La numérotation Sosa, la recherche des ancêtres,... Quelques bases pour bien comprendre comment cela fonctionne.
Une présentation de la terre de nos origines, et les grandes ligne de l'histoire de notre famille au fil du temps...
Explications sur les différents calendriers utilisés dans l'Histoire.
Convertir une date du calendrier républicain vers le calendrier grégorien
Pour situer une date dans l'Histoire.
Quelques mots sur l'origine des noms de famille.
Qu'est-ce que c'est ?
Consulter les billets "Actualités" :
Voici les billets "Actualités" qui sont parus pendant l'année 2023. Ils sont classés dans l'ordre chronologique inverse, du plus récent au plus ancien ; une façon là aussi de remonter le temps ! Bonne lecture.
Nous sommes en plein dans les fêtes de fin d'année, une période qui n'est pas spécialement propice aux recherches généalogiques ! Mais les retrouvailles en familles sont aussi des moments de partage, et outre le plaisir qu'elles procurent, elles revêtent un aspect tout aussi important pour la connaissance de l'histoire familiale.
Aussi ne vais-je pas faire aujourd'hui un billet trop long, autant aller directement à l'essentiel : je vous souhaite à tous d'excellentes fêtes de fin d'année, et de très bons moments à passer en famille et entre amis. Que cette période vous donne le plus de joie possible à partager avec ceux que vous aimez, et plus généralement que cette nouvelle année à venir vous voie tous et toutes en très bonne santé, avec le bonheur et la prospérité auxquels chacun de nous devrait avoir droit. Et, accessoirement, je vous souhaite également de belles trouvailles généalogiques pour 2024 ! A l'année prochaine.
Je vous en avais déjà parlé la dernière quinzaine, je travaille actuellement sur la page des Insolites pour y intégrer une nouvelle rubrique. Jusqu'ici, la page des Insolites mettait à l'honneur certains individus de notre généalogie, dont la vie présente un point remarquable. Des grandes familles aristocratiques aux assassins, du couple avec le plus grand écart d'âge aux records en tout genre (longévité, mariage qui a duré le plus longtemps, père le plus âge, ...), vous y trouverez tout ce qu'il est amusant de connaître dans notre histoire familiale ! Mais cette partie est déjà en place depuis plusieurs années, elle était juste mise à jour au fur et à mesure des nouvelles recherches.
J'ai donc ajouté sur cette page des actes qui ne concernent pas notre généalogie, mais sur lesquels je suis tombé lors de mes recherches. Ils ont attiré mon oeil par une rédaction un peu particulière, voire franchement inhabituelle ! Les curés étant eux aussi humains, ils font des erreurs comme nous tous, et nous rouspétons régulièrement contre ça quand ils nous envoient de mauvaises informations. Mais parfois, ils peuvent aussi nous faire rire ! Des lapsus, des commentaires personnels peu délicats, des rancoeurs peu ou pas dissimulées, on trouve un peu de tout mais on est à chaque fois surpris. On se rend compte que le prêtre se fait parfois chroniqueur de son temps, ce qui nous fait entrer dans l'histoire par une autre porte.
Je vous invite donc à voir la page des Insolites, accessible directement par le menu de gauche, et de cliquer sur "Les actes étranges". Je vous jure qu'il y a franchement moyen de rigoler un bon coup ! Le Livre d'Or est à votre disposition pour me dire ce que vous en avez pensé !
Un nouveau projet sur lequel je suis en train de travailler. Ca faisait plusieurs mois qu'il me trottait dans la tête, et que je mettais de côté les documents qu'il me fallait pour le concrétiser ! Je vais vous en toucher deux mots.
A tous ceux qui prennent le temps (et il en faut !) de chercher les actes qui les intéressent dans les registres, je veux parler d'une situation qu'ils ont déjà probablement rencontrée. Alors qu'on est à la recherche d'un nom et d'un acte bien précis, il arrive qu'on tombe sur un acte qui ne ressemble pas tout-à-fait aux autres, qui détonne un peu du ron-ron un peu lassant des baptêmes, mariages et décès se succédant habituellement. Un acte qui attire notre attention parce que différent : un événement cocasse ou tragique qui y est consigné, un commentaire ironique ou un peu déplacé du curé, un lapsus qui en devient humoristique, une rédaction approximative à double-sens,... En quelque sorte, il s'agit pour moi de rassembler les perles, de faire un bêtisier des registres, sur lesquels je suis par hasard tombé.
Il faut bien sûr un peu de temps pour en rassembler suffisamment, de manière à justifier une page entière, ou bien l'intégrer dans celle déjà existante des Insolites qui serait finalement tout aussi appropriée. Je réfléchis encore sur la structure et la forme que prendra cette rubrique, mais je pense qu'elle verra le jour prochainement. Alors, restez à l'écoute !
Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais si vous vous souvenez, le dernier billet parlait de la fréquentation de ce site. Nous avions franchi il y a 2 semaines la barre des 80 000 visiteurs, avec une moyenne de 138 visiteurs par mois sur la dernière année, et un petit tassement sur les 3 derniers mois. Je vous remerciais chaleureusement pour cela !
Je ne sais pas ce qui s'est passé, disais-je donc, mais 15 jours plus tard, nous avons dépassé les 89 000 ! En regardant le compteur, je me suis aperçu que la grande majorité des visites se sont faites sur le week-end. Rien d'étonnant à cela, le week-end on a du temps libre, on peut surfer sur le Web à la recherche de nouvelles ressources généalogique en écoutant du Mozart (ou bien les Trois cafés gourmands, c'est selon). Mais je crois déceler un autre paramètre qui a joué un grand rôle dans cette accélération : la pluie ! Effectivement, le mauvais temps fait en général 4 sortes d'heureux : les escargots, les marchands de parapluies, les exploitants de salles de cinéma, et les sites internet.
