La numérotation Sosa, la recherche des ancêtres,... Quelques bases pour bien comprendre comment cela fonctionne.
Une présentation de la terre de nos origines, et les grandes ligne de l'histoire de notre famille au fil du temps...
Explications sur les différents calendriers utilisés dans l'Histoire.
Convertir une date du calendrier républicain vers le calendrier grégorien
Pour situer une date dans l'Histoire.
Quelques mots sur l'origine des noms de famille.
Qu'est-ce que c'est ?
Consulter les billets "Actualités" :
Voici les billets "Actualités" qui sont parus pendant l'année 2021. Ils sont classés dans l'ordre chronologique inverse, du plus récent au plus ancien ; une façon là aussi de remonter le temps ! Bonne lecture.
Encore une étape de franchie : je viens de finir la mise à jour de la page des origines des CONSTANTIN. En effet, comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire, je suis en train de reprendre les recherches que j'ai commencées il y a... 16 ans maintenant ! Comme le temps passe... Et bien sûr, avec toutes ces années de pratique, mes méthodes de recherche et de classement ont évolué, se sont affinées, et me permettent d'éviter un fort pourcentage des erreurs que l'on commet tous quand on débute. Il est par exemple très facile de confondre la date de l'acte et celui de l'événement, ou encore de considérer une piste hypothétique comme sûre sans même avoir cherché à la vérifier, et j'en passe... Je ne suis pas au-dessus du lot, et j'admets avoir moi aussi fait des erreurs par le passé.
Mais depuis 2 ou 3 ans, je reprends l'intégralité de mes recherches. Cette opération est mûe par le fait que des "nouveaux" registres ont été mis en ligne ces dernières années. J'avais commencé à l'époque en me rendant dans les mairies, où je pouvais toucher ce papier très spécifique, épais, rugueux, chargé de tâches d'encre et d'histoire. L'odeur du papier, aussi, est une expérience que je n'oublierai jamais. Autant de ressentis qu'on ne retrouve pas dans les numérisations départementales, même si celles-ci offrent d'autres avantages, en particulier celui de l'accessibilité libre et permanente. Et donc je reprends également les pages de ce site pour les enrichir de mes nouvelles découvertes, et supprimer certaines erreurs !
Après les pages sur les PONTET, sur les LACOURTI, et toutes les branches qui s'y rattachent, c'est au tour de celle sur les CONSTANTIN et les familles attenantes. C'est la 3ème partie de cette histoire qui se déroule dans le Médoc entre Lacanau, Carcans et Sainte-Hélène. J'espère qu'elle vous intéressera autant que les deux autres, n'hésitez pas à me laisser un commentaire sur le livre d'or pour me faire part de vos remarques. En attendant, je vais reprendre la 4ème partie : les origines des BOUSCARRUT !
J'en profite pour vous souhaiter à tous de joyeuses fêtes de Noël, malgré le Covid, et de belles retrouvailles en famille !
Posons la question directement : que restera-t-il de nos recherches généalogiques quand nous ne serons plus là ? Tout une somme, souvent colossale, de documents patiemment ammassés, d'actes, de photos, de lettres, de données, de noms, de dates et de lieux... Pour beaucoup d'entre nous, l'héritage que nous laisserons sera constitué d'un gros dossier dans un carton de rangement, et d'un fichier informatique au nom barbare : gedcom !
Plus personnellement, il y aura ce site que j'ai pensé, construit et amélioré depuis plus de 13 ans. Il n'était au départ qu'un fichier Word, avec des chapitres découpés par branche comme les pages Web d'aujourd'hui, à quelques différences près. Passionné d'informatique comme de généalogie, je ne pouvais pas passer à côté : j'ai uni mes deux passions en une seule réalisation. Le développement de l'une m'a fait progresser dans l'autre, et inversement !
