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Mariage
René PONTET 12 et Marie JUFORGUES 13 (14 novembre 1919 à Listrac) PON20000.jpg Le
quatorze novembre mil neuf cent dix-neuf, à cinq heures du soir, devant Nous
Cantegril albert, Maire de Listrac-Médoc, officier public de lEtat civil, ont
comparu publiquement en la maison commune : M.
Pontet René, vigneron, né à Listrac-Médoc, le vingt-six janvier mil huit cent
quatre-vingt-dix-sept, demeurant à Lestage ce (commune) de
Listrac-Médoc, fils majeur de M. Pontet Jean, quarante-huit ans, régisseur, et
de M. Bouscarrut Marie, quarante-quatre ans, sans profession, domiciliés à
Lestage, ce de Listrac-Médoc et tous deux ici présents et
consentants, dune part ; Et
Delle Juforgues Marie, sans profession, née à Margaux (Gironde), le
premier février mil huit cent quatre-vingt-dix-huit, demeurant à Lestage ce
de Listrac-Médoc, fille majeure de M. Juforgues Richard quarante-huit ans,
bouvier, et de M. Raymond Marie, quarante huit ans, sans profession domiciliée
à Lestage, ce de Listrac-Médoc et tous deux ici présents et
consentants, veuve de Silveyre pierre, dautre part. Les
futurs époux déclarent quils nont pas passé de contrat. Nous avons toutes les
pièces nécessaires à ce mariage. Aucune opposition nayant été faite, les
contractants ont déclaré lun après lautre vouloir se prendre pour époux et
nous avons prononcé au nom de la loi que M. Pontet René et Melle
Juforgues Marie sont unis par le mariage. Dont
acte, en présence des quatre témoins ci-après désignés ; tous les quatre
domiciliés à Listrac-Médoc : 1e
Me Niveaud Renée, vingt-huit ans, institutrice. 2e
M. Champ Roger vingt-deux ans, instituteur. 3e
M. Lacourt Jean-Marie, vingt trois ans, maçon. 4e
M. Manelle alfred, cinquante six ans, instituteur. Lecture
faite, les époux, le père et la mère de lépouse, le père et la mère de lépoux
et les témoins ont signé avec Nous, Cantegril albert, Maire, le présent acte. Le
Maire, A. Cantegril N.B. : Les éventuelles fautes d'orthographe sont ici volontaires, car telles quelles dans les actes originaux. En effet, je préfère privilégier la fidélité au texte d'origine plutôt que faire des interprétations pour convertir en français actuel, quitte à ce que ce soit au détriment de la compréhension. |