Quoi de mieux qu'un temps à ne pas mettre un généalogiste dehors pour faire de la généalogie ? Je dois avouer que moi-même, j'ai profité qu'il pleuve des chats et des chiens, comme disent nos amis Anglais si familiarisés avec l'humidité, pour continuer mes recherches. Mais je n'en appelle pas aux pluies abondantes et continuelles pour autant : je ne peux pas m'empêcher de penser à tous ceux et celles qui sont inondés dans leurs domiciles, notamment dans le Nord de la France, et d'espérer une accalmie de ce temps détraqué. Pour qu'enfin chacun puisse vivre normalement et tranquillement chez soi. Il y a quand même des priorités.
Il s'est passé quelque chose de très important ce jeudi 26 octobre 2023. En effet, le site a atteint (et dépassé) les 80 000 visiteurs ! Je tiens donc ici à remercier tous ceux qui ont visité le site au moins une fois, et surtout ceux qui y reviennent régulièrement. On fait un site internet pour qu'il soit visité, et je constate avec bonheur que c'est le cas !
Si on reprend les archives 2022, on se rend compte qu'on avait atteint les 30 000 visiteurs en octobre de cette année-là. J'avais aussi noté qu'en fin juillet 2023, il y a donc 3 mois, on avait atteint les 70 000. Cela nous fait donc une moyenne de 138 visiteurs par mois sur l'année écoulée, et de 111 sur les 3 derniers mois. Un petit ralentissement donc, mais une consultation toujours très honorable pour un site de généalogie !
Je pense que je vais tenir un tableau des consultations, en notant le nombre de visiteurs, pourquoi pas toutes les semaines, et présenter les résultats sous forme de graphique de manière à visualiser la fréquentation. Cette "courbe d'audience" fera sans doute l'objet d'une nouvelle page sur ce site. C'est un projet que je vais étudier ! En attendant, je vous remercie encore et vous souhaite une bonne visite !
L'autre jour je discutais avec une amie qui a retrouvé des documents dans les archives de sa mairie, concernant l'achat du mobilier de l'école où enfant, elle était élève. Il y avait le modèle, le descriptif et la marque des tableaux noirs à 2 battants, des tableaux pouvant tourner autour d'un axe vertical, de tables d'écoliers à 2 places, etc... Ces documents étaient datés de l'année de sa naissance, qui se trouve être également la mienne.
Cela m'a fait poser une question : où la généalogie commence-t-elle ? Y a-t-il un âge pour considérer qu'évoquer son enfance, c'est déjà faire de la généalogie ? Ou bien faut-il faire commencer la généalogie à partir de ses parents, ou bien de ses grands-parents ? Voilà une bonne question... Le Robert nous dit que la généalogie est l'étude des filiations, une liste qui donne la succession des ancêtres. Cela semble supposer que la personne qui fait ses recherches en est exclue.
Pourtant, je ne peux pas m'empêcher de penser différemment. Si ce qui "me" concerne n'est pas pour moi de la généalogie, cela constitue une part de la généalogie de mes enfants. Or, la généalogie implique automatiquement une notion de transmission, même si chacun d'entre nous, généalogistes amateurs, pratiquons cette discipline par passion, pour notre seul plaisir. Après nous, nos enfants y auront accès et s'en rendront propriétaires. Nos souvenirs deviendront alors des témoignages, et seront les sources des généalogistes futurs. Considérant cela, il semble donc intéressant de mettre ces souvenirs par écrit pour qu'ils soient disponibles quand nos descendants s'y intéresseront, ce qui n'est pas forcément le cas aujourd'hui. Je suis persuadé que même si notre vie n'est pas celle d'un grand homme d'Etat, d'un grand artiste ou d'un personnage important, elle mérite néanmoins d'être racontée. Si elle n'intéresse pas les éditeurs, aucune importance : elle attisera forcément un jour la curiosité d'un de ses enfants, ou petits-enfants. C'est par écrit que cette transmission se fera, et c'est l'un des buts de ce site. Puisse-t-il trouver un jour l'écho que je lui souhaite...
Suite de la quinzaine dernière, au sujet de la citation des sources. Pour ceux qui n'ont pas lu la première partie, rendez-vous ci-dessous dans "Les archives 2023", où vous trouverez ce billet et le précédent.
Je fais également dans ce site des citations qu'on pourrait qualifier de non vérifiables ! Il s'agit dans ce cas bien précis d'un document papier que j'ai pu récupérer dans les archives familiales qui m'ont été remises. Un contrat de mariage, un acte de vente ou d'achat, des lettres, etc... J'ai réuni tous les documents familiaux que j'ai trouvés, et je les ai étudiés, disséqués, analysés, de manière à en tirer la substantifique moelle qui m'a servi pour la rédaction du récit. Ces documents étant sous forme papier, ils n'ont bien sûr pas de côtes officielles comme on pourrait en trouver aux Archives Départementales. Je cite alors simplement la date du document, le nom du notaire qui enregistra l'acte et la résidence de son étude.
Enfin, un autre cas où citer les sources semble difficile à faire, c'est sur le recueil de la parole des anciens. J'ai eu la chance de commencer la généalogie à une époque où mes 2 grands-mères vivaient encore. Malheureusement, l'une d'elles avait déjà contracté la maladie d'Alzheimer. J'ai par contre pu discuter avec la seconde : j'ai carrément interviewée mon aïeule maternelle sur tout ce qu'elle savait de sa famille et de celle de son mari. Elle l'a fait avec beaucoup de gentillesse. Pour l'autre côté de ma famille, mon père a écrit lui-même ses mémoires ainsi que l'histoire de ses parents et grands-parents. D'autres membres de la famille ont aussi prêté leur concours pour compléter certaines pages. Leurs témoignages ont étayé mon récit pour une très large partie, et je les en remercie encore chaleureusement.
Ce sont donc pour moi les seuls cas où les sources peuvent ne pas être véritablement citées. Pour le reste, c'est bien sûr à l'appréciation de chacun, mais à part pour l'état civil pur consultable par tous, toute source apportant une information non disponible dans les registres paroissiaux ou d'E.C. doit être indiquée clairement, pour pouvoir s'y reporter si on trouve une information différente, voire contraire. Ceci pour avancer tous ensemble vers la vérité historique !