Donc, que restera-t-il de tout ça après nous ? Car on ne peut pas obliger nos enfants à avoir les mêmes passions que nous. Chacun les siennes, on ne décide pas pour les autres. Du coup, il est possible et même probable que toutes ces données n'intéressent pas nos enfants, et que tout tombe dans l'oubli. Mais il ne faut pas oublier deux choses. La première, c'est qu'on s'intéresse à la généalogie à partir d'un certain âge dans la vie, donc si les enfants n'éprouvent aucune attirance vers ce domaine aujourd'hui, cela ne veut pas dire qu'ils ne s'y intéresseront jamais. Et si ce ne sont pas eux, peut-être leurs enfants, petits-enfants, y trouveront un intérêt. Le gros dossier jauni attendra endormi dans un coin du grenier, comme une vieille photo oubliée, la visite d'un petit curieux qui cherchera un trésor, et contre toute attente il le trouvera ! La deuxième, c'est que notre famille généalogique est tellement vaste (à nous tous) que les personnes qui possèdent les mêmes branches que nous peuvent s'intéresser aussi à notre travail, même si on le les connait pas. C'est pourquoi, pour que rien ne tombe dans l'oubli, il faut que nous communiquions ! Par exemple, vous pouvez me laisser un message sur le livre d'or, et raconter votre expérience sur ce site. Comme dit le chanteur : "Aimons-nous vivants !" Parlons-nous avant que le temps ne nous laisse plus que des regrets.
Aujourd'hui, je mets en ligne mes recherches sur les branches Meyre et Lacourti. Cela fait maintenant plusieurs mois que j'étais dessus. La difficulté principale qui s'est posée est (je crois que j'ai déjà eu l'occasion d'en parler !) les nombreuses lacunes qui existent dans la numérisation des registres. Ces trous sont un obstacle parfois insurmontable, et se révèlent réellement frustrant pour qui prend la peine de faire ses recherches soi-même !
Malgré tout, j'ai pu avancer sur cette partie importante de notre généalogie, car il y a de la matière ! Toute cette partie-là se situe géographiquement entre les paroisses de Sainte-Hélène, Lacanau et Carcans. Des lieux qui sentent bon le soleil et l'océan aujourd'hui, mais à l'époque (XVIIème et XVIIIème siècle) ces localités sont plutôt désolées, voire insalubres. Concernant Lacanau, nos ancêtres habitaient surtout entre le lac de Lacanau et la forêt médocaine, et non sur le bord de mer ! Leur vie difficile dans des conditions qui ne le sont pas moins force le respect et l'admiration, et je ne peux pas m'empêcher d'avoir pour eux un sentiment de tendresse et de compassion. Car ils sont tous laboureurs, brassiers ou résiniers ; si les derniers arrivent à trouver du travail dans cette immense forêt de pins, la rémunération est on ne peut plus faible et elle permet à peine à la famille de survivre. Quant aux autres, le sol est très marécageux et s'obstine à mettre de la mauvaise volonté à faire pousser quoi que ce soit.
A ceux qui pensent que les branches nobles sont les plus intéressantes à remonter car plus prestigieuses, je répondrais que nos branches les plus ancrées dans la condition paysane sont bien plus honorables, du moins à mes yeux, car leur survie ne tient qu'à leur courage, leur ténacité et leur travail. Je voulais partager avec vous cette pensée pour eux, teintée d'affection et d'admiration. Je pense que nous leur devons bien ça !
Quelques nouveautés de présentation cette semaine. D'abord, concernant la page du plan du site, j'ai ajouté des couleurs sur les noms des pages. Ca fait plus joli, mais ce n'est pas le seul intérêt : il s'agit également de voir d'un seul coup d'oeil les niveaux de générations des ancêtres de chacun de mes grands-parents. Ces 4 GP, qui sont les 4 "grandes branches", sont en rouge. Leurs parents, à tous les 4, sont en orange, leurs grands-parents sont en vert, et enfin toutes les pages concernant les origines de chaque branche sont en violet. Visuellement, cela permet une meilleure "fixation dans l'esprit" des différentes générations sur l'ensemble des pages narratives du site. Du moins je l'espère ! A voir sur le "Plan du site", accessible depuis le menu.
Autre page que j'ai retouchée, celle des cartes géographiques. Quand je l'ai créée, j'avais pensé à son utilité, son contenu et sa fonctionnalité, mais j'avais délaissé un peu le côté présentation. Je viens d'y remédier en appliquant des cadres, là aussi de couleurs différentes. Dans la partie consacrée à la Gironde, elle-même encadrée, j'ai séparé les villes principales d'une couleur, ainsi que les autres régions du département dans une autre couleur. Les autres départements français sont eux aussi encadrés d'une couleur différente. Comme il est difficile de décrire un effet visuel, je vous invite à vous reporter dans la page en question des "Cartes géographiques".
Enfin, concernant les recherches, je suis en ce moment sur la page des origines des Lacourti. Du fait de la richesse des registres à exploiter, et malgré leurs nombreuses lacunes, il me reste encore beaucoup de travail sur cette branche (et celles qui en découlent), aussi me faudra-t-il encore un certain temps avant que je ne remette cette page à jour sur le site. Patience ! Quand la page sera prête, je vous l'annoncerai dans ce présent encadré.
