvent même les membres de sa famille ne semblent pas y accorder beaucoup d'intérêt ! Cela peut s'expliquer par le fait que tout le monde n'a pas la même passion, et que la recherche de ses ancêtres n'est pas pour chaque être humain une quête indispensable. Mais quand même !
Sans doute faut-il mettre ce sentiment sur le compte d'un passage à vide psychologique, un petit coup de moins bien comme on peut tous en connaître dans la vie de manière plus générale. En tout cas, si ça vous arrive, dites-vous que vous n'êtes pas les seuls ! Pour ma part, je vais laisser passer l'orage, courber l'échine, plier mais ne pas rompre, et certainement que ça ira mieux demain. Vivement demain !
Qui d'entre nous ne s'est jamais retrouvé bloqué sur un mot dans le déchiffrage d'un acte ? Le prêtre qui le rédigea était-il sans doute un peu pressé, pas bien assis, ou peut-être était-ce tout simplement sa façon d'écrire... En tout cas, son écriture nous donne parfois bien du fil à retordre !
Dernièrement, je butais contre un mot qui désignait le métier d'un ancêtre. Impossible de le comprendre ! Dans ces cas-là, en général j'essaie de m'imprégner de sa graphie. Je lis, non seulement l'acte qui m'intéresse, mais aussi les actes qui l'entourent de façon à comprendre sa "logique" d'écriture. Souvent, je remarque que ce sont les lettres "e", "s" et "r" qui sont particulières à l'écrit manuscrit. Quand on apprend à les repérer, elles qui sont si souvent employées, on fait déjà un grand pas. Ensuite, différencier les "n" et les "u", beaucoup les confondent en les écrivant rapidement, transformant vite un "etienne" en "etieuue" ! En multipliant les lectures d'actes du même curé, j'apprends à LE lire, ce qui me permet de décrypter des mots qui, autrement, seraient illisibles !
Malheureusement, cela ne suffit pas toujours. Les ratures ou les tâches sur le papier, directement sur l'acte ou au verso de la page, viennent parfois compliquer encore plus la... tâche ! Quand ce n'est pas le papier qui est carrément déchiré... Si par chance on a accès au second registre (minute ou grosse), on peut s'en sortir, mais souvent, il n'y a que par comparaison avec les autres actes qu'on peut trouver la vérité. Qui a dit qu'il suffisait d'une carte au trésor pour trouver un trésor ? Encore faut-il savoir la lire !
Intelligence Artificielle... IA, pour les intimes. Ce sont des mots qui peuvent faire peur, parce qu'on ne sait pas vraiment ce qui se cache derrière. On nous parle d'algorithmes, de programmes visant à remplacer l'humain, de conséquences risquées, voire dangereuses si cette puissance tombe en de mauvaises mains pilotées par des esprits malveillants, etc. Oui, sans doute, c'est possible, mais à côté de ça...
A côté de ça il y a d'abord un outil, qui, s'il n'est pas miraculeux, peut quand même faire des choses extraordinaires. Un exemple : Deep Nostalgia, une technologie de reconstitution vidéo qui applique une vidéo incluant des mouvements à une photo fixe. Développé par MyHeritage, cet outil donne des résultats absolument remarquables. Pour illustrer ce propos, vous trouverez désormais sur les pages narratives de ce site une petite vidéo, en haut de page, à côté du petit arbre généalogique. Cette vidéo provient d'une vieille photo de l'ancêtre dont il est question dans la page, animée par cette IA. L'effet final est bluffant ! Il y a un petit côté "La Gazette des sorciers" de chez Harry Potter ! Bien sûr, seules les pages où des photos de l'ancêtre existent sont concernées, ce qui exclue toutes les pages "Les origines de..." et celles pour lesquelles aucune photo d'ancêtre n'a pu être trouvée.
Certes, on peut trouver des défauts sur ces vidéos : les yeux ne sont pas toujours de concert pendant leur déplacement, certains mouvements ne paraissent pas toujours naturels, et des tâches sur la photo peuvent être interprétées comme des grains de beauté qui suivent les mouvements du visage ! Mais l'effet résultant est là : nos ancêtres reprennent vie ! C'était l'objectif numéro 1 de ce site depuis sa conception en 2009, et je pense qu'avec cette nouveauté, on fait un pas de plus vers ce but !
C'est triste... J'ai beau chercher mes ancêtres jusqu'aux confins des registres paroissiaux disponibles, je n'en trouve aucun qui soit de nationalité étrangère. Pas un Italien, pas un Espagnol, pas un Anglais, rien ! Je pensais qu'un jour, je trouverais une branche qui m'emmènerait par-delà les frontières, traversant les Pyrénées, les Alpes, le Rhin ou la Manche. C'est pour moi une petite déception, je ne le cache pas, car j'espérais ainsi agrandir la palette des origines de la famille à l'échelle européenne. Jusqu'ici, ce n'est pas le cas.
Mais alors, suis-je voué à une origine franco-française, voire "franchouillarde", avec pour seul horizon une baguette, un bérêt et un gallinacé chantant "Cocorico" ? Bien évidemment que non. Evidemment, j'aime la France, son histoire, sa culture et ses valeurs. Je suis plutôt fier d'être français, bien que ce ne soit pas un pays parfait, mais aucun pays du monde ne l'est. Par contre, je pense que ceux qui se vantent d'être purement français depuis Charlemagne se trompent lourdement. Le territoire français, et donc la région Aquitaine qui est la principale qui concerne ma famille, a été soumis à de multiples invasions, occupations et immigrations au cours de son histoire, chacun des mouvements de populations apportant un renouvellement inévitable du sang et des gênes. C'est cet aspect qui m'a intéressé ces derniers jours. J'en ai profité pour modifier 2 pages : "Les origines de nos ancêtres", et les "Cartes géographiques". J'y ai ajouté cette considération historique, qui me fait penser que même si on ne peut pas le prouver par la généalogie classique, nous sommes tous des enfants de l'Europe, et des citoyens du Monde !