Jean de Florette n'est pas le seul à chercher des sources. Tout bon généalogiste se doit de les citer, ses sources, sous peine de ne pas voir son travail considéré avec tous les égards. La source est le document qui nous permet d'affirmer une chose concernant une personne. Si votre ancêtre Jean BONNEAU a vendu un champ de tournesol à Pierre KIROULE le 3 février 1775, il faut pouvoir le prouver, c'est-à-dire indiquer avec précision dans quel registre vous avez trouvé son acte de vente. Ainsi, d'autres généalogistes peuvent ultérieurement consulter le document pour vérifier que vous avez dit vrai. Les sources sont donc très importantes à citer, on est tous d'accord là-dessus.
Pourtant... Je ne vais pas me faire que des amis, mais j'y mettrais un bémol. Quand on parle d'un achat foncier chez un notaire, citer le nom de ce notaire, son lieu de résidence et la date de l'acte est indispensable. Quand on se réfère à des travaux d'historiens sur une branche, souvent noble, car on n'a pas forcément accès à ces documents en tant que généalogiste amateur, il faut rendre hommage au travail fourni et citer l'historien en question, le titre de son ouvrage et son éditeur. Je me plie à toutes ces règles-là, totalement normales et légitimes, dans ce site.
Mais quand je vois que pour un acte de naissance, certains donnent la côte du registre et jusqu'au numéro de page, je dis non. Pourquoi ? Tout le monde connaît le site des Archives Départementales, tout le monde sait chercher le registre d'une paroisse précise dans une période donnée, c'est le B-A BA. Ce qui fait le sel de notre passion est avant tout le fait de chercher. En indiquant la côte et la page où trouver l'acte désiré, la pratique de la généalogie se résume à... du travail administratif ! Ne trouvez-vous pas que feuilleter les pages avant de trouver le trésor est infiniment plus gratifiant que de simplement relever des compteurs ? Citer ses sources, oui, mais les sources utiles. Trouver avant de chercher, c'est faire l'amour sans les préliminaires ! Certains s'en contentent... Et vous, qu'en pensez-vous ? Pour ou contre, le Livre d'or est à votre disposition pour en débattre !
Cette fois-ci est la bonne ! Je mets en ligne la page sur nos implexes. Je rappelle que les implexes sont des ancêtres qui se retrouvent plusieurs fois dans l'arbre généalogique. Nommée "Nos implexes", elle est désormais accessible via le menu de gauche, juste après "Nos cousins célèbres". Comme je vous le disais la quinzaine passée, cette page va présenter nos implexes, mais sous forme de page narrative. L'histoire de chacune des 6 branches où se trouvent des implexes est retracée, comme pour toutes les pages narratives. L'intérêt de les réunir sur une seule page est de ne pas répéter les mêmes choses à tous les endroits où on retrouve ces implexes, c'est-à-dire sur plusieurs pages narratives différentes. Elles sont pour ainsi dire centralisées.
Quand l'histoire de la branche implexe arrive au niveau des enfants "simples" ancêtres, des liens sont à votre disposition pour suivre la suite de la saga familiale. Un lien pour chaque enfant ancêtre vous mènera à la suite de l'histoire, dans la page narrative adéquate et à l'endroit où l'histoire continue. Ainsi, vous ne perdez pas de temps à chercher dans toute la page narrative où se trouve le point de jonction qui permettra de continuer le récit de la branche désirée.
J'aimerais particulièrement avoir des retours sur cette page, qui m'a pris énormément de temps à mettre en place. Vos messages et vos remarques seront les bienvenus sur le Livre d'Or, n'hésitez pas à vous exprimer ! J'y répondrai avec plaisir !
La quinzaine passée, je vous parlais des implexes et de leur étude que je suis en train de mener dans ma propre généalogie. Mais quel est l'intérêt de cette étude ? Encore une fois, chacun peut y trouver ce qu'il veut, il ne m'appartient pas de donner des cours magistraux dans ce domaine. Je ne peux parler ici qu'en mon nom propre, et c'est à ce titre que les lignes qui vont suivre sont écrites.
Outre le fait que les implexes entraînent immanquablement des ancêtres multiples, positionnés chacun à plusieurs endroits de l'arbre généalogique, ils impliquent aussi une certaine angoisse face à la consanguinité, qui semble en être en quelque sorte le "côté obscur". Dans la page de nos implexes (ceux de notre généalogie) que je suis en train de rédiger actuellement, j'explique sans détour les tenants et aboutissants de cette corrélation entre implexe et consanguinité. Sans "divulgâcher" (quel mot horrible !) ou spoiler (c'est pire) cette future page, je peux dire qu'il y a une déplorable confusion entre les deux, qui est non seulement inutilement effrayante, mais surtout fausse dans la très grande majorité des cas !
Seriez-vous un descendant direct d'une famille royale ayant encore des membres sur le trône au XIXème siècle, que vous pourriez vous en inquiéter, et encore dans une faible mesure. Pour la majorité des gens dont les ancêtres furent cultivateurs à 85 %, n'ayez aucune crainte ! Vous avez bien sûr des implexes dans votre arbre, comme TOUT LE MONDE, mais tellement dilués dans le temps et lavés sur des générations apportant leurs gènes neufs que vous pouvez avoir l'esprit tranquille ! Ce vieux fantôme de consanguinité et des tares qu'il est censé engendrer n'est qu'un torchon vide agité par des ignorants. Reste que c'est un monde fascinant à étudier, et que j'espère vous en livrer quelques secrets très bientôt !
Et si on parlait des implexes ? Vous savez, la situation qui met mal à l'aise parce que quand on dit le mot, on pense tout de suite à consanguinité ! Remettons les choses dans leur contexte : un implexe est un ancêtre qui se retrouve deux ou plusieurs fois dans l'arbre généalogique. Je décris sommairement le principe dans la page "Les implexes", accessible par le menu à gauche. Mais je n'ai jamais vraiment étudié le phénomène. Eh bien, depuis quelques semaines, je m'y colle !