Une donnée généalogique que j'affectionne particulièrement : les surnoms. Dans tous les actes d'état civil, du moins dans la très grande majorité, les surnoms ne sont pas marqués. On les trouve plus souvent dans les actes à partir du milieu du XIXème siècle, et dans les actes notariés.
Or quasiment tous nos ancêtres ont un surnom. On a tous quantités de Jean Dupont ou Pierre Durand, des Jeanne et des Marie à la pelle, mais on sait très bien qu'en famille, on ne les appelait pas par leurs noms de baptême. Alors, je me dis, quel dommage de ne pas avoir accès à ces surnoms qui n'ont jamais été écrits sur aucun document, et qui se sont perdus au fil des siècles. Pourtant bien plus familiers que les prénoms officiels, bien plus intimes aussi, ils n'ont été employés qu'à l'oral par l'entourage proche de chaque individu, et dévoilent souvent une part de son caractère. Les surnoms disparus nous privent d'un lien plus profond et plus poétique avec nos ancêtres.
Pour ceux d'entre eux qui sont dans les générations plus récentes, j'ai parmi mes ancêtres "Amiet" qui signifie "petit ami", "Jeantil" qui est un diminutif de Jean (même s'il le rallonge), Marie Fatin qu'on appelle "La petite Fatine", Pierre Rossignol appelé "Petit Jour" parce que sa soeur aînée se surnomme "Aurore", et plusieurs autres. Vous retrouverez tous ces surnoms dans les différentes pages de ce site.
Et puis il y a "Alcide". J'ai trouvé récemment la provenance de ce surnom, plus dur et âpre que les autres. Vous trouverez celui-ci dans la page de Jean Pontet. Je ne m'explique toujours pas pourquoi sa famille ou ses amis l'ont surnommé ainsi...
C'est bien d'avoir des amis dans la vie... Mais c'est bien aussi d'avoir des amis en généalogie ! Il y a peu, un couple de généalogistes qui font des recherches en Aveyron, et avec qui nous avons des ancêtres en commun, m'a contacté au sujet de la famille des GOUDAL, à Muret-le-Château. Nous avions remonté la branche des GOUDAL en suivant les registres paroissiaux, et nous étions arrivés à Hugues GOUDAL dont les enfants sont nés vers 1615. Les registres n'allaient pas plus loin.
Nous nous doutions que notre famille était reliée à Etienne GOUDAL, le premier du nom à être cité dans un acte en... 1315 ! Mais par quel chemin ? Impossible de le savoir... Puis je reçois un mail de mes amis généalogiques qui me relaient un article paru dans le Bulletin du Cercle généalogique du Rouergue. L'article retrace la généalogie de la famille... GOUDAL de la GOUDALIE ! Sur les 2 premières parties, nous lisons avec gourmandise l'admirable travail de MM. MEJANE, POULET et PUECH. Très documenté et citant toutes les sources, cette série d'articles est un modèle du genre. Mais rien ne nous relie encore à notre ancêtre Hugues GOUDAL, qui descend d'une branche secondaire, la branche Pasquet de Muret. Mais la 3ème et dernière partie est pour nous encore plus forte : la filiation qui nous intéresse est révélée ! Vous trouverez le récit de cette généalogie dans la page "Les origines des PONS", paragraphe GOUDAL.
Personnellement, cette information me permet de battre le record d'ancienneté : de 1499, date du testament de Jean de BARITAULT qui était ma date la plus reculée, je remonte plus loin, en 1315 donc ! Ce fameux Estienne GOUDAL, après qui on a couru si longtemps, devient mon ancêtre le plus lointain avec un numéro sosa de 727 040 ! Je ne remercierai jamais assez les 3 auteurs de ces articles, ni le couple de passionnés qui m'a averti de cette parution. C'est bien d'avoir des amis...
Une fois n'est pas coutume, je vais profiter du pavé Actualités pour pousser un coup de gueule. Je suis en train de travailler sur la page MEYRE, et donc de faire des recherches sur le site des Archives Départementales de la Gironde. Les registres qui m'intéressent ici sont principalement ceux de Sainte-Hélène, de Lacanau, du Porge et de Saumos. Or j'ai la très désagréable surprise, comme d'autres je suppose, de constater que nombre de ces registres sont parsemés de périodes manquantes. Ainsi, le registre numérisé de Sainte-Hélène, pour ne citer que lui, couvre les périodes 1692-1696, puis 1737-1739, puis l'année 1748 seule, et enfin 1766-1792. L'immense gouffre entre 1696 et 1737 bloque la remontée des lignées, et rend presque inutile la période antérieure puisqu'on a perdu le "fil" familial.
