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Mariage François DEJEAN 126 et Jeanne JOUANEAU 127 (2 février 1850 à Avensan)

Mariage François DEJEAN 126  et Jeanne JOUANEAU 127 (2 février 1850 à Avensan)

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Du deux février mil huit cent cinquante à huit heures du matin.

Acte de mariage de François Déjean, agé de vingt trois ans, né en cette commune le quinze mars mil huit cent vingt six profession de tonnelier, fils de défunt pierre Déjean et de marie Semian avec laquelle il demeure en cette commune au village de Pelin. Ledit François Déjean procédant du consentement de sa mère ici présente.

Et Jeanne Jouaneau agée de vingt quatre ans, née en cette commune le premier janvier mil huit cent vingt six, fille majeure de jean Jouaneau tonnelier agé de cinquante neuf ans et de Catherine Bureau agée de cinquante troix ans, avec lesquels elle demeure en cette commune au village de Pelin, ladite jeanne jouaneau procédant du consentement de ses père et mère ici présents.

Les actes préliminaires tout extraits du régistre des publications de mariage faites en cette commune les treize et vingt janvier derniers, sans qu’il soit survenu d’opposition, les dites publications publiées et affichées aux termes de la loi, les actes de naissance et de décès ayant été déposés le tout en forme de tous lesquels actes et du chapitre VI du Code civil titre du mariage sur les droits et les devoirs des époux, il a été donné lecture par moi officier public aux termes de la loi – les dits époux présents on déclaré prendre en mariage, l’un Jeanne Jouaneau, l’autre François Déjean. En présence de Bernard Veyries tonnelier agé de soixante quatorze ans, de Jean Veyries aussi tonnelier agé de trente quatre ans, de Jean Veyries jeune aussi tonnelier agé de vingt deux ans, et d’antoine Tardivier tonnelier agé de trente et un ans, tous quatre domiciliés du bourg de la commune d’avensan.

Après quoi moi Dutresne Michel-Bienvenu maire de la commune d’avensan faisant les fonctions d’officier public de l’état civil ai prononcé qu’au nom de la loi les dits époux sont unis en mariage et ont l’épouse et les témoins signé avec moi, ce que n’ont pu faire l’époux, sa mère et les père et mère de l’épouse pour ne le savoir après lecture.

 

 

N.B. : Les éventuelles fautes d'orthographe sont ici volontaires, car telles quelles dans les actes originaux. En effet, je préfère privilégier la fidélité au texte d'origine plutôt que faire des interprétations pour convertir en français actuel, quitte à ce que ce soit au détriment de la compréhension.