Je suis en train d'étudier plusieurs cas différents d'implexes. D'abord des cas simples : un frère et une soeur ancêtres tous les deux, qui font que leurs parents et tous leurs ascendants sont des implexes. Ou bien 3 enfants de la même fratrie, qui font que leurs parents ont non pas 2, mais 3 numéros sosa différents. Puis des cas un peu plus complexes : les mêmes que précédemment, mais dont un des enfants n'est pas sur la même génération que les autres (un frère sur la génération 11 et une soeur sur la 12, par exemple), ce qui change bien des choses. Ou bien des demi-frères et demi-soeurs, qui du coup n'ont qu'un parent en commun. Puis des cas bien compliqués, avec des implexes sur 2 ou 3 générations successives, avec ou sans écart de génération dans la fratrie !
C'est dire si je me prends bien la tête ! Mais chaque cas étudié me donne une vision passionnante de l'évolution de l'arbre généalogique dans les générations supérieures. C'est un monde incroyable que je découvre, et que je vous ferai partager d'ici quelques semaines. Ceci dans un but bien particulier, que je vous dévoilerai dans mon prochain billet d'actualités !
En attendant, bonnes vacances à tous !
Comment ? Déjà plus de 70 000 visites ? Le site en avait 30 000 en octobre 2022, c'est-à-dire il y a 9 mois. Je sors mon boulier, je pose 3 je retiens 1, 9 fois 30 = 270 jours, 70 - 30 = 40, donc 40 000 / 270 = 148, ça fait donc une moyenne de 148 visiteurs par jour ! Pour un site de généalogie, c'est plutôt pas mal !
Alors je voudrais profiter de cette occasion pour remercier tous ceux qui, par Généanet ou par hasard, ont eu l'occasion de visiter ce site, ont tenu à y revenir, et surtout ceux qui ont laissé un mot sur le Livre d'or, accessible depuis le menu. Car comme la généalogie en général, ce site est un lieu d'échange et de partage. Vous pouvez exprimer vos opinions, vos idées, vos remarques et vos mécontentements (ou vos encouragements !) sur le Livre d'or, et m'exposer votre point de vue sur un point particulier de ce site qui vous a marqué, ou qui vous pose question. Je me ferai un plaisir de vous répondre et d'échanger avec vous sur le sujet choisi.
Pour ceux qui sont en vacances, je vous les souhaite bonnes et entourées des gens que vous aimez. Le billet "Actualités" que vous lisez ne s'arrête pas pendant l'été, il poursuit son cycle de quinze jours pour vous accompagner dans vos recherches. A très bientôt sur le Livre d'or, et bonnes vacances !
Voici un cas d'école. Travaillant sur la page "Les origines des JUSTE", je me suis intéressé aux parents de mon ancêtre Sébastein HOSTEIN. Ce jeune homme est né dans la paroisse de Moulis, dans le Médoc en Gironde, le 20 octobre 1760. Ses parents sont cités sur son acte de mariage : ce sont Pierre HOSTEIN et Jeanne DEVIDAS.
J'ai cherché alors le mariage des parents à Moulis. N'ayant rien trouvé, j'ai consulté le site Mariages en Médoc, sur lequel des passionnés bénévoles font des relevés systématiques de mariages dans un peu toutes les communes du Médoc (et du département). Ce site formidable m'a souvent débloqué des branches pour lesquelles les changements de paroisses n'étaient indiqués dans aucun acte. Et là surprise : le site me retourne le mariage de Pierre HOSTEIN et Jeanne DEVIDAS le 14 décembre 1733 à St-Estèphe, paroisse située à 30 kilomètres au nord de Moulis. Fidèle à mon habitude, je vais dans les registres de St-Estèphe pour vérifier. Effectivement, j'y trouve l'acte de mariage, les actes de naissances des enfants du couple jusqu'en 1756 (forcément, Sébastien est né en 1760 à Moulis), et les actes de décès des deux parents, Pierre HOSTEIN le 5 novembre 1784, et Jeanne DEVIDAS le 10 avril 1789. Tout à St-Estèphe, tout nickel.
Mais quand même, je me suis demandé pourquoi St-Estèphe n'était cité dans aucun acte déjà en ma possession sur cette famille, ni dans l'acte de naissance de Seb (oui, je l'appelle par son diminutif maintenant), ni dans son acte de mariage... Pour en avoir le coeur net, j'ai fouillé le registre de Moulis de 1779 (année de mariage de Seb où ses parents étaient encore vivants), en avançant jusqu'à trouver le décès de Jeanne DEVIDAS, épouse de Pierre HOSTEIN, à la date du 13 juillet 1782 ! Je n'étais pas en présence d'un homonyme, mais d'un couple d'homonymes ! C'est un fait plutôt rare, et qui a bien failli me faire tomber dans le panneau. St-Estèphe était une fausse piste, il fallait bien tout chercher sur Moulis ; comme quoi même au pays du vin, l'étiquette ne fait pas la qualité...
Et voilà, une page de plus de faite ! Je veux bien sûr parler de la page "Les origines des MONNEREAU", sur laquelle je (re)travaillais depuis environ 3 mois. Pour ceux qui n'auraient pas suivi les épisodes précédents, je reprends une à une chaque page narrative qui traite des origines d'une branche, avec toutes les branches qui s'y rattachent, en les complétant suivant les registres mis en ligne sur le site des Archives Départementales de la Gironde. Un gros travail de recherche, suivi d'un aussi gros travail de rédaction puisque dans ce site, je ne présente pas mes données "brutes", mais je raconte l'histoire de la famille en un récit construit à partir des informations issues de ces recherches.