Si ces registres étaient inexistants, la situation se comprendrait, mais les registres existent bel et bien, en version papier à la mairie de la commune. Est-ce donc les mairies qui ne veulent pas confier leurs registres aux AD ? Cela nous place bien en retard (nous, la Gironde) par rapport à la majeure partie des départements français qui ont déjà numérisé la totalité de leur état civil. En tout cas, cette situation frustrante bloque de nombreux généalogistes, tant ceux qui travaillent, ceux qui habitent loin de la commune où ils font leurs recherches, et les personnes handicapées qui ne peuvent pas se déplacer.
Je ne sais pas si ce message permettra aux choses de changer un jour, mais je sais par contre qu'il sera partagé par nombre de personnes en quête de leurs ancêtres. En attendant, j'ai creusé un peu plus mes recherches de la page "Les origines des MEYRE", du moins autant que les registres en ligne m'ont permis de le faire...
On sous-estime trop la presse ancienne en généalogie. Pourtant elle est source de grandes surprises ! J'ai ainsi pu trouver la mise en vente d'une échoppe de la rue Tranchère, logement voisin de celui de Jean JUFORGUES. Toutes les échoppes de cette rue étant similaires, la description intérieure de l'échoppe vendue nous donne celle de notre ancêtre ! C'est assez émouvant d'entrer comme ça dans l'intimité de la maison de cet arrière-arrière-grand-père ! Le drame qui s'est produit dans le quartier de la Bastide en cette année 1879 est moins amusant, mais bien plus émouvante encore...
C'est aussi dans la presse ancienne qu'on trouve la mention de cet autre arrière-arrière-grand-père Emile JUSTE. Ce qui à l'époque pouvait sembler glorieux ne l'est plus vraiment aujourd'hui. Pourtant l'article daté de 1922 fait d' Emile et de ses acolytes de véritables héros ! Question d'époque...
Je ne passe pas non plus sous silence l'article de "La Petite Gironde" qui donne la liste des distinctions et honneurs agricoles reçus par des hommes et des femmes méritants. L'article de 1928 cite 2 de nos arrière-arrière-grand-parents, Jean "Alcide" PONTET et son épouse Ma BOUSCARRUT. Pour les 3 cas dont je viens de parler, vous trouverez tous les détails dans leurs pages respectives.
En ce qui concerne Paul "Charles" DUCOS, ne trouvant pas plus d'informations sur son voyage en Amérique du Sud, je me suis penché sur le parcours de son employeur, Esteban LAPIERRE. Et là, il y a des choses à trouver ! J'ai mis en ligne les premières données, dans un pavé jaune, mais d'autres viendront en suivant.
Je reviens sur le pavé donnant la date du jour dans le calendrier Républicain. Tout d'abord, ce calendrier fut abandonné en 1806 car il ne correspondait pas parfaitement exactement au vrai cycle des saisons. De fait, pour le "prolonger" au-delà de 1806, il y a plusieurs méthodes de calcul suivant les différentes hypothèses retenues. C'est pourquoi il peut y avoir un dacalage d'un ou deux jours par rapport à d'autres sites qui proposent également ce type de conversion de date. Je reste dans mon hypothèse de base, qui me semble la plus logique, même s'il n'y a pas de vérité absolue et unique dans ce domaine. Mais finalement peu importe le décalage : l'essentiel est de retrouver l'esprit poétique de ce beau calendrier !
J'ai par contre ajouté la fête du jour, qui s'applique aux plantes, aux animaux et aux outils agricole de la saison. Ces fêtes remplaçaient les Saints dans le calendrier Grégorien. J'ai aussi mis l'année en chiffres romains, car c'est ainsi qu'elle devait être écrite sous la Révolution. Enfin j'ai ajouté la reproduction de la gravure de Salvadore Tresca, une pour chaque mois révolutionnaire, du calendrier Républicain de l'époque. Cette gravure change automatiquement quand on change de mois (révolutionnaire !).