Enfin, un petit mot pour dire que hier, le 22 février, ce site a franchi le cap des 100 000 visiteurs ! Je ne peux donc que souhaiter la bienvenue aux 100 000 prochains !
La dernière quinzaine, j'avais mis à jour la page Les origines des JUSTE, avec les dernières données que j'ai trouvées dans les registres. Bien sûr, il s'agit là de mes recherches personnelles, elles ne sont absolument pas basées sur les arbres que l'on trouve sur des sites comme Généanet, FamilySearch ou Filae. Je mets ces informations à disposition de ceux qu'elles intéressent, et je ne demande qu'une seule chose en retour. Si vous avez l'intention d'utiliser ces données dans vos arbres en ligne, je vous remercie de citer en source : "Site généalogique Ducos-Pontet" .
Cette indication sert à 2 choses. Le première est de respecter le travail fourni par celui ou celle qui passe des heures à chercher des informations, à recouper et comparer les actes pour établir l'histoire de nos ancêtres. Vous pouvez me croire si je vous dis que c'est très chronophage ! La seconde est de permettre de remonter les sources si on trouve des informations contradictoires. En effet, je ne prétends pas dire la vérité absolue dans mes pages, j'interprête les données que je trouve, j'en tire des hypothèses que j'essaie de vérifier, et j'en tire des conclusions. Avec les mêmes informations, un autre généalogiste que moi ferait peut-être des conclusions différentes (ça s'est déjà vérifié !). Sans compter qu'il suffit d'un seul document pour contredire et annuler une hypothèse qui semblait plausible... Du coup, prenez toutes vos précautions de manière à pouvoir remonter le sourçage des données que vous empruntez ! Je vous en remercie par avance, et vous souhaite un bon voyage sur ce site !
C'est maintenant fait : la page Les origines des JUSTE a été mise à jour ! Pour ceux qui suivent régulièrement les billets d'actualité, le rappel est inutile, mais pour les autres, voici le contexte. Depuis maintenant 18 ans que je fais de la généalogie, je reviens sur chacune des branches que j'ai explorées à mes débuts. Je me souviens, j'allais dans les mairies qui m'intéressaient, et je consultais les registres sur place en prenant des photos des actes concernant mes ancêtres. Mais le temps pris par ces visites avec les trajets, la soumission aux horaires d'ouverture, la découverte d'informations faite après les visites qui m'obligeait à y retourner pour aller plus loin, etc en plus du travail et de la vie de famille et sociale, bref je ne pouvais pas continuer à ce rythme, comme beaucoup d'entre nous d'ailleurs.
Mais pendant ce temps, les Archives Départementales, notamment de la Gironde, ont numérisé une grande partie de leur état civil, et l'accès aux registres peut aujourd'hui se faire n'importe quand de chez soi. J'ai alors entrepris de reprendre toutes mes recherches où je les ai laissées, et de continuer à remonter toutes les branches de mon arbre. Je viens donc de finir celle des JUSTE, qui nous emmène dans le Médoc, entre Avensan, Listrac, Moulis, St-Laurent-Médoc, St-Estèphe, mais aussi plus près de la côte océane avec Carcans et Le Porge. Outre les laboureurs et vignerons habituels, nous découvrirons également des ancêtres notaires, mais qui sont aussi procureurs d'office à la juridiction de Lamarque. Rien que ça !
Je vous laisse donc (re)découvrir cette branche des JUSTE, si riches en personnages en plein coeur du Médoc viticole. Profitez-en, cette visite, contrairement aux produits de la région, est à consommer sans modération !
Toute mon équipe et moi-même, c'est-à-dire moi-même, je vous souhaite à toutes et à tous une excellente année 2024, une très bonne santé et de très belles trouvailles généalogiques ! Que cette passion vous emmène le plus loin possible dans la connaissance de votre famille et de vos racines. A l'occasion de ce début d'année, une nouvelle page, Les archives 2024, a été créée pour archiver les billets qui seront publiés dans les 12 mois à venir. Les années précédentes sont, bien sûr, toujours disponibles.
Je tiens surtout à remercier les personnes qui m'ont contacté directement sur l'adresse fender33.webmaster@neuf.fr. Ces échanges ont été l'occasion de connaître un petit peu les centres d'intérêt et les attentes de certains d'entre vous. Ces messages m'ont fait énormément plaisir, mais j'ai été surpris de les voir sur l'adresse mail du site et non sur le Livre d'Or. Je pensais que le Livre d'Or était la meilleure solution pour permettre aux visiteurs de s'exprimer, il semble que ce ne soit pas le cas ! Je vais sans doute revoir une partie de la mise en page du site pour en faciliter l'accès et la visibilité. Le lien se trouve dans le menu, et également en bas de ce billet ; je viens de le passer en gras pour qu'il ressorte un peu mieux, dans un premier temps.
Mais vous pouvez toujours me contacter par l'adresse mail, n'hésitez pas ! Souvent, de la discussion jaillit la lumière ! Recopier des données sans prendre contact avec celui qui les a trouvées, c'est réaliser un travail tristement administratif... La passion prend tout son sens quand elle est partagée !
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