Pour cette page sur les MONNEREAU, vous voyagerez donc dans le Médoc, entre les villes (je devrais plutôt parler de paroisses) de Castelnau, Ludon, Lacanau, Sainte-Hélène, Saint-Aubin et Saint-Médard-en-Jalles. Des morceaux de vies sur plusieurs générations, entre le XVIIIème et XIXème siècle, y sont relatés pour vous faire partager les joies ou les tristesses que nos ancêtres ont pu ressentir au cours de leurs existences. Tout ceci illustré par des cartes postales anciennes des communes où l'action se situe, véritables photographies des lieux dans le temps (même si lesdites photos sont de la première partie du XXème siècle).
Evidemment, vous pouvez laisser un mot sur le livre d'or pour me faire part de vos remarques, positives ou négatives, sur cette page en particulier ou sur le site en général : je suis ouvert à toute discussion et j'accepte toute critique constructive. Je vous souhaite donc une bonne lecture et un bon voyage dans le passé !
Récolter des actes, des noms, des dates et des lieux. Compiler les données dans un logiciel de généalogie. Voir son arbre grandir. Avoir le plus d'ancêtres possible. Remonter le plus loin dans le temps. Voilà donc le quotidien du généalogiste amateur. Mais est-ce bien là son but ?
Bien sûr que non, tout ceci n'est qu'un moyen d'atteindre le but... Le côté technique, le passage obligé, la figure imposée, mais le trajet n'est pas la destination ! Si beaucoup d'entre nous s'arrêtent à ces étapes, et cela reste louable, ce n'est pas mon cas. Je vais un peu plus loin vers la connaissance des vies de mes ancêtres. A mesure que l'enquête avance sur une branche, et que je récolte les données issues des registres, vient le moment que je préfère : faire le récit de la vie des personnages qui sont l'objet de mes recherches. En classant les informations par ordre chronologique et en leur donnant un sens, je retrace l'existence des ancêtres, le métier qu'ils exercent, leurs déménagements successifs, leurs veuvages et remariages, les épreuves qu'ils traversent, les joies qu'ils éprouvent,... Pour donner une image parlante, je reconstitue la chair autour du squelette, et je tente de lui redonner vie !
Entendons-nous bien : il n'y a aucune notion religieuse dans ce que je suis en train d'expliquer. Il s'agit juste de sortir tous ces braves gens de l'oubli, et d'être le premier à raconter leur histoire. Etre le premier, j'y tiens beaucoup, car pendant au moins un temps (avant la mise en ligne), je suis le seul à me souvenir de ces personnes mortes depuis des années et à les voir ressusciter dans les pages de ce site. L'émotion qui me guide est difficile à expliquer. C'est une sorte de connexion directe avec l'Histoire sans passer par l'intermédiaire d'un historien, un genre de machine à remonter le temps grâce à laquelle j'entretiens des relations privilégiées et directes avec mes ancêtres à travers les siècles. Mais comment expliquer un sentiment ? Ca, j'ai bien peur de ne pas y parvenir. Permettez-moi juste de l'éprouver !
L'actualité de ce site cette semaine pourrait ressembler aux actualités du JT de 20 heures : pas grand'chose de nouveau sous le soleil ! Mais ce n'est pas pour autant que je ne fais rien !
Je suis toujours sur la page des Origines des MONNEREAU. Pour ceux qui n'ont pas suivi les épisodes précédents (ce n'est pas bien, punition !), je suis en train d'approfondir les recherches sur cette branche et celles qui s'y rapportent. Il y a quelques années, j'avais commencé cette partie-là de ma généalogie, mais en m'arrêtant aux registres que je pouvais trouver dans les mairies concernées. Depuis, les Archives Départementales ont numérisé beaucoup de registres paroissiaux et d'état civil, de sorte que je peux aller plus loin sur chacune des branches, et en découvrir de nouvelles.
J'ai donc repris toutes mes recherches, et passé en revue tout mon éventail généalogique depuis le quartier A pour remonter plus loin dans chaque branche. La branche MONNEREAU, sur laquelle je planche actuellement, est dans le quartier D. Je ne suis pas loin d'arriver au bout, mais les dernières branches que je remonte m'entraînent au XVIIème siècle, avec les difficultés habituelles de déchiffrage, de laconisme et de trous dans les registres. Du coup, les dernières prennent plus de temps que les autres ! Mais ne nous plaignons pas : le fait de voir l'horizon reculer au fur et à mesure que l'on avance, c'est aussi ce qui fait notre passion ! Et notre patience...
Je parle souvent de ce point si crucial dans l'établissement de sa généalogie, qui consiste à vérifier systématiquement les informations que l'on trouve sur Internet. Ceci paraît comme une évidence, les deux raisons étant, d'abord pour être sûr que l'information est juste, et ensuite qu'elle s'applique bien à notre ancêtre et non à un homonyme. Mais il y a vérifier et vérifier...
J'échangeais il y a quelque jours avec une personne ayant son arbre sur Généanet. Ce généalogiste me confirmait qu'il avait pris l'habitude de chercher dans les registres les actes correspondant aux informations trouvées sur ledit site et qui le concernaient directement. Nous parlions d'un individu né à la toute fin du XVIIème siècle, époque où les registres sont assez avares en détails ! Je l'ai félicité de ce bon réflexe, mais quand je lui ai demandé s'il était certain qu'il ne s'agissait pas d'un homonyme, il m'a répondu que l'acte ne citant ni son épouse ni ses parents, il n'avait pas assez d'éléments pour l'affirmer.
C'est une situation que nous rencontrons tous, surtout dans les époques assez reculées comme celle-ci. On se trouve dans la phase du "C'est peut-être lui mais je n'en suis pas sûr". Quand il y a trop peu d'informations pour identifier l'individu de façon certaine, personnellement, je fouille la totalité du registre, même après avoir trouvé ce que j'y cherchais. Cela permet justement de trouver d'éventuels homonymes, et parfois on en trouve : il faut alors passer par une étape supplémentaire qui consiste à identifier le bon. Pour ma part, s'il y en a, je compare les dates (si elles correspondent à l'âge approximatif de l'individu), les noms des parents (si on les retrouve comme parrains-marraines des petits-enfants), etc.. Comme Columbo, c'est parfois dans les détails que se cache la vérité ! Et s'il n'y en a pas, on peut raisonnablement affirmer que le seul individu trouvé est le bon, même si on n'en a pas la preuve indiscutable. Jusqu'à ce qu'on trouve (souvent par accident) la preuve du contraire... Mais que serait la généalogie s'il n'y avait pas une part de doute ?!
