Mariage
Jean FLOUS 74 et Catherine RICHEBON 75 (24 février 1816 à Listrac)
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Du
vingt quatre fevrier mil huit cent seize, pardevant nous adjoint du maire officier public de létat
Civil de la commune de Listrac département de la Gironde. Sont comparu, jean
flous tonnelier agé de vingt neuf ans et six mois, né
à Listrac le cinquième jour du mois daout mil sept
cent quatre vingt six comme il est constaté par son acte de naissance du dit
jour. fils légitime de Sieur Théodore flous et de Marie Lamorac
procedant comme majeur et du consentement de ses père
et mere, donné par acte passé devant Monsieur Bonet notaire à Castelneau
délivré en
(?) du vingt février mil huit cent seize. Dune part. et
Catherine Richebon fille légitime de feu pierre Richebon décédé le dix septembre mil huit cent treize,
comme il est constaté par son acte de décès du dit jour, et de Marie faure, née à Moulis susdit département le neuf janvier, mil
sept cent quatre vingt huit agée de vingt huit ans un
mois et quinze jours, procédant du consentement de sa dite mere
et toute partie domiciliere de cette commune dautre
part. Lesquels nous ont requis de procédé à la célébration du mariage projetté entre eux et dont les publications ont été fait
devant la porte de notre Maison commune les dix et dix sept décembre mil huit
cent quinze sans quaucune opposition audit mariage ne mayant été signifiée
faisant droit à leur réquisition et après avoir donné lecture de toutes les
pièces ci-dessus mantionnée et du chapitre Six du
titre intitulé du mariage, avons demandé au future epoux
et à la future epouse, sil veulent se prendre pour
mari et pour femme chacun deux ayant répondu séparément et affirmativement.
Déclarons au nom de la loy que jean flous et
Catherine Richebon sont uni par le mariage, de tout
quoi avons dressé acte en présance du Sieure françois Raymond propriaitaire agé de soixant dix ans, françois Cazeaux tonnelier agé de trante huit ans, pierre Chevroux
( ?) boulangé agé de trante
huit ans et pierre Eyquem bouché agé
de trante cinq ans toute partie domicilière
de cette commune qui ont signé avec nous et non lépoux et lépouse
qui ont déclaré ne savoir le faire après lecture. Constaté suivant la loy par moi Bernard hugot adjoint
du maire et autorisé par lui à remplir les fonctions dofficier public de
létat civil.
N.B. : Les éventuelles fautes d'orthographe sont ici volontaires, car telles quelles dans les actes originaux. En effet, je préfère privilégier la fidélité au texte d'origine plutôt que faire des interprétations pour convertir en français actuel, quitte à ce que ce soit au détriment de la compréhension.