Activer la loupe Fermer |
Mariage
Pierre Augustin CHARDON 250 et Marie CADET 251 (7 janvier 1811 à Avensan) ABR5200.jpg Acte
de mariage. Mairie de la commune davensan,
arrondissement communal de Bordeaux, dEpartement de Du
sept janvier mille huit cent onze. Acte
de mariage de Pierre augustin Chardon laboureur habitant de la commune davensan, fils légitime de Pierre chardon décédé dans cette
commune et de marie anne dechamps,
agé de vingt neuf ans, né le premier juillet mille
sept cent quatre vingt deux, procédant du consentement de sa mere ici presante dune part, Et
marie cadet native et habitante de la meme commune davensan, fille légitime de helies
cadet et petronille viallard,
agée de vingt neuf ans un mois, née le deux décembre
mille sept cent quatre vingt un, procédant aussi du consentement de ces père et mere ici presans dautre part. Les
parties, ayant été publiées dans cette commune, le vingt un et vingt huit
octobre mille huit cent dix, jours de dimanche a onze heures du matin aux lieux
ordinaires, le mariage ci-dessus a le tout au terme de la loi du vingt
septembre 1792 et a celle du vingt ventoze an onze
sur lequel mariage il ni a hü aucune opposition. Les
dits époux presans ont déclaré prendre en mariage, luy marie Cadet pour sa légitime et future épouse, lautre
Pierre augustin chardon pour son légitime et futur époux. 1er
En présance de Guilhomme Prevot agé de vingt sept ans de
la commune davensan département de 2ème
de Raimon Greniér agé de trente un ans de la commune davensan
département de 3ème
de Pierre Bernard agé de quarante cinq ans de la
commune davensan département de 4ème
et de antoine Barreyre agé de cinquante deux ans de la commune davensan département de Apres
quoi moi Jh marteau maire de la commune davensan faisant les fonctions dofficier public de letat civil ay prononcé quau nom de la loï
les dits epoux sont unis en mariage les deux epoux et deux témoins nous ayant declaré
ne savoir signer, les deux autres temoins ayant signe
avec nous ce jour et an que dessus. Jh marteau, maire N.B. : Les éventuelles fautes d'orthographe sont ici volontaires, car telles quelles dans les actes originaux. En effet, je préfère privilégier la fidélité au texte d'origine plutôt que faire des interprétations pour convertir en français actuel, quitte à ce que ce soit au détriment de la compréhension. |