A un moment donné, dans ma recherche d'ancêtres, je n'ai pas pu m'empêcher de penser au-delà des registres, même au-delà de l'invention de l'écriture... Si à la base, on cherche toujours les parents de l'individu le plus ancien que l'on rencontre, on peut aussi se demander qui sont les parents de la race humaine. Histoire de pousser le bouchon un peu plus loin, pourquoi ne pas rechercher les origines des homo Sapiens que nous sommes tous ?
Dans cette aventure, il faut totalement changer de registre ! Exit les archives départementales, les registres notariés et les listes de recensement, nous sommes à présent dans la préhistoire et l'anthropologie. Quand j'étais enfant, je me passionnais déjà pour la préhistoire et l'évolution de la vie en général. Nous étions dans les années 1970, Yves Coppens avait déjà découvert Lucy et des revues adaptées à mon âge vulgarisaient les récentes découvertes sur les origines de l'Homme. Je m'étais fait alors un mémoire sur le sujet, reprenant le maximum d'informations glanées à droite et à gauche pour être le plus complet possible ! Puis le temps est passé, et ce mémoire est tombé dans l'oubli... Un comble !
Devenu adulte (il était temps !) et ayant créé le site que voici, à l'idée de remonter les origines humaines, je me suis rappelé de ce texte écrit 40 ans plus tôt. J'ai alors ouvert le carton dans lequel il dormait. Bien sûr, depuis, d'autres découvertes ont été faites, des progrès ont été réalisés, et j'ai dû reprendre en partie ce que j'avais écrit à l'époque, mais avec le même allant et la même passion que ceux qui animaient l'enfant que j'étais ! C'est ce travail que je vous propose de découvrir dans la page "Les origines de nos ancêtres", actualisé suivant les dernières connaissances sur ce sujet. Tout en étant bien conscient que sur certains points, les scientifiques eux-mêmes ne sont pas tous d'accord... Alors, prêts pour remonter l'histoire encore un cran plus loin ?!
Un petit point sur ce que j'ai appelé le fil d'Ariane. En haut de chaque page narrative, page qui raconte l'histoire d'une branche de la famille ou bien la vie d'un ancêtre en particulier, juste en-dessous du titre de la page, se trouve une ligne qui commence par : "Vous êtes ici : ". Cette ligne, sur laquelle on passe un peu rapidement, est cruciale pour bien comprendre où se situe le récit de cette page au sein de la branche concernée. Explications.
Les pages narratives décrivent l'histoire de nos ancêtres, mais évidemment tout ne peut pas entrer dans une seule page ! Il faut donc les découper en plusieurs tronçons. Une bonne pratique est de définir des branches. Je suis parti de mes 4 grands-parents, qui sont les bases de 4 grandes branches. Chacune de ces grandes branches est elle-même divisée en plusieurs branches, issues pour la plupart des grands-parents de mes grands-parents ! Cela fait que pour chaque branche menant à un des 4 grands-parents, on a plusieurs pages narratives :
Le petit arbre généalogique à droite présente la situation de la page dans la globalité de famille, ceci de façon verticale. Mais le fil d'Ariane la présente de façon horizontale, en ne gardant quel les personnages concernés par la branche, et en les affichant dans l'ordre chronologique des plus anciens aux plus récents. L'ordre des générations est ainsi clairement présenté, chaque enfant étant séparé de son parent par une flèche rouge.
Dernière chose : les 2 derniers éléments de cette chaîne du fil d'Ariane concernent un de mes deux parents, et moi-même. Ils ne mènent bien sûr à aucune page puisqu'à ce stade, on n'est plus dans la généalogie mais dans la vie privée ! Mais pour tous les autres individus, tout est accessible. Vous n'aurez plus d'excuses pour vous perdre !
Dans le monde amateur, il y a 2 sortes de généalogistes. D'abord il y a ceux qui cherchent sur Internet dans les sites comme Généanet, Filae, etc... pour voir les arbres en ligne et essayer de trouver des ancêtres communs, pour en quelque sorte bénéficier des recherches des autres. C'est une solution très rapide pour retrouver des branches entières de sa généalogie, remonter le temps et faire une collection d'ancêtres impressionnante en un minimum de temps.
Et puis, il y a ceux qui vont dans les mairies, qui regardent dans les archives numérisées des Archives Départementales, et qui cherchent eux-mêmes à la source les actes qui les intéressent. Ils passent du temps à faire défiler les pages, à déchiffrer des écritures parfois difficiles, à se casser la tête sur 2 actes concernant des homonymes en cherchant des indices pour identifier le bon, etc... C'est une solution plus longue, plus compliquée et plus difficile.
En fait, il s'agit ni plus ni moins que l'histoire du lièvre et de la tortue ! Et comme dans la fable, c'est toujours la tortue qui gagne... Même si les sites ci-dessus nommés ont un rôle essentiel et indispensable dans l'échange de données et le partage d'une passion, il faut se méfier de ce qu'on y trouve ! Combien d'erreurs ai-je trouvées dans combien d'arbres publiés... Beaucoup d'entre eux se bornent à recopier ce qu'ils ont trouvé sur d'autres arbres, eux-mêmes recopiés sur d'autres, et les erreurs se multiplient d'autant. Ainsi, le fait de trouver plusieurs arbres qui disent la même chose n'est pas un signe de probité. Du tout ! Et comme très peu citent leurs sources, on ne peut jamais confronter les versions et retrouver la vérité.
