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Mariage Jean GUIBERT 20 et Marie LAROCHE 21 (7 juin 1886 à Comps)

Mariage Jean GUIBERT 20  et Marie LAROCHE 21  (7 juin 1886 à Comps)

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L’an mil huit cent quatre vingt six le sept juin à deux heures et demie du soir, devant nous Martin Jean Eugène Cailleux, maire de la commune de Comps, département de la Gironde, remplissant les fonctions d’officier de l’état civil, se sont présentés en la maison commune pour être unis par le mariage.

D’une part, Jean Guibert, cultivateur, âgé de vingt cinq ans, né dans ladite commune de Comps le vingt quatre octobre mil huit cent soixante, demeurant au village des Lamberts, meime commune, fils de François Guibert, tonnelier, âgé de soixant douze ans présent et consentant et de Marguerite Magnen, sans profession, âgée de soixante deux ans, présente et consentante, demeurant aussi, ces deux derniers, à Comps.

Et d’autre part : Marie Laroche, sans profession, âgée de vingt-trois ans, née dans la commune de Gauriac, département de la Gironde, le vingt-sept juin mil huit cent soixante deux, demeurant à Comps, département de la Gironde, fille de Jacques Laroche décédé et de Jeanne Broquaire, sans profession, âgée de cinquante cinq ans, demeurant aussi à Comps, présente et consentante.

Les futurs époux nous ont remis : 1° leurs actes de naissance, 2° l’acte de décès de Jacques Laroche, père de la future épouse, 3° les extraits des actes de publications faites à Comps les dimanches vingt-trois et trente mai dernier et non suivies d’opposition. 4° un certificat délivré par Me Dusson notaire à la résidence de Marcamps département de la Gironde et d’où il résulte que les futurs époux ont réglé les conventions civiles de leur mariage par un contrat passé devant ledit notaire le trente mai mil huit cent quatre vingt six. Nous avons fait lecture aux parties des …

 

 

 

N.B. : Les éventuelles fautes d'orthographe sont ici volontaires, car telles quelles dans les actes originaux. En effet, je préfère privilégier la fidélité au texte d'origine plutôt que faire des interprétations pour convertir en français actuel, quitte à ce que ce soit au détriment de la compréhension.