Concernant les recherches, j'ai mis l'accent sur les branches PONTET et CARMANAC. Elles étaient relatées dans 2 pages différentes, mais la quantité de texte sur chacune d'elles n'étant pas excessivement importante, je les ai regroupées sous une seule page PONTET. Celle-ci est de plus augmentée du résultat de mes dernières recherches ; la page CARMANAC, elle, n'existe plus.
J'ai toujours eu un faible pour le calendrier Républicain. Avec ses mois de Ventôse, Germinal ou Floréal, le calendrier de Fabre d'Eglantine est à la fois poétique, proche de la nature et des activités agricoles. Et je me suis souvent posé la question de savoir quel jour on serait, si on avait gardé ce système de calendrier. Alors j'ai fait des recherches pour trouver le principe de calcul et de concordance avec notre calendrier si tristement Grégorien. J'avoue que la mise en oeuvre de ce calcul et le développement Web qui en a suivi n'a pas été simple, mais le fait est là : ça fonctionne !
Vous trouverez donc la date du jour dans le calendrier Grégorien, dans la page "Les calendriers" (accessible depuis le menu de gauche), paragraphe du "Calendrier Républicain" bien sûr, et dans la page "Convertir une date du calendrier Républicain vers le calendrier Grégorien" (accessible aussi depuis le menu). Dans cette dernière page, le pavé qui donne cette date se trouve à côté du cadre qui permet de convertir n'importe quelle date Révolutionnaire en date dans notre calendrier usuel. J'espère que vous apprécierez comme moi ce charme tout-à-fait particulier de la date une fois convertie, que l'on peut déguster comme une gourmandise savoureuse...
Cette fois-ci, c'est la page des Insolites qui a été modifiée. Outre quelques mises à jour dues aux dernières recherches, j'ai ajouté une rubrique "Records dans cette généalogie". Cette rubrique donne une liste de records, comme l'ancêtre qui a vécu le plus longtemps, le couple qui a le plus grand nombre d'enfants, la mère la plus jeune, et bien d'autres.
Autre mise à jour, la page Les origines des Ducos 2. Suite à de récentes recherches, j'ai trouvé le contrat de mariage de Jean DUCAUTS (sosa 128) et Jeanne SAUTS (129), qui m'en a appris un peu plus sur leur vie. De plus, trois actes notariés sur des ventes ou des échanges de terre concernent Jean DUCAUTS (256), le père du précédent. Après étude de ces actes, j'ai ajouté quelques lignes sur le récit de cette page. De futures découvertes sont à prévoir !
Le site fait peau neuve ! L'arrière-plan est changé en un acte ancien concernant une personnalité que tout le monde connaît. Mais qui saura la déchiffrer ? A vous de jouer !
Les couleurs du bandeau et de menu ont changé aussi, pour une teinte plus chaude que la précédente. J'ai également modifié la couleur de fond de l'intitulé de chaque page, pour mettre en valeur le nom de l'ancêtre dont il est question, ainsi que les bords qui ont été arrondis.
Si ces modifications ne sont pas visibles sur votre navigateur, c'est qu'il garde les anciennes pages dans la mémoire cache. Essayez de vider cette mémoire cache pour avoir le nouveau visuel. Ce paramètre se présente différemment suivant le navigateur, mais globalement, cela se trouve dans Outils / Paramètres, et là chercher "Vider la mémoire cache".
Voici une nouveauté qui mérite d’être mise en valeur : le pavé ACTUALITES ! Ce pavé vous renseigne sur les dernières évolutions graphiques, les nouvelles fonctionnalités ajoutées à ce site, ou les nouvelles données issues de mes recherches généalogiques. Il vous sera désormais plus facile de suivre les changements, les améliorations et les ajouts apportés sur ce site, autant dans le fond que dans la forme.
Une autre nouveauté mise en place juste avant ce pavé, est la mise en forme du mini-arbre généalogique qui accompagne chaque page de récit sur la vie des ancêtres. Ce mini-arbre, placé en haut à droite de chaque page, vous permet de repérer directement l’ancêtre dont il est question en le surlignant dans l’arbre. Vous visualisez ainsi clairement à quelle branche il appartient.
Mais cet arbre est déjà en place depuis quelques mois. La nouveauté est que le nom des ancêtres de la génération la plus haute est placé en vertical, et ce quelque soit le navigateur utilisé (IE, Edge, Mozilla, Chrome,…). Cela permet de réduire ses dimensions, tout en gardant une parfaite lisibilité.
Site réalisé par Fender33.