Le fait de faire soi-même ses recherches dans les registres est le coeur de notre passion. Il ne s'agit pas d'une "collection d'ancêtres", mais d'une enquête presque policière, d'un puzzle géant, d'un escape-game où il faut sortir de son ignorance. La recherche à la source est le véritable intérêt de la généalogie. Un historien qui prend plusieurs livres déjà écrits sur un sujet, et qui en fait une synthèse pour en écrire un nouveau, n'est pas un historien. Il recherchera plutôt les documents d'époque, dépouillera les archives et croisera leurs informations afin d'en extraire la substantifique moëlle. En cas de manque de sources, il élaborera des hypothèses qu'il cherchera à vérifier ; s'il trouve un élément contradictoire, il éliminera cette hypothèse et en vérifiera une autre. En fait, le généalogiste est un historien de sa propre histoire familiale, et doit adopter les méthodes correspondantes au métier. Vous ne joueriez pas au tennis avec les règles du rugby ! Alors, en avant les tortues !
Les recherches sur les origines des GOFFRE sont maintenant terminées. Comme à mon habitude, j'ai poussé les registres numérisés des Archives Départementales de la Gironde dans leurs derniers retranchements, de manière à aller au bout du bout de ce qu'ils pouvaient donner ! Tous ceux qui parcourent ces fameux registres le savent bien : plus on remonte dans le temps, plus les écritures sont difficiles à déchiffrer, moins on trouve d'informations, et plus on prend... de temps ! Car si tout le monde peut remonter sans difficultés jusqu'à la Révolution française, il faut d'abord franchir cette étape (conversion du calendrier Républicain en Grégorien), pour enfin aller jouer dans la cour des grands : les registres paroissiaux d'Ancien Régime ! Et là commence l'Aventure...
Car à ce stade-là, le jeu de piste est encore faisable, mais on a quitté les pistes goudronnées pour arpenter un chemin montant, sablonneux, malaisé, voire des sentiers plus sinueux, obscurs et quelquefois... la véritable jungle ! A tel point que la piste n'existe plus et on se dit qu'il faut rebrousser chemin. Sauf que si les registres remontent encore plus loin, c'est dommage de s'arrêter parce qu'on a perdu le fil... Justement, c'est ce qui m'est arrivé lors de ces dernières recherches dans la page "Les origines des GOFFRE", notamment pour la branche MAURIN. Je n'avais pas les données pour remonter plus loin, mais avec un peu de matière grise et d'intuition, on peut parfois franchir des étapes !
Je vous laisse découvrir le problème que j'ai rencontré, et ma façon de le résoudre. Cette fameuse page se retrouve donc en ligne à compter de ce jour, avec la totalité de mes dernières trouvailles. N'attendez pas, vous aussi lancez-vous dans l'aventure ! Vos commentaires sont toujours les bienvenus dans le livre d'or.
Après les grandes modifications du site pour qu'il soit visitable sur smartphone et autres petits écrans, il est temps de reprendre les recherches ! Je les avais laissées à la page des "Origines des GOFFRE", où j'avais quand même bien avancé. Je me suis replongé dans cette branche, remis dans le contexte, et c'est reparti ! Cependant, vous pouvez dès à présent voir une partie du fruit de ces recherches, puisque les opérations de "responsive design" ont aussi concerné cette page. De fait, je l'ai mise en ligne avec les mises à jour visuelles, comme toutes les pages du site, mais aussi du coup avec les mises à jour des recherches que j'avais menées juste avant. Il me reste à développer, pour cette page, la branche BERGERON, et toutes les branches qui s'y relient.
J'ai quand même modifié l'affichage des petits arbres généalogiques, dans la version téléphone. J'ai remarqué que quand on active son affichage en appuyant sur "Afficher le mini-arbre", il ne s'affiche pas sur toute la largeur de l'écran et décale le fond sur la droite... Dorénavant, il s'ouvre dans une fenêtre et on peut le faire coulisser vers la droite sans que cela n'affecte l'ensemble de la page.
Une dernière modification enfin : l'affichage des actes. Sur n'importe quelle page narrative, les ancêtres sont suivis de leurs numéros Sosa, en bleu, sur lesquels on peut cliquer. On arrive alors sur l'arbre généalogique de l'ancêtre, avec en-dessous les dates et lieux des naissance, mariage et décès, et pour chaque événement le numéro de l'acte. En cliquant sur ce numéro, on peut voir la photo de l'acte, ainsi que sa transcription. Auparavant, on avait la photo à gauche, et la transcription à droite. Mais pour la majorité d'entre eux, il me semblait plus agréable de voir l'acte sur toute la largeur de la page, et de lire la transcription juste dessous. J'ai donc changé cet affichage dans ce sens. J'espère que cette nouvelle version vous semblera aussi plus naturelle et plus claire ! N'hésitez pas à me faire part de vos impressions sur ce sujet.
Suite et fin de la grande aventure du "responsive design", cette technique qui permet de donner une apparence correcte à un site Web, qu'il s'affiche sur un écran d'ordinateur, d'une tablette ou d'un smartphone. J'ai pas mal avancé sur ce chantier, puisqu'à l'heure actuelle, toutes les pages sont achevées !
Pour ceux qui se posent la question, je précise que le remaniement des pages qui composent ce site est assez lourd. Commencé en 2009, le code répondait aux standards de l'époque, mais n'est plus complètement optimisé au vu des normes d'aujourd'hui. Heureusement que j'avais créé, déjà à l'époque, une feuille CSS pour définir l'apparence de chaque élément : cela me permet de réduire considérablement le travail aujourd'hui ! Il n'empêche que j'ai du quand même retoucher l'ensemble des pages, et changer le code à certains endroits pour faciliter la gestion de la "multi-apparence" suivant la taille de l'écran du visiteur.
La version pour ordinateur n'a pas changé, à un ou deux détails prés. La modification du code est transparent pour ce support, mais j'en ai profité pour mettre l'accès à la page "En aparté" à la suite des autres pages dans le menu de gauche, et non plus dans la liste des pages générales après "Les Implexes". La disposition de la page "Conversion d'une date républicaine en grégorien" est aussi un peu modifiée, puisque le formulaire de conversion est maintenant placé seul en haut de page, les autres éléments se situant en-dessous.
