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Mariage Guillaume BAQUEY 390 et Marguerite HOSTENS 391 (29 janvier 1782 à Ste-Hélène)

Mariage Guillaume BAQUEY 390 et Marguerite HOSTENS 391 (29 janvier 1782 à Ste-Hélène)

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L’an mil sept cent quatre vingt deux le vingt neuf janvier après les fiancailles célébrées dans la p(rése)nte Eglise le sept du courant entre guillaume bacquey pasteur natif et habitant de la paroisse de brach, fils legitime de jean bacquey et de françoise Bosc, procedant en presence et du consentement de son dit père assurant celui de la mere, promettant et s’obligeant de lui faire approuver et ratifier son contrat de mariage passé par le Sr Martin aud(it) jour a peine de tous depens et ( ?), et Marguerite hostens native et habitante de la presente paroisse village de la Ruade, fille legitime de pierre hostens et de marie françois procedant en presence et du consentement de sesd(it)s pere et mere d’autre part ; leurs trois bans de mariage duement proclamés par trois dimanches sans avoir decouvert ni opposition ni empechement quelconque, tant dans le presente eglise que dans celle dud(it) Brach suivant l’attestation de m me Bernon curé de brach remise entre mes mains en date de ce jour ; et lesd(ites) parties disposés par l’aproche des sacrements a recevoir celui dud(it) mariage, nous ( ?) et avons reçu leur mutuel consentement de present et leur avons donné la benédiction nuptiale du consentement de leurs parens reciproques, presents entre autres de jean Bacquey père, guillaume Bacquey frere, d’arnaud fort beau-frere, de pierre Boye qui ont signé avec nous, les tous habitant de lad(ite) paroisse de brach a l’exception du nommé Boy habitant de taussac faisant la fonction de parrain de l’epouse.

                        Broqua curé

 

N.B. : On a les signatures de « Baquey perre », « Bacquey», « fort », « Boy » et « Bacquey etpoux ».

 

N.B. : Les éventuelles fautes d'orthographe sont ici volontaires, car telles quelles dans les actes originaux. En effet, je préfère privilégier la fidélité au texte d'origine plutôt que faire des interprétations pour convertir en français actuel, quitte à ce que ce soit au détriment de la compréhension.