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Mariage
Pierre DEJEAN 252 et Marie SEMION 253 (27
juillet 1809 à Avensan) ABR5150.jpg Acte
de mariage. Mairie de la commune davensan, arrondissement communal de
Bordeaux, DEpartement de Du
vingt sept juillet mille huit cent neuf. Acte
de mariage de Pierre Dejean tonelier natif et habitant de la commune davensan,
fils légitime de autre Pierre DEjan et de marie Veyries, agé de vingt sept
ans, né le sept juillet mille sept cent quatre vingt deux, procédant du
consentement de ses pere et mere dune part ici presants, Et
marie Semion native et habitante de la meme commune, fille légitime de philip
Semion et fue Jeanne Joyeux, procédant aussi du consentement de son père ici
presant et agée de vingt cinq ans, née le deux nauvambre mille sept cent quatre
vingt quatre, dautre part. Les
parties ayant été publiées et affichées dans cette commune le neuf et seize
juillet courant, jours de dimanche a onze heures du matin aux lieux ordinaires,
le tout au terme de la loi du vingt septembre 1792 et a celle du vingt ventoze
an onze sur lequel mariage il ni a eu aucune opposition. Les
dits époux presants ont déclaré prendre en mariage, luy marie Semion pour sa
légitime et future épouse, lautre Pierre Dejean pour son légitime et futur
époux 1er
En présance de Bernard Veyries cousin de lepouse agé de trente trois ans de la
commune davensan DEpartement de 2ème
de françois Bracassac beaufrere de lepoux agé de trente neuf ans de la commune
davensan Departement de 3ème
de Pierre Bernard cousin de lepoux agé de quarante trois ans de la commune
davensan Departement de 4ème
Et de Cristophe fabre fils agé de vingt sept ans de la commune davensan
Departement de Apres
quoi moi Jn marteau maire de la commune davensan faisant les
fonctions dofficier public de letat civil ay prononcé quau nom de Le maire
davensan, Jn marteau N.B. : La date de naissance du marié est
fausse : il n'est pas né le 7 juillet, mais le 28 mai 1782. N.B. : Les éventuelles fautes d'orthographe sont ici volontaires, car telles quelles dans les actes originaux. En effet, je préfère privilégier la fidélité au texte d'origine plutôt que faire des interprétations pour convertir en français actuel, quitte à ce que ce soit au détriment de la compréhension. |