Si certains affichages paraissent un peu étranges, il faut peut-être vider le cache de votre navigateur. Cela varie suivant ce dernier (Edge, Firefox, Chrome, Opera,...) mais globalement cela se situe dans les outils, options ou paramètres, vie privée ou confidentialité et sécurité, et effacer les données de navigation. Précisez bien de n'effacer que les images et fichiers en cache, pour ne pas supprimer des cookies, des données de site ou des historiques de navigation dont vous pourriez avoir besoin par ailleurs. Je vous souhaite une bonne visite, même sur smartphone !
Vous n'avez peut-être jamais entendu parler de "responsive design". C'est une technique pour concevoir des sites Web avec un affichage qui s'adapte automatiquement à l'écran utilisé par le visiteur. L'écran d'un ordinateur et celui d'un téléphone portable n'ont pas grand' chose en commun, ni en terme de résolution, ni en terme d'orientation. Or ce site a été conçu pour un écran d'ordinateur, mais pour l'adapter à une navigation sur téléphone, il faut bien mettre les mains dans le cambouis ! C'est ce que je suis en train de faire :
Je suis donc en train de passer toutes les pages du site au crible, une à une. Pour l'instant, j'ai travaillé sur les pages :
La version sur ordinateur, quant à elle, ne doit pas changer, à part certains détails que je suis obligé de modifier pour pouvoir agir sur eux en "responsive". Je mets donc en attente les recherches généalogiques pour le moment, le temps de réaliser ce travail nécessaire, et qui va prendre encore quelques semaines. Dans tous les cas, je vous remercie de votre patience !
Ce site de généalogie a été conçu en 2009 et mis à jour régulièrement depuis. Il a toujours été pensé pour une navigation sur ordinateur, avec les navigateurs les plus courants (Internet Explorer, Edge, Firefox, Chrome, ...). Et qui dit "ordinateur" dit "écran plutôt large" : il est en effet préférable d'avoir un écran de format 16/9 pour mieux visualiser les pages de ce site ainsi que les arbres généalogiques !
Et étrangement, pendant que je vaquais à mes recherches (entre autres), le monde continuait de tourner et la technologie d'évoluer. Et voilà que maintenant, on a Internet sur nos téléphones ! Bien sûr, depuis longtemps, je regardais ce que donnait ce site sur des écrans de tablettes et de téléphones. Si sur les tablettes, on retrouve à peu près la même maniabilité que sur l'ordinateur, il n'en va pas de même pour les téléphones ! Les éléments qui sont bien agencés sur l'écran de l'ordinateur sont un peu en vrac sur téléphone. De plus, les textes ont des tailles très variables sur le téléphone, alors qu'ils sont homogènes sur ordinateur. Et depuis longtemps, je me disais qu'il faudrait quand même faire quelque chose pour rendre ce site plus agréable à consulter sur smartphone !
Nouvelle résolution cette année : j'arrête de procrastiner ! Je vais donc m'attaquer à ce chantier qui consiste à rendre ce site compatible avec les écrans de téléphone. Mais cela ne se fera pas en une seule fois, car il faut passer par des phases de test : en clair, je devrai mettre en ligne les mises à jour avant même de savoir si elles correspondent à mes attentes, pour justement vérifier qu'elles apportent bien des améliorations. Cela signifie que le site pourra parfois avoir un look bizarre pendant quelques heures ! Mais tout ceci ne sera que temporaire, le temps de trouver une bonne configuration compatible entre la version ordi et la version téléphone. Donc pendant les prochaines semaines, je ferai ce qu'il faut pour mener cette mission à bien, et vous tiendrai au courant des avancées du projet. Je vous remercie à l'avance de votre patience et de votre compréhension.
Tout d'abord, permettez-moi de vous souhaiter à toutes et à tous une excellente année 2023, pleine de santé, de bonheur et de réussite.
Pour commencer cette nouvelle année, une nouveauté concernant les archives de ce billet "Actualités". Vous en avez maintenant l'habitude, ce billet que vous êtes en train de lire change toutes les 2 semaines, et vous présente les mises à jour de ce site de généalogie, tant sur la forme que sur le fond. Je mets ici en avant les nouvelles fonctionnalités qui viennent d'être réalisées, les changements visuels, ou bien je fais un point sur mes recherches généalogiques du moment, celles que je mène à l'instant de l'écriture de ce billet. Il peut aussi devenir un billet d'humeur, quand me vient l'envie de parler d'un point précis en généalogie, en particulier des problèmes qu'on peut tous rencontrer, et de ma façon d'y remédier.
Mais comme ce billet est renouvelé tous les 15 jours, les billets précédents ne sont plus visibles. Du moins, sur cette page d'accueil, car ils restaient accessibles dans une autre page, appelée "Les archives des actualités", dont le lien se trouvait juste en bas de ce billet. Aujourd'hui, ce lien a fait des petits ! La page des archives commençait à être longue, à présenter tous les billets écrits depuis le début à elle seule. Pour pallier ce problème, j'ai simplement "découpé" cette page par année. Comme avant, vous trouverez les liens en bas de ce billet : il y a une page pour les billets parus en 2021 (année de la création du pavé "Actualités"), une pour les billets parus l'année dernière en 2022, et une pour cette année en cours. Cela fait donc des pages moins longues, et un meilleur ciblage pour la recherche des billets.
Mais même si vous n'en cherchez pas spécialement un en particulier, vous pouvez vous balader dans l'une de ces pages (2021 ou 2022, puisque l'année 2023 est pour l'instant bien vide !) et piocher au hasard un billet par-ci par-là. Ils ont beau tous être plus ou moins anciens, ils n'en demeurent pas moins d'actualité, même aujourd'hui. C'est une autre façon de remonter le temps, donc je vous souhaite, en plus des voeux traditionnels, une bonne promenade !
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